Tails Blushing

Born a day before the full moon, Yuki's family was wiped out for driving a curse into the world, but the moon goddess forbade them from killing her. Her life was spared, and she is marked as an omega. The worst of all - a cursed omega. Wolf bane and deprived of birth right, she knows nothing but pains. She isn't allow to choose a mate or be mated to. Who will even want her? What is the moon goddess thinking when her was paired Remus - the beast in golden mask. The future Alpha of Onyx Tails Pack. Will Remus accept her flaws and protect her or will he make her regret it? Is this a blessing in disguise or the beginning of another chaos?

Back in the Greek Dark Ages of the 12th-19th Centuries BC, anthromorphs and humans live in the same society until this history became a nightmare. Do humans still believe they exist? Since then, anthromorphs became unidentifiable, especially Bryle Akihiko Alinsky, the rarest Wolf Trait Anthromorph living who have hermaphroditism wherein he have two sex genitals but only have one reproductive organ that cause him to be the most unique Man-Wolf Anthromorph. Bryle despise humans. He always mask himself with good nature and socialization. His parents were part of those frightening history that hunts him every night upon closing his eyes. He hid his true nature through his shadow but one night, a man, a human rather, triggered his inner wolf causing him to go dizzy. Ears and tails tingling to emerge. He run away and almost got caught, he wished to not see that human again for it can be too dangerous to be near him. His inner-wolf want that man, he was his wolf's desired mate. Giovanni Keller is a CEO and a scientist whom his mother got bitten by a Wolf Trait Anthromorph before. And now she's in a dead-alive situation and they can only find the cure in a Wolf Trait Anthromorph. Now that he truly fell in love with Bryle, it turned out that Bryle is the creature he'd been dying to lay his hand on. A novel about two different worlds. Would Gio give up the ardor they've felt for each other and use Bryle to be his subject and make him suffer? Would Bryle fight for himself or let the person he love do what he wants? Will history repeat itself? Would darkness, blood-filled, humans against anthromorph once would happen again?

Born a day before the full moon, Desdemona’s family was wiped out for driving a curse into the world, but the moon goddess forbade them from killing her. Her life was spared, and she is marked as an omega. The worst of all - a cursed omega. Wolf bane and deprived of birth right, she knows nothing but pain. She isn’t allowed to choose a mate or be mated to. Who will even want her? What is the moon goddess thinking when she paired her Arram - the beast in a golden mask. The future Alpha of Onyx Tails Pack. Will Arram accept her flaws and protect her or will he make her regret it? Is this a blessing in disguise or the beginning of another chaos?

“Little sis is blushing again. That pink’s not from the room, is it?” He dragged a finger along her jaw, slowly. “Tell me, did your panties go missing… or did you just want us to notice?” When Thalia’s heart is shattered by betrayal, her mother sends her away—to a dark, creepy mansion in the middle of nowhere. There, she must live with her cold stepfather and his four mysterious sons: Blaze, Jax, Rhys, and Milo. They’re not boys. They’re wild, dangerous, too hot to look at—and totally off-limits. Everyone calls them “troubled.” But Thalia quickly learns there’s something even darker inside them. Something not human. The mansion whispers with secrets, the moon shines too brightly, and the air feels too alive. Then comes the warning: a strange event called the Lunar Surge is coming. People are changing—becoming more aggressive, more primal. More... hungry. Thalia should run. But her body won’t listen. Because her stepbrothers aren’t just teasing her. They’re watching her. Touching her. Whispering things that make her knees go weak. And her body? It’s reacting in ways she doesn’t understand… or want to stop. She came to heal. She’s not sure she’ll make it out sane.

« Mademoiselle Lebrun, nous avions suivi vos instructions à la lettre : le corps ‘mort' vous ressemblait en tous points. Nous devions le livrer dans dix jours, directement sur le lieu de votre mariage avec Monsieur Humbert. » Au bout du fil, la voix calme de l'employé procurait enfin un peu de répit à Doriane Lebrun, dont les nerfs étaient à vif depuis des semaines. « Parfait, je vous remercie », répondait-elle. « Tout est en ordre, rassurez-vous. Aucune suspicion n'est possible : l'identification sera indiscutable. » Doriane sentait alors son souffle lui revenir, comme si un poids immense se soulevait. Elle prenait encore quelques minutes pour confirmer les derniers détails de l'opération avant de raccrocher. Puis, recomposant son masque de sérénité, elle franchissait la porte de la loge privée. À l'intérieur, les rires et les conversations s'éteignaient instantanément à son entrée, comme coupés au couteau.

Le jour de mon mariage, mon fiancé, Gervais Rodier, a brutalement mis fin à la cérémonie. Tout ça, à cause d'un simple post de Léonie annonçant son retour en France. Gervais a jeté l'alliance qu'il avait lui-même dessinée, puis est parti sans un regard en arrière. Je suis restée là, immobile, dans ma robe de mariée. Jasmin, mon frère, qui me soutenait, a fini par lâcher mon bras : « Clara, tu as toujours été forte. Je sais que tu peux gérer ça seule. Là, c'est Léonie qui a le plus besoin de moi. » Sur ces mots, il est parti, lui aussi. Ils m'ont abandonnée, pour la même femme. Le soir, après avoir réglé les derniers détails de ce mariage raté, j'ai reçu une photo de Léonie. Sur l'image, Gervais et Jasmin veillaient tous deux à son chevet. Le collier fabriqué par Gervais était autour de son cou, et la robe de mariée dessinée par Jasmin enveloppait son corps. Tout cela… aurait dû m'appartenir… C'était à ce moment-là que j'ai abandonné tout espoir. Les larmes aux yeux, j'ai composé un numéro : « Papa, maman… J'ai changé d'avis. Je veux rentrer chez nous. »

Ne trouvant plus d'échappatoire, Chloé Dumont a donc passé un accord avec la mère de Lucien Bernard. Elle a fini par épouser Lucien. Pendant trois ans de mariage, Chloé était douce, obéissante, supportait tout sans jamais se plaindre. Elle est allée même jusqu'à aider Lucien — paralysé des jambes et au caractère explosif — à se remettre debout. Elle pensait naïvement qu'ils pourraient continuer à vivre ensemble, malgré tout. Mais c'était sans compter sur le retour de Jeanne Laurent, la femme qu'il avait toujours aimée. Un jour de pluie torrentielle, sans une hésitation, il l'a abandonnée, trempée et misérable, pour aller chercher Jeanne. Par la suite, il a inventé un déplacement professionnel… alors qu'il emmenait Jeanne à un concert. Pire encore, il l'a ramenée chez eux, flirtait ouvertement devant Chloé… Déçue encore et encore, Chloé a fini par prendre une décision : divorcer. ... La prochaine fois que Lucien recroisait Chloé, c'était à une soirée mondaine. Son ex-femme — autrefois terne et insignifiante — portait une robe de haute couture, elle était rayonnante, gracieuse, d'une élégance à couper le souffle. Mais ce qui le rendait fou de jalousie, c'est qu'elle ne le regardait même plus. Elle souriait à un autre, riait doucement dans ses bras. Il l'a coincée dans un coin de la salle, le regard noir : « Chloé, qui t'a permis d'être avec un autre homme ? » Elle l'a giflé sans hésiter : « C'est qui ce chien qui me colle ? Dégage, ou je porte plainte pour harcèlement sexuel ! » ... Chloé déménageait dans un nouvel appartement et faisait la connaissance d'un voisin calme et bienveillant. Cet homme s'appelait Xavier Marchand. Il lui apprenait à faire confiance, à s'appuyer sur quelqu'un. Avec lui, elle devenait presque une enfant qu'on protège. À chaque obstacle, il était là, toujours présent, solide comme un roc. Leurs rendez-vous, ses déclarations, la demande en mariage, même les moindres détails du mariage… Xavier s'en occupait, tout était pensé pour elle. C'est là que Chloé comprenait : Être aimée, chérie, portée dans le creux de la main par quelqu'un… c'est ça, le vrai bonheur.