All Chapters of Je l’ai quitté, et le PDG est devenu fou d’amour: Chapter 61 - Chapter 70

Camille s’est tournée et a saisi son téléphone.En voyant l’appel d’un numéro inconnu, elle a froncé les sourcils.Qui pouvait l’appeler en pleine nuit ?Camille a soulevé la couverture, est sortie discrètement de la chambre et a répondu, attendant que l’autre parle.« Allô ? Est-ce que je parle à Camille Leroy ? Ici la prison de Clairvaux. »Une prison ?Un malaise a envahi Camille, « Il y a un problème ? »« Votre père est décédé en détention à 3h52. Veuillez venir récupérer le corps demain. »Un choc a explosé dans l’esprit de Camille, tout est devenu vide.Pascal…Il est mort ?Camille a lentement reposé le téléphone, les yeux remplis d’étonnement.Elle lui en voulait, certes, mais dans son enfance, Pascal avait travaillé dur pour nourrir la famille.Le cœur serré de douleur, Camille s’est laissée tomber sur le canapé.Pourquoi tout cela était-il arrivé si soudainement ?…Le lendemain.Ayant appris la nouvelle, Martin a conduit Camille à la prison dès l’aube.Un

Elle a pris un taxi et a cherché l’adresse de l’Orphelinat des Nuages sur la carte.L’orphelinat se trouvait en banlieue ouest de la ville, à deux heures de route de chez elle.Camille a ouvert la conversation avec Gérard et lui a dit qu’elle lui avait déjà transféré le reste de l’argent.Il fallait avouer que Gérard était très efficace.Camille a dit : « Gérard, je veux te demander, comment tu as trouvé ça ? »Moins d’une minute après l’envoi du message, Gérard l’a appelée.Il a dit : « Je n’ai pas utilisé ton identité, mais celle de Marie. Elle a un dossier d’adoption. »« Mais ce qui est étrange, c’est qu’il n’y avait que les informations de l’orphelinat où tu étais, sans ton ancien prénom. »« Si tu peux me dire ton ancien prénom, je pourrais peut-être trouver des infos plus utiles. »Son ancien prénom ?Camille s’est figée, sa mère lui avait dit qu’elle avait été très malade étant enfant.Elle avait perdu tous ses souvenirs avant l’âge de sept ans, donc impossible de se

Martin a reçu l’appel de Camille alors qu’il arrivait justement à l’orphelinat.Il a regardé le nom affiché sur l’écran, fronçant légèrement les sourcils. Comment pouvait-elle l’appeler à ce moment-là ?Martin a décroché, mais avant même qu’il ne puisse parler, la toux violente de Camille s’est fait entendre.« Martin ! Sauve-moi ! » a crié Camille d’une voix paniquée.Le visage de Martin s’est assombri brusquement, un froid glacial est apparu dans ses yeux : « Où es-tu ? »« Orphelinat des Nuages ! Je suis dans la vieille maison derrière l’orphelinat ! Quelqu’un… quelqu’un a délibérément mis le feu et m’a enfermée à l’intérieur… Martin, sauve-moi, je ne peux pas sortir ! »À ces mots, Martin a brusquement levé la tête vers l’orphelinat, et un regard glacial et terrifiant est rapidement apparu dans ses yeux sévères.Il a ouvert la portière et est aussitôt descendu de la voiture, « Camille, couvre-toi la bouche, trouve un endroit ventilé où te tenir, j’arrive tout de suite ! »L

Camille a été surprise, « C’est aussi Thomas qui a ordonné de me percuter ? Et ce qui s’est passé à l’hôpital ? »L’homme chauve a répondu : « Ce sont aussi nous qui avons affiché ces posters diffamatoires contre toi. »Camille n’a pas pu rester assise, elle s’est levée brusquement et les a interrogés : « Réa ! Est-ce que vous connaissez Réa ? »Martin a tourné la tête vers Camille qui perdait le contrôle, ses yeux reflétaient de nombreuses émotions complexes.L’homme chauve a secoué la tête, « Je te l’ai déjà dit, nous ignorons beaucoup de choses ! Je ne sais pas si Thomas la connaît. Pour ce genre de choses, il faut attraper Thomas pour poser la question. »Le visage de Camille est devenu pâle de colère. Elle savait très bien que c’était Réa qui avait fait cela, mais Réa était trop habile à se cacher. Même si on attrapait ceux qui avaient agi contre elle, on ne pourrait rien faire contre Réa.Elle connaissait la vérité, mais ne pouvait que supporter silencieusement !Elle cont

Camille a rapidement interrompu sa phrase, elle s’est retournée vers l’homme qui tenait un bouquet de petites marguerites blanches.« Monsieur Ferrand ? »Camille s’est levée, étonnée, elle n’avait pas vu Léon depuis un moment.Ses traits étaient baignés d’une douce lumière du soleil, ce qui le rendait élégant et doux.Léon a souri, « Je t’ai vue tout à l’heure en montant, tu parlais avec tante, alors je n’ai pas voulu interrompre. »Camille était un peu gênée, sans savoir si ce qu’elle venait de dire avait été entendu.Camille a changé de sujet, « Merci d’être venu voir ma mère. »Léon a posé délicatement les fleurs sur la tombe, d’une voix claire et douce, « Tu ne t’es pas bien occupée de toi. »Son ton était assuré.Camille a baissé les yeux, « J’ai été très occupée par le travail ces derniers temps. »Léon a regardé son ventre, « Tu dois penser au bébé, les trois premiers mois de grossesse sont importants. »Camille a hoché la tête, « D’accord, je le sais. »« J’ai été