บททั้งหมดของ Générale Malgré Elle - Quand l'Impératrice Force le Tyran à Capituler: บทที่ 31 - บทที่ 40

Appartement de la Reine.Isabelle dînait quand Madame Marthe est entrée avec un bol de soupe.« Majesté, ceci vient de la Vicomtesse de Cuiva, elle vous prie de la goûter. »Isabelle a jeté un coup d’œil aux autres plats sur la table.« Posez-le ici. » Sa réaction était neutre.Une fois Madame Marthe partie, Claire a sorti immédiatement une aiguille d’argent pour tester la présence de poison. La soupe contenait de la digitale, et heureusement, Isabelle avait pris l’habitude de tester la nourriture pour le poison lors de ses années d’aventure. Cela avait même rendu Claire excessivement méfiante, elle soupçonnait que cette soupe pourrait aussi être empoisonnée.L’aiguille n’a pas changé de couleur.Isabelle en a pris une cuillerée, l’a portée à son nez et a humé.« C’est l’antidote de la digitale. »« L’antidote ? Majesté, la vicomtesse savait-elle... ? »Isabelle a pris un morceau de viande.« Évidemment, c’est elle qui a envoyé l’assassin. »« Ah ? Et elle... ? »« Elle n’est p

Isabelle s’est débattue de toutes ses forces, mais étant sous l’effet du poison paralysant, son corps était sans énergie, ses coups de poing n’étaient que des chatouilles.L’homme s’est penché sur elle, tout son corps pesant comme une pierre tombée du ciel, à la fois dur et brûlant. Elle pouvait entendre sa respiration qui devenait de plus en plus rauque et chaude, comme un feu ardent.Elle se sentait comme si elle était en plein été, la chaleur du soleil l’envahissant, ou comme si un feu la consumait, sa température corporelle grimpant dangereusement.Isabelle a tourné la tête sur le côté, et ses yeux se sont brouillés de plus en plus.La sortie était juste devant elle, mais semblait aussi lointaine que l’horizon.Au moment où elle allait s’évanouir, une silhouette est apparue dans son esprit. Cette personne, vêtue de blanc immaculé, sa voix pleine de préoccupation — « Isabelle, réveille-toi... »En un instant, les yeux d’Isabelle se sont ouverts. Avec sa dernière force, elle a e

La duchesse de Lamballe a entouré le bras du roi de son propre bras, son regard beau et expressif plein de tendresse. « Votre Majesté, j’ai entendu dire que Monsieur Gaspard a offert un cadeau à la Reine. »Une lueur glaciale a traversé les yeux en amande de Louis. Il était interdit d’échanger des cadeaux en privé dans le palais. La Reine cherchait-elle la mort ?Observant les changements d’expression de Louis, la Duchesse de Lamballe a poursuivi, « Votre Majesté, peut-être que la Reine ignore les règles de la Cour, c’est pourquoi elle a commis cette erreur. Je crains que Monsieur Gaspard, ayant tenté d’empoisonner Votre Majesté, n’ait impliqué de nombreuses personnes. La Reine a été en contact avec lui, et cela pourrait être mal interprété, on pourrait dire qu’ils ont comploté secrètement. Après tout, toutes les femmes du palais veulent obtenir les faveurs du roi, sauf la Reine. Elle se donne tant de mal pour que Votre Majesté prenne d’autres femmes, ce qui a donné l’opportunité à M

La nouvelle de la punition de la Reine, qui devait copier les règles du protocole de la Cour, s’est répandue rapidement parmi les dames de la cour. Elles en savaient même davantage.« Ces biens, ce ne sont pas seulement ceux envoyés par nos familles, nous en avons aussi envoyés nous-mêmes. Mais la Reine ne nous a pas dénoncées, ce qui prouve qu’elle est sincère envers nous. »« D’après les serviteurs de la Reine, elle nous a particulièrement comprises dans nos difficultés. Elle avait l’intention de nous remettre ces biens, sans en garder un seul pour elle. »« La Reine préférait porter seule la punition plutôt que de nous faire porter la culpabilité. »Les dames étaient de plus en plus émues, certaines avaient même les yeux humides.Après tout, dans cette Cour, de véritables sentiments étaient rares.La Comtesse de Montmorency s’est permise de les railler avec une certaine arrogance. « Vous êtes bien naïves. Moi, je sais qu’il n’y a pas d’actes sans arrière-pensée. La Reine n’a-t-

La duchesse de Lamballe s'est arrêtée, fixant intensément la personne assise à la place d'honneur. Cette dernière restait impassible, mais pour une raison quelconque, la duchesse a ressenti un froid soudain.Isabelle a parlé lentement.« Le Roi accorde ses faveurs à toutes, les familles des Dames ne viennent plus offrir des biens au Petit Trianon, et tu sais bien que cela t'affecte. Mais tu ne l'admets pas. Même si cela te touche, même si tu veux me faire disparaître, tu continues à faire semblant de ne rien ressentir. Duchesse, tu es comme une chienne de compagnie, tu es terrifiée mais tu aboies sur tes pattes tremblantes. »Le visage de la duchesse est devenu glacial, et elle s'est avancée de deux pas.« Que dis-tu ?! » Élodie de Montpensier, cette salope, osait l'insulter ainsi en la comparant à un chien !Charlotte, la servante, était également stupéfaite.Comment la Reine pouvait-elle parler ainsi à la duchesse ?Même la Reine Mère respectait cette dernière dans ce palais !Is