บททั้งหมดของ Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: บทที่ 401 - บทที่ 410

ELLIOT« Es-tu heureux maintenant ? », ai-je demandé à mon loup en enfouissant mon nez dans les cheveux de Kath. À présent que mon côté animal était pleinement éveillé, je ressentais une attirance presque obsessionnelle à son égard. Le parfum de la lavande devenait de plus en plus intense. Je désirais qu’elle ne m’appartienne qu’à moi, que son corps soit imprégné de mon essence, que les autres mâles sachent que cette magnifique femme était exclusivement à moi. Une pensée plutôt futile, étant donné que les élémentaires ne pouvaient même pas percevoir les marques olfactives. « Pas assez heureux. Je veux sortir et être avec elle, la tenir dans mes bras. Il commence à faire froid, et ma fourrure est chaude, allons-y. » « Non. », ai-je répondu sans hésitation, ressentant déjà la pression dans mon esprit, ferme et dominante, m’incitant à abandonner le contrôle. « Penses-tu que je ne peux pas voir à travers tes manigances ? Tu souhaites simplement être le protagoniste. Permets-mo

KATHERINESon sourire était présent, mais une peur m’envahissait. Elle semblait être une réplique de moi-même. J’ai fait un pas en arrière, effrayée.Son regard est devenu soudain empreint de tristesse. Elle a ouvert les lèvres pour me parler, mais aucun son n’est parvenu à mes oreilles.Je savais que le temps était compté.En un instant, je l’aie vu sauter par la fenêtre du deuxième étage. Dans un élan de panique, j’ai tendu la main, des éclats de lumière se dispersant comme des milliers de papillons, obscurcissant ma vision.Elle va mourir si elle saute d’ici ! »« Non ! » Je me suis réveillée en sursaut, la main tendue comme dans mon rêve, tentant d’attraper cette... femme qui me ressemblait tant.Une substance humide a coulé sur mon visage, et j’ai touché les larmes sur mes joues du bout des doigts.Était-ce un rêve ? C’était trop étrange, trop vivant et étrangement troublant. J’ai jeté un regard autour de moi, essayant de me calmer, mais en ne voyant pas Elliot à mes côtés

KATHERINEJ’ai éprouvé une certaine hésitation avant de plonger à nouveau ma main dans un espace inconnu. En observant le bout de mon doigt, j’ai constaté qu’il était déjà en train de se régénérer.Une pensée troublante m’a traversé l’esprit : peut-être que ce compartiment dissimulé ne s’ouvrirait qu’avec mon sang ou celui de ma sœur.« Puisque je suis déjà engagée dans cette voie, autant poursuivre. », me suis-je dit, esquissant un sourire sarcastique alors que je prenais ce dernier risque, priant de ne pas subir de blessures graves.J’ai inséré ma main dans l’ouverture et j’ai ressenti un objet dur et métallique. Je l’ai saisi, l’ai soulevé, et il m’a semblé lourd.À travers la pénombre, mes pupilles se sont rétrécies pour se concentrer, révélant que j’avais découvert une petite boîte à bijoux.Les détails en bronze scintillaient magnifiquement, et la surface ressemblant à de l’opale me rappelait le collier que j’avais offert à Elliot.J’étais si absorbée par son examen que je

KATHERINE« Attends, Vorath... » J’ai tenté de me distancer lorsqu’il a expiré contre ma peau délicate. Ses bras possessifs se sont resserrés davantage autour de moi. « Quand allons-nous jouer de la même manière que ce jour-là, Kath ? Je te promets que je ne serai pas brutal, ma chérie. Je vais te conduire avec douceur, ce qui rendra l’expérience délicieuse... mmm. » Ses dents effleuraient dangereusement mes mamelons, les faisant se dresser d’excitation. Son corps dégageait une chaleur brûlante et enivrante de bergamote. « Je vais aller de plus en plus loin. Ma forme animale peut te procurer tant de plaisir. Je sais que tu l’as appréciée, ma petite... et te mettre enceinte est encore plus aisé... » Sa main sous moi se serrait, me pétrissant sans vergogne, tandis que l’autre tenait la courbe de mon dos, sa tête enfouie dans mon décolleté. J’ai sifflé alors que la chaleur picotait dans mon ventre, serrant mes poings dans sa fourrure, mais je ne pouvais pas me laisser empor

BRENDAAccroupie, je rampais en arrière sur les carreaux froids, m’efforçant d’éviter d’être découverte. Je me suis glissée à travers les portes entrouvertes et me suis précipitée vers le miroir, m’examinant pour m’assurer que je n’avais pas de feuilles de la forêt ou d’autres éléments susceptibles de me trahir. Le cœur battant, je me suis jetée sur le lit, juste au moment où le bruit des bottes résonnait dans le couloir. La porte s’est ouverte et le duc Thésio est entré dans la pièce. Ses pas se sont dirigés immédiatement vers moi. J’ai contrôlé ma respiration alors qu’il s’arrêtait au bord du lit, me scrutant. Une fois satisfait, il s’est retourné et s’est dirigé vers la salle de bain. J’ai ouvert les yeux dans l’obscurité, réfléchissant à mon prochain mouvement. Quel idiot. À quoi bon être duc s’il n’était qu’un élémentaire ? Ils ne pouvaient jamais rivaliser avec le pouvoir des véritables êtres surnaturels. Demain, je rencontrerais ce vampire. Les jours de Thésio étaie