Semua Bab Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Bab 361 - Bab 370

KATHERINESa main s’est levée, a effleuré mes lèvres entrouvertes, en a tracé le contour pendant que ses yeux m’ont dévorée, pleins de promesses et de désir.« Quels… quels modestes services dans votre chambre ? Voulez-vous que je nettoie ? » ai-je demandé, feignant l’innocence.Je me suis souvenue des derniers services intimes que j’avais rendus — ceux pour lesquels il ne m’avait même pas payée.« Pfft, je pense que tu sais exactement ce que je veux de toi. Je t’ai donné du plaisir ce soir, et tu m’as laissé en plan plusieurs fois », a-t-il murmuré d’un ton séducteur, en se rapprochant.« Je doute que tu aies du mal à gagner ces chèques, ma Duchesse. »Et avec cette proposition indécente, il m’a pris la main et nous a conduits à travers la forêt jusqu’au manoir.Je l’ai suivi en silence, l’esprit tourbillonnant de toutes ces allusions voilées et de ce qu’elles annonçaient.Nous étions dans un état lamentable, et en entrant dans les jardins, les gens que nous avons croisés nous

KATHERINE« Chut, ça ne peut pas être… mmm, tu vas me rendre fou, femme sans vergogne… » l’ai-je entendu gémir d’une voix rauque alors qu’il a relevé le bord de ma chemise de nuit, exposant mes fesses — et par la même occasion, mon intimité.Complètement nue, sans culotte, il m’a suffi d’écarter les jambes pour que ce mât s’enfonce en moi complètement.« Mmmm », ai-je pressé mes lèvres pour éviter de laisser échapper des petits sons de prostituée pendant qu’Elliot a pétri mes cuisses et mes fesses avec ses grandes mains.Il a sifflé d’excitation, les écartant pour explorer ma fente trempée avec ses doigts. C’était tellement érotique — j’ai adoré le voir baver sur moi.« Aah… »« Écarte plus les jambes et lève ton cul », a-t-il ordonné sans relâche, sa voix dégoulinant de dominance, comme une bête désespérée.« Et si je ne veux pas ? »CLAQUE !« Ah ! »J’ai gémi, excitée, quand il a frappé mes fesses en guise de punition, brûlant de désir sous ses provocations, ses doigts gli

ELLIOT« Bébé ? » me suis-je penché un peu quand j’ai entendu son léger ronflement.J’ai observé son visage, reposant de côté sur le matelas, respirant doucement, ces lèvres délicieuses légèrement entrouvertes.Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire comme un idiot — il y avait tant de profondeur dans ce que j’ai ressenti pour elle. J’avais volontairement confessé que je connaissais sa véritable identité.Nous avions une conversation honnête en attente. J’ai sincèrement espéré la gagner comme ma plus grande alliée — une alliance pour la vie.« Alors, je dois rester parfaitement immobile quand tu te jettes sur moi, mais tu peux à peine supporter un round quand c’est moi qui suis dessus ? » ai-je murmuré, suçant son lobe d’oreille.Un gémissement sourd a grondé dans sa gorge, mais elle est restée endormie, épuisée.« Tu me dois quelque chose maintenant, ma chère Duchesse. Je m’assurerai que tu me repayes pour le reste de ta vie, Katherine », ai-je murmuré, embrassant sa tempe, siffla

NARRATEURQUELQUES HEURES PLUS TÔT, SUR LES TERRES DU DUC THESIO…« Aldo, Gordon et moi allons entrer pour parler au contremaître. Nous l’avons occupé aussi longtemps que possible. C’est votre chance — ne la gâchez pas. »L’un des hommes envoyés par Elliot a murmuré à côté du robuste ouvrier.Autour d’un feu de camp, ils ont mangé du pain frais et ont siroté du chocolat chaud fumant. Rien que le meilleur pour les soudoyer — et les pousser à trahir le camp du Duc Everhart.« D’accord. Tomas et moi avons transporté les caisses que nous avions mises de côté plus tôt et les avons emmenées à l’endroit désigné. Ne tardez pas trop — ils ont remarqué notre absence tout de suite », a répondu Aldo, prenant une bouchée de son pain.Ses yeux perçants ont constamment scruté les autres ouvriers à proximité, qui discutaient et mangeaient également avant de reprendre le déchargement des marchandises.Aujourd’hui était le jour. Ils avaient reçu la rare opportunité d’accéder aux terres de Thesio

NARRATEURAldo a hissé Gordon sur son dos comme un sac de pommes de terre, pendant que Tomas a porté la caisse restante.Plus que jamais, ils ont eu besoin de découvrir exactement ce qu’était cette magie dangereuse. Ils ont couru sans s’arrêter, communiquant mentalement tout le temps.Peu importe ce qu’il en était, s’ils continuaient ainsi, ils ont été capturés.« Laissez-moi derrière, bon sang ! Partez d’ici ! Si vous restez, ils vous feront prisonniers aussi ! Avertissez le Duché ! »« Tais-toi, bon sang ! » a crié Tomas à Gordon. Il a lâché la caisse, la plaçant au bord de la rivière.Cette zone était profonde, les courants assez forts pour emporter la caisse et l’homme blessé. Mais ils n’ont pas osé se jeter à l’eau et essayer de nager.« Monte — vite ! Essaie d’atteindre l’autre côté et trouve de l’aide, vas-y ! » Aldo l’a descendu de son dos.Gordon pouvait à peine tenir debout, mais il s’est forcé.« Non, non, allons-y tous — attends ! » a protesté Gordon, réalisant leu