NeriahKael avance, chaque pas résonne comme un coup de marteau dans mes tempes, la pierre vibre sous lui comme si le sol lui-même cédait à sa rage, ses épaules gonflées par la fureur, ses poings serrés au point que ses phalanges blanchissent, et ses yeux, d’un or dément, me fixent comme deux lames prêtes à me fendre. Il ne respire plus, il souffle, il gronde, et chaque souffle est un avertissement.Liam, contre moi, tente de se redresser, ses muscles encore tremblants, ses doigts griffus qui s’effritent en doigts d’homme serrent ma peau avec une force désespérée, sa poitrine saccadée heurte mon épaule, son souffle brûle ma nuque, mais il insiste, il lutte, et sa voix rauque éclate comme une braise sous la pluie.— Si tu la touches… Kael…Son frère ricane, un rire noir, fendu, qui n’a plus rien d’humain, un éclat de mépris qui lacère la nuit.— Toi ? Me menacer encore ? Regarde-toi. Tu tiens debout parce qu’elle t’empêche de pourrir, tu respires parce qu’elle te nourrit de son corps,
ปรับปรุงล่าสุด : 2025-09-29 อ่านเพิ่มเติม