Semua Bab Ma Domestique Était Une Sorcière: Bab 41 - Bab 50

– C’était un jour et je revenais d’une promenade avec une robe moulante qui exposait tout mon corps. Je marchais, provoquant les âmes sensibles ; ces âmes, ce sont celles des hommes car, je ne suis pas une lesbienne pour me faire apprécier par les femmes. J’étais allée me promener avec cette robe moulante et revenait à la maison quand soudain, j’ai entendu quelqu’un me héler. Lorsque j’ai tourné la tête, mon regard à croisé celui de Victoria, la mère de Sarah. Je me suis approchée d’elle dans l’espoir qu’elle me demande peut-être une adresse. Mais à ma grande surprise, cette femme m’a lavée d’injures. Homme de Dieu, dis à ton peuple que ce n’est pas partout qu’on raconte de futilités. La seule chance que cette dame a eu, c’est la protection divine de Dieu par le biais de sa fille Sarah sinon, je l’aurais déjà détruite depuis longtemps. Toutes mes forces s’anéantissaient à cause de la puissance des prières de sa fille. C’est ainsi que j’ai pris la décision de nuire à la vie de Sarah ma

Un silence plat régnait dans la salle.– Chaque jour je veille ici pour prier sur vous. Je demande à Dieu de bénir mes fidèles mais le Saint-Esprit me dit : tes fidèles constituent eux-mêmes, le blocage des prières que tu fais sur leur vie. Ils n’arrêtent de faire ce que tu leur interdis de faire.Le pasteur, marchant dans l’église, parlait, en attirant les attentions.– Je dis ici aux femmes : respectez vos maris ; ayez l’esprit de soumission. Mais lorsque vous rentrez chez vous, c’est le contraire vous faîtes ; quel est votre problème au juste ? Ou pensez-vous que chaque chose que vous faîtes, le Saint-Esprit ne vient pas me les révéler ? Il me révèle tout.Le pasteur continuait sa marche jusqu’à aller monter sur l’autel.– Même avant-hier tout près ici, quelqu’un est allé voir un marabout pour prendre un produit pour aller guérir son enfant avec. Vous pensez que vous me trompez ? Vous vous trompez et avec ça, vous n’aurez jamais ce que vous voulez de votre Dieu.L’homme de Dieu pri

Tout le monde répondit : « non ».– Le Saint-Esprit ne ment jamais. Voilà pourquoi tous les nouveaux venus, vous devez-vous apprêter à la prochaine fête de Pentecôte pour recevoir cet Esprit de Dieu car, un chrétien sans Saint-Esprit, est un chrétien vide ; un chrétien sans valeur. Or, le Saint-Esprit est une promesse faite par Jésus à tous ceux qui le choisissent. Donc, préparez-vous pour l’avoir. Maintenant, ce sang que vous voyez, c’est le sang humain que le diable a façonné pour fabriquer ces matériels qu’ils ont apportés dans cette maison. C’est à cause de nos puissantes prières que le secret a été dévoilé. Voilà ce que nous subissons dans la vie. Aujourd’hui, le diable fabrique beaucoup de choses pour venir les vendre dans le monde et vous aussi, vous courrez après ces choses et c’est ça qui vous apporte le malheur de votre vie. Je parle surtout aux femmes qui font des mèches sur la tête. Je m’adresse aux nouvelles venues car, les anciennes comprennent déjà et c’est pour cela qu

À peine arrivait-elle dans le salon quand sa mère fut son entrée avec une grande colère sur le cœur.– Qui est-ce qui t’a détachée et où est-ce que tu as trouvé la clé jusqu’à entrer dans ma chambre ?– Maman, il est temps de donner ta vie à Jésus de Nazareth !– Tu es folle ! Si tu savais ma place dans mon association, tu n’oserais jamais me faire une telle proposition. Et tu sais ? Maintenant que tu as osé briser ma barrière, rassure-toi que c’est le jour de ta mort. Tu as osé n’est-ce pas ? Tu vas mourir !Maman Abèni, se dirigeant vers la chambre où se trouvaient ses miroirs magiques, elle s’approcha du premier. Lorsqu’elle le fixa, elle fit une grande remarque. S’approchant du deuxième, elle fit également la même remarque. Très fâchée, elle revint au salon, toute rouge.– Abèni, s’écria-t-elle, qu’est-ce que tu as osé faire ? Qu’as-tu osé faire à mes miroirs spirituels ?– Maman, je ne vais pas me répéter ! Tu dois accepter Jésus-Christ de Naza…– Arrête d’appeler ce maudit nom s

Irina, issue d’une famille modeste, son père est d’une taille élégante et très influenceuse. Cet état de chose fait que tout le quartier a peur de lui. En plus de sa taille élégante, il est un gendarme ; un sergent. Ses grades étaient à titre exhaustif. De ses quarante-cinq ans, Énock était déjà à la retraite.La maman d’Irina, elle était quant à elle une jeune femme de trente-huit ans. Une géante femme. Elle aussi, son apparence faisait aussi peur que, bien qu’elle soit vendeuse des produits congelés, seuls les courageux venaient à sa porte pour demander à sa domestique Prisca de lui vendre tel ou tel produit. Ces clients venaient aux heures où ni mari ni femme, aucun des deux ne venait s’afficher sous le cocotier qui faisait face à la grande boutique pour se prélasser.Irina, jeune fille de seize ans qu’était-elle, avait grandi sous cet orage. Le comportement de ses parents ne la dérangeait pas car, elle était beaucoup timide. Timide tout simplement parce que, jamais de son retour d