Semua Bab Mon ex Mari millionnaire veut me reconquérir : Bab 61 - Bab 70

Rebecca rentre chez elle ce soir-là, le pas un peu lourd mais le cœur encore apaisé par les instants passés la veille avec Jules et la petite Élise. Elle ferme la porte derrière elle, pose son sac sur le meuble de l’entrée et allume les lumières de son salon. La maison est silencieuse, trop silencieuse peut-être, mais elle y trouve une certaine paix. Elle retire ses chaussures, s’assoit sur le canapé et soupire longuement, comme pour déposer là tout le poids de la journée.Le lendemain matin, elle se lève tôt, fidèle à sa discipline. Comme toujours, elle prépare son café en silence, prend quelques tartines et se maquille légèrement avant de partir travailler. À l’hôpital, elle retrouve la routine de ses journées : le rythme effréné, les patients, les urgences qui se succèdent, les collègues qui échangent quelques sourires rapides entre deux interventions. Rebecca travaille avec concentration, essayant de garder son esprit clair et de ne pas se laisser distraire par les souvenirs enco

Rebecca est assise sur son canapé, les jambes repliées contre elle, le téléphone serré dans sa main. La soirée est déjà bien entamée, la lumière tamisée de sa lampe éclaire doucement le salon, projetant des ombres apaisantes sur les murs. Elle inspire profondément, son cœur battant avec une légère nervosité. Depuis le matin, elle réfléchissait à ce qu’elle devait répondre à Gregory. Sa proposition résonnait encore dans sa tête : devenir médecin de famille de sa grand-mère et, en échange, la promesse d’ouvrir un cabinet pour elle d’ici un an.Elle avait hésité toute la journée. Son esprit se battait contre ses émotions. D’un côté, cette offre représentait une opportunité professionnelle unique, une chance de bâtir enfin l’indépendance qu’elle recherchait depuis si longtemps. De l’autre, accepter signifiait replonger dans une sphère où Gregory restait présent, même de loin. Et rien que son nom réveillait des souvenirs qu’elle essayait d’enfouir.Rebecca fait défiler le contact inconnu

Rebecca est installée dans le salon de Jules, entourée de jouets éparpillés que la petite Élise avait laissés en courant d’un bout à l’autre de la pièce. L’après-midi touche à sa fin, le soleil descend lentement derrière les vitres, projetant une lumière douce et dorée. Elle se sent étrangement apaisée ici, loin des tensions de l’hôpital, loin surtout du poids du passé que Grégory faisait encore peser sur elle malgré ses efforts pour l’oublier. Elle savait qu’il devait dîner ce soir chez sa grand-mère, et cela avait suffi pour qu’elle trouve une excuse et vienne aider Jules à garder la fillette.Jules, avec sa gentillesse naturelle, avait accueilli sa proposition avec gratitude. Il n’avait pas cherché à en savoir plus sur les raisons qui la poussaient à rester. Peut-être avait-il deviné que la présence de Grégory la dérangeait, peut-être qu’il respectait simplement ses silences. Dans tous les cas, il semblait heureux de voir combien Élise s’était attachée à Rebecca. La petite fille,

Elle revient au salon pour chercher ses affaires, elle ne retrouve plus son sac, donc elle essaye de passer derrière le canapé à fin de regarder en bas, mais ne le trouve toujours pas alors elle essaye de revenir sur ses pas et c’est à ce moment-là que Jules arrive derrière elle« Rebecca… » commence-t-il d’une voix grave mais hésitante. « Tu ne te rends pas compte à quel point ta présence change tout ici. Élise rit davantage, elle dort mieux, et moi… je me sens moins seul. »Rebecca baisse les yeux, un sourire attendri glisse sur son visage. Elle caresse machinalement les cheveux de la petite. Elle ne répond pas immédiatement, laissant Jules poursuivre.« Je sais que tu travailles déjà beaucoup et que tu as tes responsabilités à l’hôpital, puis maintenant avec la grand-mère de Grégory… Mais si tu acceptais de venir plus souvent… » Il hésite, cherche à formuler sa demande sans paraître abusif. « Je pourrais te donner un double salaire. Tu le mérites largement. Tu fais bien plus qu

Chapitre 67à l’ombre des arbres, une silhouette se détachait. Gregory, immobile, observait depuis plusieurs minutes sans qu’ils ne s’en doutent. Ses bras étaient croisés, son regard attentif, presque brûlant de jalousie. Il voyait Jules serrer Rebecca contre lui lorsqu’elle avait trébuché, et cette image le hantait déjà. Lorsque Rebecca tournait la tête vers lui, elle sursautait. Gregory s’avançait, sortant de sa cachette avec une assurance glaciale.— Rebecca, dit-il d’une voix basse mais ferme, comme si le nom seul lui appartenait.Elle ne trouvait rien à répondre, prise de court. Jules, un instant interloqué, s’arrêta, gardant la fillette bien calée dans ses bras. Gregory n’attendait pas, il franchissait l’espace qui les séparait et, d’un geste presque possessif, il passait son bras autour des épaules de Rebecca, la détachant ainsi de la proximité de Jules.— Je vais la raccompagner, lança Gregory sans même demander l’avis de l’intéressée.Rebecca restait figée, incapable de p