Semua Bab LA MARIEE CONFONDUE DE LA MAFIA: Bab 81 - Bab 90

Le point de vue de JasmineC'est son endroit préféré.Son refuge. L'image exacte de la peinture que j'avais vue dans le hangar à bateaux. J'imaginais y aller sans même savoir que c'était réel.C'était le refuge secret de Xavier. Son échappatoire.Quand il m'a dit que c'était son endroit préféré, je n'ai pu m'empêcher de sourire et de lui tenir les mains.Depuis l'accident et sa sortie, il est très silencieux. Mais je suis prête à faire tout ce qu'il faut pour nous ramener à ce que nous étions.Xavier n'a jamais été bavard, donc je ne m'inquiète pas trop. Il ne semble pas traumatisé. J'espère qu'il est encore en convalescence, même si le médecin l'a déclaré en bonne santé.Le trajet de retour se fait en silence complet. Il ne cesse de me regarder et me sourire, ce qui pique ma curiosité.« D'habitude, je passe plusieurs jours ici avant de rentrer, » finit-il par dire avec un sourire. « La prochaine fois, peut-être qu'on passera plus de temps ensemble ici. »C'est tout.Je me demande qu

Le point de vue de JasmineMa tante vit dans un quartier difficile de Chicago et je me sens mal à l'aise d'avoir Xavier à mes côtés pour la voir.Même si je me sens plus en sécurité avec lui près de moi, je me blottis contre lui sur la banquette arrière de la voiture de location. Nous avons gardé le silence depuis notre arrivée à l'aéroport.Il continue de déposer des baisers sur mon front et mes cheveux. C'est surprenant.Même s'il n'a toujours pas prononcé le mot « amour », je sais que je compte beaucoup pour lui. Ça me rend triste qu'il n'arrive pas à exprimer ses sentiments à voix haute.Ça devrait me suffire. Ses actions devraient suffire. Mais ce n'est pas le cas. J'ai besoin d'assurance. J'ai besoin d'entendre la vérité. Je veux que nous soyons ouverts l'un avec l'autre. Pouvoir nous dire n'importe quoi. Partager nos secrets. Comprendre nos silences.Je ne regrette pas de l'aimer. Je ne regrette pas non plus de le lui avoir dit. Je veux juste qu'il me le dise en retour.« On de

Le point de vue de XavierJasmine n'est pas à la maison.Elle m'ignore depuis notre retour de Chicago. Notre rendez-vous officiel est à nouveau ruiné.Et elle me manque terriblement.Les baisers et les étreintes sur notre lit me manquent.Je sais qu'elle a besoin d'espace et je lui en ai laissé. Nous ne dormons pas dans le même lit depuis deux jours.Après avoir décidé de mettre fin à tout ça et d'avoir invité Nicolas et sa femme pour clarifier les choses, elle disparaît.J'ai essayé de l'appeler mais c'est injoignable.Sébastien, qui était une menace, est éliminé, mais je ne suis toujours pas à l'aise de la savoir dehors sans gardes du corps.N'importe quoi peut arriver.Être ma femme la rend vulnérable.Je parcours notre chambre avec impatience, essayant son numéro encore et encore jusqu'à ce qu'il se mette à sonner.Après presque une minute, je tombe sur la messagerie vocale.Merde.Je me dirige rapidement vers la salle de contrôle. J'espère qu'elle n'a rien fait de stupide.Je sai

Le point de vue de XavierIl m'a fallu toute ma force pour prononcer ces mots.Finalement, ça sortait.J'ai dû inspirer et expirer, ouvrant mon cœur pour dire la seule chose que je n'ai jamais dite à aucune femme.Le désir m'envahit tandis que je caresse tout son corps, approfondissant le baiser. Elle tremble de passion, murmurant contre mes lèvres : « Je t'aime aussi, Xavier. »Il me faut tout mon contrôle pour ne pas la soulever, la jeter sur le lit et lui montrer à quel point je la veux. À quel point je l'aime. À quel point je veux adorer son corps laiteux.Elle me fait ressortir une autre part de moi. Une part que je ne montre à personne. Elle a réussi à abattre le mur que j'ai érigé autour de moi. Le mur qui me disait que je ne pourrais jamais aimer.Elle me serre fort, comme si elle avait peur que je disparaisse. Je la retiens avec la même force, la laissant fondre en moi.Je l'embrasse comme si c'était mon dernier souffle. Je n'aurais jamais cru que j'aimerais tant embrasser un

Le point de vue de XavierMa langue glisse profondément entre ses lèvres entrouvertes, vibrant d'une sensation sauvage, brute et primitive.Dès qu'elle est entrée au restaurant, je n'ai vu qu'elle. Une admiration profonde m'a submergé. Elle était si belle et élégante dans sa robe noire que j'ai eu du mal à me retenir de la toucher.L'étincelle dans ses yeux et son sourire n'aidaient pas. L'idée d'être intime intensifiait mon désir brûlant, me laissant imaginer ce que je pourrais lui faire.La voiture s'arrête. J'ouvre les yeux. Mes mains sont sur son dos. Mes lèvres toujours sur les siennes.Je n'ai pas pu résister à l'envie de la toucher en montant en voiture. Elle a réagi avec la même énergie et j'ai failli perdre la tête.Je relève la tête et repousse une mèche rebelle. Nous nous regardons un instant, essoufflés, avant que je dise : « Sortons d'ici. »Comme je l'ai dit au restaurant avant de l'entraîner à la voiture, elle a compris. Elle semble impatiente. Tout comme moi.Je fais d