Lahat ng Kabanata ng Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Kabanata 691 - Kabanata 700

VICTORIAJ’en ai eu assez de résister et de crier. Il était évident que personne ne viendrait à mon secours et que je devais me débrouiller seule, mais mon cœur continuait à me trahir. Après m’avoir portée sur son dos pendant plusieurs minutes, il s’est arrêté au bord d’un toit et m’a déposée. Ses mains parcouraient mon corps, agrippant ma robe, me pressant contre lui, saisissant chaque occasion de me toucher.« Cela s’appelle un enlèvement, Monsieur Seigneur. Que comptes-tu faire maintenant ? », lui ai-je demandé. Il n’a pas répondu. Au lieu de cela, il m’a retournée pour me faire face, puis m’a assise sur ses genoux. Adossé au mur froid de la cheminée, niché dans la pente du toit, il m’a attirée contre sa poitrine.« Chut... Putain, quel beau genou aux couilles, petite bête sauvage. », a-t-il sifflé alors que mon postérieur s’enfonçait contre son épais renflement. « Alors laisse-moi me lever. », ai-je dit en me tortillant davantage contre cette protubérance qui devenait

VICTORIA Il paraissait si désespéré que ma main a glissé vers le bas, saisissant son membre par-dessus son pantalon et le pressant fermement. « Chut... Mon amour, oui, oui... Mmm, serre-le plus fort. Ah, c’est à toi, ma chérie, entièrement à toi... Ah... » Nous avions l’apparence de deux êtres consumés par le désir, à moitié dévêtus sur ce toit, enveloppés par l’obscurité et animés par notre passion. Le rythme des sons humides s’accélérait progressivement. Mon intimité était constamment humidifiée, mon clitoris comprimé sous la culotte profondément insérée. Ma bouche était dévorée, mon souffle capturé à chaque baiser. « Juste là, mon amour, juste là... Ah, ne t’arrête pas, ne t’arrête surtout pas... ! » « AAAHHH ! » J’ai mordu fortement sa lèvre lorsque je ressentais les crampes traverser mon abdomen et les spasmes pulser en moi. Mes cuisses se sont soulevées, mes fesses se sont cambrées, et mes hanches ont tremblé. Mes seins rebondissaient, tout mon co

VICTORIA Avant que je puisse prononcer la moindre parole, ses lèvres se sont pressées avec intensité contre les miennes. Sa main a saisi fermement ma mâchoire, m’incitant à céder à ce baiser profond et passionné. J’ai enroulé mes bras autour de son cou et me suis mise sur la pointe des pieds. Nos langues s’entremêlaient et il mordillait mes lèvres, me privant de souffle à chaque inspiration. Ses mains ont saisi mes hanches, me soulevant, et je me suis laissé faire. Je l’ai autorisé à me porter, écartant les jambes et pressant mon corps contre son désir manifeste. Nous haletions, consumés par le contact brûlant de nos corps. Il m’a portée jusqu’à l’eau, me tenant toujours fermement. Bientôt, il m’a déposée sur un rocher lisse. Je me suis penchée en arrière, les mains appuyées sur la pierre, tandis qu’un lycan dominant se frottait sans retenue contre moi. « Ah, ah, ah... » J’ai commencé à gémir au rythme de ses mouvements entre mes cuisses. Ses mains rugueuses m

DRACOMIR Je suis demeuré figé, incapable de formuler la moindre parole. Comment pourrais-je justifier que je l’aie prise pour l’une des vampires servantes de l’ancien Seigneur ? Ils se sont nourris de moi depuis mon plus jeune âge, avec brutalité, sans aucune compassion ni pitié. « Je ne le voulais pas... », ai-je tenté de lui expliquer en cherchant à la toucher. « Éloigne-toi de moi », a-t-elle répondu en reculant, se couvrant la poitrine. Puis mon regard s’est posé sur la trace de sang entre ses jambes. J’ai baissé les yeux vers mon propre corps, encore enflammé. J’avais pénétré en elle avec une telle force que je l’avais blessée intérieurement. « Déesse... Je suis un monstre... un véritable salaud... » Je me suis mis à reculer, secouant la tête, dégoûté de ce que j’étais devenu. Certes, je me suis vengé de ces maudits maîtres, mais à quoi cela a-t-il servi ? Cela n’a pas ramené ma mère, ni ma vie, ni mon innocence. Je n’étais qu’un homme brisé,

ROUSSEJ’ai perçu la nervosité dans ses mains tremblantes posées sur mes genoux. Mes propres désirs me poussaient irrésistiblement vers elle. Que faisais-je ? Peut-être ne devrais-je pas céder... Mais avant que je puisse me retirer, Meridiana a fait le dernier pas. Ses lèvres pleines et entrouvertes se sont pressées contre les miennes. Le baiser, maladroit et rigide, n’avait rien de l’échange magique habituel. Il était impossible de mal interpréter : elle m’embrassait. Mes yeux restaient grands ouverts, surpris et incertains... jusqu’à ce qu’un doux gémissement s’échappe de sa gorge, dissipant tous mes doutes. Je lui ai répondu, enivré par le parfum envoûtant qui émanait de sa peau. Ses seins se pressaient contre ma poitrine tendue et ses mains caressaient mes épaules. Je l’ai saisi par la taille, la soulevant sur mes cuisses et l’attirant contre moi. Une part de moi voulait la repousser, mais ses réactions étaient loin d’être empreintes de dégoût. Sa magie s