Sad Quotes About Family

I was locked in a fridge for 40 days while the uncensored photos of me spread like wildfire across the internet. In the face of the salacious rumors about me, my mother reacted by reposting them. Then, she turned to warn my sister, "Look at how disgusting the entertainment industry is. Don't join it, alright? Stay home and inherit your sister's assets instead. My dearest daughter must be innocent and pure, unlike her." She forgot. She forgot I only joined this 'disgusting' industry to pay for her cancer treatment.

My family was attacked by rogue wolves when we entered their territory. My wolf was gravely injured, and in the end, I was the one who saved everyone.
As I collapsed, exhausted, no one came to me—they all ran to my adopted sister, Fiona, fussing over a few shallow scratches.
By the time pack members carried me to the infirmary, the healer delivered the cruel news: my wolf had been struck by a silver dagger, and the one-month-old pup in my womb wouldn’t survive.
Yet my mate, Luke, had given the only life-saving treatment to Fiona. With no other choice, I refused the healer’s remedies and numbed my wolf’s pain with crude herbs—knowing it would only buy us three days before death.
In those last days, I let everything go. I gave Fiona all my possessions and insurance money while my parents smiled in approval. I signed the bond-severing agreement Luke slid across the table without a second thought. Luke was satisfied, believing I was considerate. Kane, my brother, nodded his head when I told him to give my room to Fiona.
Even my son, Jim, squealed with joy when I asked him to call her “mom.” No one questioned why I gave all my belongings to Fiona, and their approving gazes said it all: “Good. The old Emma is back. But as the clock ticked down, one thought haunted me:
When they find our bodies—my wolf and my unborn pup—will that satisfaction turn to regret?

I used to be the apple of my family's eye, but Suzanne Nilson changed that when she showed up on my birthday with a DNA test result. The Nilson family cruelly kicks me to the curb and throws me back to my biological parents, leading to me being sold off to the village idiot. Xavier Gubbens, with whom I've grown up, kicks the door down and saves me. Later, he etches a word on my face. "Do you think you're done repenting for your sins with this, Suzanne Nilson?" Later still, his eyes are red as he pleads, "Can't we go back to how things used to be?" How things used to be? There's no such thing. Everyone has to look to the future.

The day cancer spread through my whole body, my family took me to court for being heartless and cruel. All because I refused to donate my kidney to the fake daughter, even though I was a perfect match. When they saw me lying in the coffin, my sister, who never liked me, said, “What a drama queen! Even got yourself a coffin this time.” Even my parents despised me and said, “If you want to die, at least cut out your kidney first and go die somewhere else. Don’t die in front of us and make us sick.” But later, when the memory extractor cut into my brain, it revealed all the times I had been tortured by that fake daughter over the years. The family that despised me went insane at that moment.

I'm Sophie Gould, the only daughter of the wealthiest man in Arberton. My mother doesn't like me, though. She treats her niece, Tanya Hall, like her own and allows her to take over my identity. At a banquet where all affluent families are gathered, Tanya takes my seat before I can. Then, she says in a voice loud enough for everyone to hear, "You wouldn't even be here if not for Mom wanting me to show you around so you can expand your horizons, Sophie. "Remember this—you might not be a member of the Gould family, but your actions are linked to us. Don't disgrace us." In the past, I would've stood there with my eyes red, at a loss for what to do. It was too bad I'd been reborn. I smile icily at Tanya and kick her off my throne. "I should've expected this of an impostor. To think an insignificant banquet like this is enough to make you act so obnoxiously! And did you say you're part of the Gould family? You have no idea the sort of trouble you'll be getting yourself into!"

Mon amour, Éric Valmont. Il m'aimait à la folie. Tout le monde disait qu'il était le mari idéal. Mais il m'a trahie. Trois fois. La première fois, c'était il y a trois ans. Son ami, Lucien Caron, est mort en le sauvant. Éric m'a caché qu'il avait épousé Margaux Lefèvre, la fiancée de Lucien, pour « la protéger ». Le jour où je l'ai découvert, j'ai voulu partir. Mais il a fait partir Margaux à l'étranger dans la nuit et s'est agenouillé devant moi, suppliant : « Claire, Lucien est mort à cause de moi… Je dois prendre soin de sa fiancée. Ce mariage n'est qu'une protection pour elle, rien de plus. Dès que j'aurai vengé Lucien, je divorcerai. Je t'aime, toi, et seulement toi. » Cette fois-là, je l'ai pardonné. Un an plus tard, lors d'une conférence de presse, Éric a publiquement présenté Margaux comme « l'épouse du chef ». Il m'a encore expliqué : « Margaux est la fille unique de la famille Lefèvre, puissante dans le milieu. Notre alliance n'a qu'un but : venger Lucien. Nous avons déjà convenu qu'après, je divorcerai… et je t'épouserai aussitôt. » Et, encore une fois, je l'ai cru. Puis, il y a un an, lors d'un gala, on lui a tendu un piège. Drogué, il a passé la nuit avec Margaux. Il a tout caché… jusqu'à ce que, quinze jours plus tôt, je le surprenne à l'hôpital, accompagnant Margaux à une échographie. Quand j'ai compris, il a baissé les yeux, incapable de me regarder, et a murmuré : « Claire… ce n'était qu'un accident. Quand l'enfant naîtra, je l'enverrai loin. Mes parents s'en occuperont. Jamais ni elle ni l'enfant ne croiseront ta route. » Sous couvert d'amour, Éric m'a poussée, pas à pas, à tout accepter. Mais aujourd'hui, je le sais : il n'y aura plus jamais de « nous ». Il est temps pour moi de partir.

J'étais une Oméga, et pourtant mon compagnon était un Alpha. Même si je n'avais pas de louve à moi, je pouvais entendre la voix du sien. À travers lui, j'ai découvert beaucoup de ses petits secrets. Par exemple, il préparait en secret une grande cérémonie d'union. Dans trois jours, il comptait me demander en lien, et je faisais semblant de ne rien savoir. Mais cette nuit-là, Henri Tarrington a ramené son amour d'enfance à la maison. J'étais sur le point de lui demander ce qui se passait quand j'ai entendu son loup gronder avec fureur : « La cérémonie dans trois jours, elle n'est pas censée être pour Liane ? Pourquoi est-elle maintenant pour Chloé ? » Alors, la cérémonie que je n'étais pas censée connaître… n'avait jamais été destinée à moi. J'ai continué à faire semblant de ne rien savoir. En silence, j'ai abandonné ma chambre, mes biens les plus précieux, et même Henri lui-même. Puis, j'ai acheté un billet pour le Sud. En portant les jumeaux dans mon ventre, j'ai quitté la meute des Crocs pour toujours, le jour même où ils célébraient leur cérémonie d'union.

Mon petit ami Jacques m'avait promis une grande cérémonie de marquage pour mes 20 ans. Pourtant, le jour de mon anniversaire, c'est devant tout le monde qu'il a solennellement demandé à ma demi-sœur Lydia de devenir son âme sœur. Sous les acclamations générales, je suis restée là, telle une pitre abandonnée, le cœur brisé. Alors que la douleur de la trahison m'engloutissait, Samuel, l'héritier Alpha de la Meute du Fantôme Noir, a surgi pour déclarer sa flamme : « Annie, je t'aime en secret depuis longtemps. Deviens ma Luna, veux-tu ? » Je l'ai accepté, et pendant cinq ans de mariage, il m'a chérie, gâtée, se souvenant de chacun de mes goûts. Jusqu'au jour où j'ai surpris sa conversation avec un Bêta et mon bonheur s'est brisé : « Samuel, Lydia est enfin devenue la Luna de le Meute de Rose Blanche. Vas-tu continuer à jouer un mari modèle devant Annie ? » « Puisque je ne peux avoir Lydia, peu importe qui partage ma vie. Au moins, comme ça, Annie ne viendra pas gâcher son bonheur. » Dans le coffre de son bureau, il conservait précieusement chaque cadeau de Lydia : pendentifs en crocs de loup, lettres marquées de ses empreintes... Même sur sa précieuse armure d'écailles, chaque plaque portait gravé le nom de Lydia. « Lydia, mon unique amour. Mes griffes trancheront tous les obstacles pour ton bonheur. » « Je t'offrirai mon cœur de loup battant, si tu le désires. » « Je te volerais même la lune, s'il le fallait ! » Ce que je croyais être cinq années de mariage heureux n'étaient qu'un mirage, et une fois la vérité révélée, tout s'est dissipé comme une brume. J'ai demandé à quitter la meute. Et dans deux jours, j'aurais disparu de la vie de Samuel pour toujours...

I was suffering from period cramps, so I ordered some painkillers. I asked for a woman to deliver my painkillers to me, but a drunken man came over instead. This time, I did not call my brothers for help. I called the police instead. In the past, not only did my brothers send all of their bodyguards to me, but they also rushed back. In the process, they ended up missing the theater performance of our adopted sister, Gloria. Gloria was sad and grabbed a prop to stab herself. My brothers comforted me. “Don’t blame yourself for it. At the very least, you’re safe.” But, right after, they arranged my kidnapping and gave me over to a group of drunkards. “That was just a drunkard. You could have just chased him out. Did you have to call us? Look! Gloria’s dead now! You’re not getting out of this alive either!” When I opened my eyes again, I returned to the time when the drunkard was knocking on the door. This time, I did not call them, and my brothers got to watch Gloria’s theater performance and cheered her on. But once the performance ended, they regretted it.

I was diagnosed with late stage the Hollowing—Wolf Soul Degeneration. According to the Compatible Soul Restructuring Program, I could survive by receiving a soul transplant. If no match were found, I would be brain-dead in three months. After more than two months of waiting, the soul that matched me best was given away by my mate to my sister. The therapist recommended that I keep waiting for a new match, but I refused. I signed a treatment waiver and left Central Medical Center early. All the wealth and resources I had spent years saving—I gave every last bit to my sister, Lisa. For the first time, during the full moon family dinner, my parents smiled at me. My mate moved into Lisa’s room to take care of her. I did not get angry. I even made him breakfast. Even when my little pup asked if she could be his mom, I nodded and said yes. I gave them everything they wanted. So why are they regretting it now? …