Lahat ng Kabanata ng L’ombre du passé : Kabanata 21 - Kabanata 30

Tout d'un coup, les lumières s'éteignent.« As-tu oublié de régler la facture d'électricité, Jeff ? » On rit face à la blague de Monsieur Hutton, mais les rires s'estompent à cette voix animatrice.L'Éblouissante « Beauty »« Bonsoir, chers Messieurs et Mesdemoiselles ! »Les éclairages projettent de la lumière sur une femme blonde flamboyante, avec son maquillage chargé et sa tenue sexy qui dévoile des parties attirantes, agréables à la vue d'un homme. Et non, ce n'est pas une strip-teaseuse ordinaire ; elle ne l'est plus depuis de nombreuses années. Elle est devenue une grande ambianceuse au Canada, connaissant le succès auprès des grands hommes qui admirent sa manière sensuelle de danser et de chanter. Elle se moque éperdument des injures des filles à son sujet sur les réseaux sociaux, avouant même que ce travail lui plaît bien. Bien sûr, elle est célibataire et sans enfant. Elle est connue sous le nom de « Beauty », ce qui signifie beauté. Bien sûr, elle est devenue magnifique grâ

« Cela ne serait jamais arrivé si tu n'avais pas invité Hutton de la sorte ! » je rétorque, ma voix emplie de mépris à la mention de son nom. « Je n'aurais jamais croisé le chemin de sa peste de maîtresse ! » Les derniers mots sont crachés avec une amertume qui ne manque pas d'être perçue par Jeff. « Si tu ne l'avais pas cherchée, tu ne l'aurais pas trouvée, » riposte-t-il, sa voix imprégnée d'un sarcasme teinté d'un amusement que je déteste. D'un mouvement expert, il prend ma main, me fait tournoyer sur moi-même avec une grâce experte, avant de me ramener tendrement contre lui. Mon corps se colle au sien, et je sens la chaleur de sa peau à travers nos vêtements. « Tu estimes que c'est moi la fautive sans même connaître ma version de l'histoire, » je le réprimande, l'ironie cinglante. « Tu ferais un sacré bon juge à la cour ! » Mon regard défie le sien, cherchant une faille dans son assurance. « Ça, c'est parce que je

C'est ainsi qu'à contrecœur, les mains tremblantes et le corps parcouru de frissons, je me résolus à entrer dans la salle de bain. Chaque muscle de mon corps se tendait à la seule pensée de ce qu'il pourrait me faire avec tous ces objets de BDSM. Cette pratique sexuelle m'horrifiait plus que tout, une aversion profonde ancrée en moi, et je ne parvenais toujours pas à comprendre comment d'autres pouvaient y trouver leur compte, un quelconque plaisir ou même une forme de libération. Pour moi, c'était une abomination, une dégradation de l'être humain. « Quel enfoiré de sugar daddy ! » Ne pus-je m'empêcher de le maudire à voix basse, mon regard tombant sur les sous-vêtements scandaleux qu'il m'obligeait à porter. Ce n'était pas tant leur découpe, hyper vulgaire et provocante, qui me choquait le plus, mais leur style, parfaitement conforme au décor de cette chambre macabre. Un ensemble de lingerie fine, noire, avec des lanières et des détails en métal, conçu pour souligner chaque courbe,

C'est ainsi qu'à contrecœur, les mains tremblantes et le corps parcouru de frissons, je me résolus à entrer dans la salle de bain. Chaque muscle de mon corps se tendait à la seule pensée de ce qu'il pourrait me faire avec tous ces objets de BDSM. Cette pratique sexuelle m'horrifiait plus que tout, une aversion profonde ancrée en moi, et je ne parvenais toujours pas à comprendre comment d'autres pouvaient y trouver leur compte, un quelconque plaisir ou même une forme de libération. Pour moi, c'était une abomination, une dégradation de l'être humain.« Quel enfoiré de sugar daddy ! » Ne pus-je m'empêcher de le maudire à voix basse, mon regard tombant sur les sous-vêtements scandaleux qu'il m'obligeait à porter. Ce n'était pas tant leur découpe, hyper vulgaire et provocante, qui me choquait le plus, mais leur style, parfaitement conforme au décor de cette chambre macabre. Un ensemble de lingerie fine, noire, avec des lanières et des détails en métal, conçu pour souligner chaqu

Soudainement, le téléphone de Dia clignote. Un message s'affiche sur la barre de notification, venant d'Odie : « Je suis en route pour rentrer. » « Ça veut dire qu'elle n'est pas avec Dave, » se dit Dia, une pensée fulgurante traversant son esprit. « Vu qu'il ne la laisserait jamais rentrer à cette heure et en plus, toute seule. » Une étrange satisfaction se mêle à sa confusion. L'explication de sa cousine semblait tenir la route, mais son apparition à cet instant précis ajoutait une couche de mystère. « Oh, c'est toi, Dave ?! » s'exclame Dia, simulant la surprise avec un talent d'actrice insoupçonné. « Vraiment désolée, je t'ai accidentellement appelé. En fait, je voulais plutôt appeler l'une de mes camarades de classe pour avoir des nouvelles sur le devoir d'anglais. Tu sais, la panique matinale, tout ça... » Elle tentait d'expliquer, de justifier cet appel impromptu avec un mensonge élaboré. Ana reste étonnée, son visage figé, ne prononçant pas un mot. Ses yeux fixent Dia, at