The Ton Bridgerton

#PROLOGUE C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras ton pain jusqu'au jour où tu retourneras poussière comme tu es venu. Ainsi est la punition que le créateur du monde avait donné à l'homme, pour avoir goûté le fruit défendu. L'argent étant une valeur essentielle pour la survie de l'homme sur la terre, certains hommes ont trouvé que c'est très pénible mangé à la sueur de leur front et ont opté pour des moyens plus faciles. Kenzo, natif de Mbakou, est envoyé dans la ville de Douala par ses parents afin de poursuivre ses études supérieures après son baccalauréat. Là-bas il va tomber amoureux de la vie de louga (Belle vie) que certains de ses camarades mènent. Kenzo : je suis prêt à tout faire pour être comme vous, pour avoir : Le respect, la popularité et la richesse... Entre les loges de porte-monnaie magique, la vengeance et la religion quelles seront les issus ? Nous allons avoir 2 histoires en 1

Le troisième jour après ma mort, Louis Richard a reçu un appel pour identifier le corps. Serrant une femme dans les bras, il a dit d'un ton désinvolte : « Je m’en fous. Appelle-moi après l’incinération. » Mon corps a été brûlé dans le crématorium. Une fois réduit en cendres, le personnel a de nouveau contacté Louis. Agacé, il a poussé un soupir : « Je vois. J’arrive. »

My life is terrible enough. My dad died robbing a jewelry store. My sister hates my guts. An enforcer shows up out of nowhere and tells us we owe a shit ton of money. My mom? Ran off with my credit card and all her fancy jewelry at her first opportunity. So that leaves me... With no cash and a pissed-off crime boss. Raoul gives me a choice: pay up or belong to him. Now, I’m stuck in his world, living in a fancy apartment, clashing with his bossy rules, and realizing he might not be all that bad, after all.

Cordelia Jenner married a thug in place of her sister and lived poorly ever after… Or did she? With a snap of the fingers, her husband became a secret billionaire with a ton of power and influence...That was impossible! Cordelia ran back to their quaint little home and right into her husband’s arms.“They claim that you’re Mr. Hamerton. Is it true?”The man stroked her hair. “That guy just looks like me.”Cordelia pouted. “He’s the worst. He insisted that I’m his wife. Beat him up!”The next day, said Mr. Hamerton put on a smile and appeared in public—bruised and battered.“Mr. Hamerton, what happened?”The man grinned. “My wife’s wish came true. I ought to put more effort into it.”

Zindegi...Pyaar raconte l'histoire émouvante d'un jeune homme ordinaire(Ayush Deshmukh) qui tombe sous le charme d'une séduisante demoiselle assez célèbre qui est connu grâce à ton talent pour la musique et la richesse de sa famille... Cependant, en tombant amoureux de Karina, Ayush ne se doutait pas de la gravité du combat douloureux que la jeune femme est obligé de mener chaque jour... Contre toute attente, l'amour sera au rendez-vous et ça malgré les difficultés...mais à la fin il devrait faire face à la solitude...

Après avoir annulé pour la 88 fois notre mariage, j'ai appelé mon associé pour lui annoncer ma décision : « Je me porte volontaire pour le développement du marché en Hériville. » Sa voix stupéfaite a résonné à l'autre bout du fil : « Tu es sûre ? Ce projet nécessite un engagement de dix ans sur place. Tu viens de te marier, ton mari est d'accord pour une séparation immédiate ? Et tes parents ? Ton plus grand rêve n'était-il pas de rester à leurs côtés ? » Fixant l'église vide, j'ai ri amèrement : « Le mariage a encore été annulé, de quel mari parles-tu ? Quant à mes parents, Claudine leur suffit. » Après un silence, l'homme a fini par acquiescer : « D'accord. Prépare-toi, tu pourras partir demain. » Raccrochant, j'ai laissé mes larmes couler sur ma robe de mariée. Oui, en ce jour qui aurait dû être le plus heureux de ma vie, Claudine Sadoul, ma sœur adoptive, avait encore tenté de se suicider à cause de sa dépression. Et une fois de plus, Gauthier Lortis, mon futur époux, avait annulé notre mariage. Je l'avais regardé, épuisée et désespérée : « C'est la 88 fois. » Rempli de remords, il avait baissé la tête pour me cajoler : « Accorde-moi encore un peu de temps, Léone. Tu sais bien que depuis cet accident, Claudine est si fragile… J'ai tellement peur qu'elle fasse une bêtise. Cette fois, je vais avoir une conversation claire avec elle. Ensuite, nous officialiserons notre union, immédiatement. » Mes parents, indifférents à mon chagrin, avaient insisté : « Léone, laisse Gauthier partir. Si Claudine n'avait pas été kidnappée à cause de toi, elle ne souffrirait pas de dépression. L'empêcher d'aller la sauver, c'est vouloir sa mort ? » « Comment peux-tu être aussi égoïste ? Ton mariage est-il plus important que sa vie ? » Ces reproches, je les avais entendus maintes fois. Auparavant, je m'étais défendue. Mais cette fois, j'étais restée silencieuse. Puisque mon fiancé et mes parents me rejetaient et ne me faisaient pas confiance, je disparaîtrais de leur monde !

Ditinggal selingkuh. Mandul. Dijadikan seorang ibu rumah tangga biasa. Berujung perceraian dengan satu ton tuduhan yang membuatnya merasa kerdil. Apalagi yang kurang bagi Kala? Semuanya berkumpul jadi satu, merobek sisi kemanusiaannya perlahan. Membuatnya mempertanyakan satu hal pada Sang Pencipta, kenapa harus dirinya? Kendati demikian, ada setitik waras yang masih ia punya. Saat mata mereka mengudara, Kala sadar, dirinya sudah tertawan. Pada satu sosok polos yang kelahirannya tak diinginkan oleh sang ibu. Sosok kecil bernama Sheryl Amanta Versha. Pusarannya makin mengerucut, hingga mempertemukan pada secercah rasa yang ia tampik demikian keras. Berhasil kah, ia dengan jalan yang dipilih? *** Judul sebelumnya KALA MANTARI

Le jour de la cérémonie de marquage, j'attendais des fleurs et l'engagement, mais c'était la terrible nouvelle qui est arrivée : Liam, mon compagnon, avait disparu dans une tempête de neige, son corps jamais retrouvé. Je perdais mon amour, et le louveteau dans mon ventre perdait son père. Le chagrin a failli m'emporter, mais tous me répétaient : « Aurora, prends sur toi... Fais-le au moins pour ton enfant. » Le jour des funérailles, Jasper, le frère jumeau de Liam, est revenu des frontières avec sa compagne. Chaque fois que je voyais son visage, si semblable à celui de Liam, mon cœur se tordait de douleur. Jusqu'à cette nuit où j'ai entendu par hasard ma belle-mère Monique parler à Jasper : « Liam, tu dois continuer ainsi. Jasper est mort pour te sauver. Ta belle-sœur traverse une période difficile. Attends qu'elle accouche et trouve du réconfort, puis tu officialiseras ton union avec Aurora. » Un silence, puis la voix masculine a répondu : « Mais Aurora... Elle porte mon enfant. » Monique a soupiré : « Aurora est forte et compréhensive. Elle nous comprendra. » Liam, résigné, a murmuré : « D'accord... Je ferai comme tu dis. » C'était alors que j'ai compris : Liam n'était jamais mort. Ce « Jasper » devant moi... c'était LUI ! Le cœur en miettes, j'ai appelé mon frère Brice, dans une meute du Sud : « Brice, je veux rentrer. Liam est mort... Je n'ai plus rien à faire ici. »

Une semaine avant notre mariage, mon fiancé, Julien Valette, m’a laissée sans voix en m’annonçant qu’il devait d’abord épouser son premier amour avant de pouvoir m’épouser. « C’est parce que la mère de Manon est décédée », m’a-t-il expliqué d’un ton presque glacial, comme s’il s’agissait d’une simple formalité, « et elle souhaitait que je sois celui qui l’épouse… Sa mère a toujours rêvé qu’elle trouve un homme bien, et moi, je suis censé accomplir sa dernière volonté. Ne prends pas cela trop au sérieux. » Mais de mon côté, ma société avait déjà tout organisé pour notre grand jour, un événement qu’il avait qualifié de « mariage du siècle ». Elle avait même prévu de nous offrir un bijou exclusif de la collection True Love. D’un ton presque imperceptible d’impatience, il a ajouté : « Ce n’est qu’un milliard d’euros. Vraiment, qu’est-ce que c’est face à la piété filiale de Manon ? Si tu tiens vraiment à cette somme, trouve-toi un autre mari, je t’en prie. » Sous la froideur de ses paroles, mon cœur, lourd de déception, s’est serré. D’un geste mécanique, j’ai saisi mon téléphone pour appeler mon frère : « Noé, il faut que tu me trouves un autre futur époux. »

Jack Cooke—my husband, who'd never so much as scrambled an egg—suddenly went full kitchen freak. He bought a ton of pots and spatulas, then spent all day just... polishing them. When I called him out, he shrugged. "I like things clean. That a crime now?" Behind him? A mountain of dirty socks. Then it got weirder. He dragged all the kitchen stuff into our bedroom. At night, he'd get weird with a dishcloth. Like, disturbingly weird. I was done. I asked for a divorce. Jack stormed into a private dining room and shredded the papers right in front of our investors. "You're seriously ending our marriage over this? Kinda dramatic, don't you think?" I didn’t blink. “I gave up my spot for your pots and pans. A little thanks wouldn’t kill you.”