Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre의 모든 챕터: 챕터 431 - 챕터 440

SALVATORELa voix mélodieuse de ma sorcière a flotté dans l’air pendant que les runes se sont allumées de magie, brillant en particules dorées qui ont dansé dans la brise.Le vent a agité ses cheveux bruns — c’était exactement comme je m’en étais souvenu, comme si j’étais revenu dans le passé.Quand les derniers mots ont quitté ses lèvres — des mots que je n’avais pas vraiment compris, car c’était de la sorcellerie — cela a été mon tour.« Pousse-toi. Tu vois ? Coopérer n’a pas été si difficile. Je t’ai protégé avec la magie, et c’est comme ça que tu me remercies ? » J’ai failli donner un coup de pied à cette idiote de Brenda.Elle s’est levée, la tête baissée, encore entière.Au moins, Kath a maîtrisé le sort — elle ne l’a pas envoyée valser dans les airs. Il ne restait plus qu’à voir si ça avait fonctionné.« Viens, faisons-le ensemble. Tiens-toi devant moi », ai-je appelé Katherine. Je ne me suis plus soucié de faire bonne figure devant Brenda.Je me suis souvenu que la premi

NARRATEURSalvatore a été arraché de force à son choc.Quand la bête massive, dégageant l’aura la plus meurtrière qu’il ait jamais vue, s’est jetée sur lui depuis les hauteurs, il n’a eu d’autre choix que de se battre pour sa vie.Il ne l’avait même pas senti approcher — lui, un être supérieur. Les veines de son bras musclé ont gonflé, palpitant de puissance brute. Vorath a manié ses griffes comme des armes mortelles, prêt à lacérer le vampire pris au dépourvu.Cela a semblé être la fin pour Salvatore — aucun temps pour fuir. L’ombre de la mort s’est abattue sur lui !Un rugissement a secoué le canyon, et à quelques centimètres de la tête de son ennemi, des dizaines de chauves-souris se sont désintégrées, hurlant dans la nuit.L’attaque du lycan n’a frappé que du vide, mais le nez de Vorath ne s’est pas laissé tromper.Ses puissantes pattes ont martelé le sol, soulevant de la poussière quand le prédateur massif a atterri depuis la falaise.Ses yeux rouges brillants se sont fixés

NARRATEURMême ainsi, elle l’a passée autour de son cou fragile et a mis la relique. La pierre sombre a tremblé et a brillé avec plus d’intensité, comme si la lumière du soleil émanait de l’intérieur.Le vent a hurlé à travers la porte vitrée, la claquant dans un rythme effréné. La chemise de nuit blanche de Lavinia s’est agitée violemment.Ses cheveux se sont soulevés, flottant alors que des rayons de lumière se sont enroulés autour de son corps.« Je veux aller chez mes parents ! Je veux aller chez ma maman ! Sauvez mes parents ! » a-t-elle crié dans le vide de toutes ses forces, et la lumière intense a explosé, engloutissant sa petite silhouette.L’instant suivant, il n’y avait plus personne dans la chambre des Ducs.****« ELLIOT ! » a crié Katherine en voyant le puissant lycan tomber juste devant elle.Du sang sombre a taché le sol. Ses mains ont tremblé alors qu’elle a invoqué ses sorts les plus puissants, des éclairs se sont abattus sans relâche.Mais les éléments nature

NARRATEUR(ÉPSIODE DU PREMIER VOLUME OÙ SILAS, SIGRID, VALÉRIE ET ALAIN TRAVERSENT LA BARRIÈRE ET PARLENT AU RÉGENT)Elliot observait à distance pendant que les chefs parlaient, l’air chargé de tension, leurs paroles parvenant à ses oreilles surnaturelles.« Elliot, ces gens qui ont traversé la brume sont des êtres surnaturels. L’homme grand aux cheveux roux est un lycan — je le sens. Et il est très puissant » a murmuré Vorath, tous deux écoutant la conversation avec une excitation fébrile.Puis, le Duc a tourné son regard vers l’homme, avec une expression froide, presque indifférente — cheveux platine, yeux dorés.Ainsi, c’était Sa Majesté.À vrai dire, Elliot se sentait un peu déçu. Il avait toujours idéalisé le Roi de Spectre, s’attendant à ce qu’il ait l’air plus héroïque, différent, extravagant... quelque chose de plus invincible.Cependant, au milieu de ses pensées vagabondes, il s’est figé lorsque, pendant quelques secondes à peine, ces yeux dorés intenses et cruels se so

KATHERINEJ’ai regardé autour de moi, observant ce palais immense, un peu tendue.Malgré le luxe et l’attention méticuleuse des servantes et des valets, même si j’avais dit à Elliot que je l’accompagnerais, j’avais peur.Parce qu’ici, c’était l’épicentre de la haine envers les êtres surnaturels.« Vos Excellences, quel honneur de vous revoir », une autre personne s’est approchée de nous, dans cette vaste salle remplie de l’élite de cette société hypocrite.Tout en buvant avec élégance et en murmurant à voix basse, nous avons recommencé le cycle habituel de flatteries, feignant la courtoisie — ou du moins, moi, je le faisais.La vérité, c’est qu’en dehors de l’intimité de notre maison, Elliot était comme un chien sans laisse... ou plutôt, un loup redevenu sauvage.Ses réponses étaient si sèches que j’en venais presque à plaindre les invités, rien qu’en voyant leurs expressions.« La guerre, c’est comme ça — le premier qui arrive prend, et peut être sûr que ce sera bien défendu »