All Chapters of Ma Domestique Était Une Sorcière: Chapter 21 - Chapter 30

– Et pourquoi elle a encore souffert pendant tant d’années !– Belle question ! C’est parce qu’elle n’était pas sur le bon chemin ! L’église catholique ne fait ni de prières de délivrance ni celles de combat ! La vérité est souvent amère et je m’en fiche ! Je sais que les supporters de cette église ne seront pas d’accord avec moi mais je m’en moque. S’ils veulent, ils n’ont qu’à comprendre. Plus de la moitié de mon église appartenait à cette église mais aujourd’hui, ils témoignent les merveilles de Dieu ! Je ne raconte pas tout ceci pour faire quitter qui que ce soit de son chemin. Mais si quelqu’un sait qu’il adore le Seigneur et pourtant, il est encore le plus malheureux que les païens, qu’il se tourne vers son Dieu et lui demande son vrai chemin. Sinon, le Seigneur nous aime tellement que malgré nos péchés, il aime nous voir heureux. Celui qui s’accroche vraiment à Dieu ne tombe jamais. Mais comment se fera-t-il qu’on soit dans l’Éternel et pire, c’est nous qui serons encore les pl

– Allô, pasteur, comment allez-vous ?– Je vais bien, Sarah ! Et toi ?– Je vais aussi bien ! Pasteur, c’est notre domestique qui a quelques petits soucis et je voudrais l’envoyer vers vous afin que vous priiez pour elle.– Tu parles de votre domestique Abèni ?– Oui, pasteur ! Elle a fait des cauchemars tout au long de la nuit et pire, son corps est rempli de cicatrices.– Ah, là, c’est vraiment sérieux ! Elle peut passer, je suis là.– D’accord pasteur ! Bonne journée.Sarah raccrocha l’appel et fixa sa compagne.– Il est à la maison. Dès que tu auras fini, il faut aller le voir.– D’accord !Sarah attrapa rapidement la glacière du thé et se précipita vers la sortie.– On se voit à midi ! dit-elle en s’effaçant de la pièce.Abèni, l’observant partit, sourit tout bas.– Je vous emmerde, toi et ton imbécile de pasteur !Au salon, la famille, s’attablant, prenait chacun son thé matinal. Lorsqu’ils eurent fini, mère et enfants se dirigèrent vers la sortie. Depuis quelques jours, Gaston,

Abèni, ouvrant son sac à main, en sortit un billet de cinq mille francs. Elle le tendit à la jeune femme.– Enlevez deux mille cinq cents francs dedans et faites un repas à vos enfants avec le reliquat…– Quoi ? Tu es sérieuse ?– Je suis très sérieuse ! Et dites-moi, puis-je avoir votre numéro de téléphone ? Il faut que je vous appelle dès que je serai arrivée à la maison. Il faut qu’on discute de quelque chose qui pourrait vous plaire.– D’accord, vous pouvez prendre.La domestique des Sabi, prenant son téléphone, commença par pianoter les touches.– Merci ! Je vais vous appeler dès que je serai arrivée à la maison.– Il n’y a pas de souci.Les deux femmes se souhaitèrent au revoir.Abèni, s’avançant, héla un conducteur de taxi-moto.– Au revoir, madame ! lança Abèni depuis le siège arrière du conducteur.– Oui, au revoir ma chérie.La femme du pasteur, sans plus attendre, s’accourut dans la cour de la maison. Le cœur submergé de joie, la femme du pasteur alla voir son mari dans la

Je ne mens non plus. Je n’envie jamais mon prochain quand je le vois avancé. Au contraire, je prie pour lui pour qu’il avance encore davantage. Parce qu’en voulant du meilleur à son prochain, Dieu ouvre les écluses des cieux et la bénédiction tombe sur la personne en abondance. En tout, il y a beaucoup de choses que j’évite et pour cela, les anges de Dieu sont toujours à mes côtés et comme ça, jamais la main de l’ennemi ne pourra m’atteindre. C’est pour cela que je n’ai jamais peur, même en face du sorcier. Je m’en fiche de la puissance du sorcier car, il ne me fera rien ! Au contraire, je vais le tuer avec la prière.Abèni, levant le ton, éclata de rire.– Non, mais, je suis sérieuse ! Le sorcier n’a aucune force à mes yeux ! Lui, il a sa puissance et moi aussi, j’ai celle qui dépasse la sienne. Être en Jésus, c’est très bon, ma sœur. Quand tu es en Jésus et tu respectes les principes de la vie, tu as l’autorité ! Oui, Dieu te donne l’autorité de marcher sur les serpents qui ne sont

La jeune femme commença à crier de toutes ses forces. Elle criait et criait fort. Ne la suffisant pas, elle commença à rouler par terre.– Maintenant, toi esprit de mer, je t’ordonne à parler maintenant, comment es-tu entré dans sa vie ? Parle maintenant avant que je ne me fâche de nouveau.La voix de la dame s’alourdit. Elle devint grave comme celle d’un homme.– Je suis entré dans sa vie il y a de cela cinq ans, dit la voix.– Cinq ans ? Wouah ! Et comment es-tu entrée dans sa vie ?– Pasteur, s’il te plaît, laisse-moi garder ce secret je t’en prie…– Jamais ! Devant Dieu, tout doit être clair. Allez, dis-moi, comment es-tu entré dans sa vie ?– S’il te plaît homme de Dieu, je ne peux pas le dire.– Saint-Esprit de Dieu, allez, commence à le fouetter de toute ta force…La dame se mit à crier aussitôt de toutes ses forces.– Je vais le dire ! Je vais le dire ! Je promets de le dire ! Pardon ! Pardon !– Maintenant, parle !– Je vais parler !– Saint-Esprit de Dieu, laisse-le, car il