All Chapters of Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Chapter 411 - Chapter 420

KATHERINE« Kath, Vorath m’a informé que Lavinia partage des similitudes avec toi et qu’elle possède une grande puissance. C’est la raison pour laquelle il a osé lui fournir de la nourriture. », a expliqué Elliot. « Une sorcière puissante ? » Je le regardais, presque effrayée. J’avais espéré qu’elle serait « normale ». Plus que jamais, il était impératif que je la protège. « Nous devons agir, ma chérie. Tu n’es plus seule, Kath. Nous devons nous soutenir mutuellement », m’a rassuré Elliot. « J’ai besoin de ton assistance pour réorganiser l’ensemble du personnel du château. Nous allons procéder à un nettoyage complet du duché. J’amènerai Aldo, Tomas et leurs familles au château. » J’ai acquiescé d’un signe de tête. Ce sont des personnes dignes de confiance et loyales. La grande structure du château s’est dessinée à notre entrée dans les jardins et, pour la première fois, je ressentais un sentiment d’appartenance indéniable. Je n’étais plus la fausse duchesse. Je revendiquai

QUELQUES JOURS PLUS TARD...ELLIOTJ’ai signé mon nom sur la ligne avec des sentiments ambivalents. En vérité, je ressentais une certaine culpabilité. J’ai accusé et maltraité un homme innocent dans une certaine mesure. Cependant, j’ai été le premier à commettre l’erreur de lui accorder une confiance totale. Il avait débuté en tant que majordome au service de mes parents, et je le connaissais depuis de nombreuses années. Néanmoins, finalement, toute cette confiance, y compris son lien avec la gouvernante, a conduit à la trahison la plus ignoble.J’ai pris mon sceau et finalisé enfin le départ à la retraite de M. Wallace. Il s’installerait à la campagne pour vivre avec sa fille. Je lui ai accordé une pension généreuse, en partie pour apaiser ma conscience. Nos adieux étaient difficiles, et j’ai avoué qu’il m’a laissé un goût amer.Toc, toc, toc. Soudain, on a frappé doucement à la porte. « C’est notre compagne. » Vorath se redresse immédiatement, se débarrassant de son

ELLIOTJe me suis levé de ma chaise, mes cuisses tendues, ressentant ses respirations rapides contre mon abdomen, ses ongles s’enfonçant dans ma peau, l’étroitesse de sa gorge vibrant autour de moi. J’ai fermé les yeux, sur le point de céder, imaginant déjà qu’elle allait accueillir chaque goutte de ma libération. « Je n’en peux plus, Kath, ma compagne... » Mon instinct primal hurlait de plaisir, me poussant à retrouver ma nature originelle. J’ai vu Katherine glisser une main entre ses jambes, toujours à genoux, soulevant sa robe de manière provocante. Je savais qu’elle se touchait tout en me procurant du plaisir. Je pouvais le ressentir, l’entendre dans mon esprit. Elle caressait son corps, imaginant que c’étaient mes doigts, tandis que sa tête se mouvait de haut en bas sur ma virilité. Sa bouche m’excitait jusqu’à ce que je sois au bord de l’extase. « J’arrive, Kath... », ai-je grogné à travers mes dents serrées, poussant plus fort, debout devant elle, saisissant ses che

NARRATEURKatherine observait la scène animée dans la salle à manger, prenant note des difficultés rencontrées par leurs familles d’accueil. Bien qu’ils aient commencé à se détendre, leur malaise face à de nombreux aspects demeurait manifeste. Ils avaient convenu de vivre dans des maisons situées près de la forêt, sous la protection du château. Les femmes joueraient des rôles significatifs sous l’administration de la duchesse, lui apportant leur soutien. À la tombée de la nuit, Katherine avait déjà organisé leur séjour dans l’aile des invités, avec des domestiques à leur disposition. Elle s’est arrêtée pour vérifier que Freya était toujours en convalescence, mais se portait beaucoup mieux. Elle s’est souvenue alors du coffre et lui a posé des questions à ce sujet. « Je crois l’avoir aperçu une fois. Je pense que ta mère l’a ouvert avec une pierre du même matériau. », a répondu la vieille femme depuis son lit, enveloppée dans des couvertures, un bandage autour de la tête.

NARRATEURLes yeux de Kath étaient attirés par une ombre se profilant derrière la fenêtre, près d’un peuplier. Ils évoquaient des yeux perçants, semblant la dévorer, des rubis acérés scintillant dans l’obscurité. L’aura dominante semblait presque lui tendre la main, mais soudainement...« Duchesse, lève-toi, nous partons. »Elliot lui a saisi le bras, la tirant de sa transe. Il a claqué la fenêtre, son regard se fixant à l’endroit même où Katherine avait observé, mais il n’y avait désormais plus rien.« Quoi ? Que se passe-t-il ? Y a-t-il un problème ? » Brenda s’était levée, visiblement nerveuse malgré ses efforts pour dissimuler son anxiété.« Rien. Je n’ai rien d’autre à penser. J’accepte ta proposition. »« Ah bon ? Juste comme ça ? » Elle avait du mal à croire qu’Elliot accepterait si facilement, mais il s’agissait, après tout, d’un cadeau qui lui était pratiquement tombé sur les genoux.« Bien, je savais que tu m’aiderais. Merci beaucoup, Elliot... Je veux dire, Monsieur