Tu Shan Yaya

J'ai été infectée par l'aconit lunaire, une maladie chronique, et j'ai fait face à la mort. Mais le seul antidote, la Panacée rouge, a été acheté par mon compagnon Léo et offert à ma demi-sœur Jeanne, simplement parce qu'il pensait que je faisais semblant d'être malade. J'ai abandonné le traitement conservateur et avalé des analgésiques puissants. Le prix à payer : ils me tueraient en trois jours, en faisant atrophier mes organes. Durant ces trois jours, j'ai tout abandonné : Quand j'ai offert ma filature, bâtie de mes propres mains, à Jeanne, mes parents m'ont félicitée : « Enfin, Viviane sait aimer sa sœur. » Quand j'ai proposé à Léo de rompre notre lien, il a souri : « Tu deviens enfin compréhensive. » Quand j'ai ordonné à mon fils d'appeler Jeanne « Maman », le petit a ri : « Jeanne est la plus gentille du monde ! » Lorsque j'ai transféré toutes mes économies à Jeanne, personne n'a perçu l'anormalité. Ils ont simplement hoché la tête, satisfaits : « Viviane n'est plus aussi mauvaise qu'avant. » Mais après ma mort, regretteraient-ils leurs actions ?

Pendant cinq ans, mon compagnon destiné, l'Alpha Kaël, et moi avons vécu 98 cérémonies de marquage. Et chaque fois, ses crocs s'arrêtaient juste avant de m'atteindre le cou. Tout ça parce que l'Oméga qu'il disait considérer « comme une sœur » s'évanouissait toujours au moment parfaitement choisi. Lors de la 99ᵉ cérémonie, cette Oméga s'est de nouveau « blessée ». « Je te jure que je terminerai le marquage la prochaine fois », a dit Kaël en soulevant l'autre louve dans ses bras, sans même me jeter un regard. J'ai alors brûlé la robe de Luna que j'avais portée 99 fois, puis j'ai remis ma robe royale de princesse du Royaume d'Ombrelune. Ensuite, j'ai brisé le lien du destin et je suis partie sans me retourner. Ce n'est qu'au moment où Kaël a été frappé par une douleur brûlante et qu'il m'a suppliée de revenir que le Chaman lui a dit froidement : « Elle est une vraie princesse. Et toi, tu n'as jamais été digne d'elle. »

Daouda est une jeune fille d’origine congolaise angolaise âgée de 17 ans Elle habite en Belgique plus précisément à Bruxelles Si tu veux connaître le reste de l’histoire tu sais ce qui tu reste à faire

Mon frère était à une soirée, je suis allée le chercher. J'ai entendu mon frère demander à Lucas Bernard : « Tu as une petite amie, non ? Ça fait longtemps et je ne l'ai jamais vue. » J'ai soudain été prise de panique. Cela faisait trois ans que Lucas et moi étions ensemble, mais dans le secret. Personne ne le savait. Lucas a répondu d'une voix traînante : « Ce n'est pas une petite amie, juste un passe-temps. De toute façon, je ne compte pas me marier avec elle. » J'ai serré les poings et j'ai directement poussé la porte de la pièce.

Ma sœur Aurora et moi sommes liées aux jumeaux Alpha. À mes cinq mois de grossesse, je suis attaquée par un groupe de renégats. Je contacte mon compagnon Alpha Alexander par lien mental pour avoir son aide. Mais il m'ignore neuf fois. Les renégats m'entourent et me mordent aux bras et aux jambes. Mon sang gicle à chacune de leurs attaques. La douleur transperce mon corps. Je réussis à lier mon compagnon pour la dixième fois, en pleurant de manière désespérée. Cette fois, sa voix froide résonne dans ma tête : « Tu n'as pas marre de faire de la comédie ? Ma sœur Vicky a été enlevée, alors ne m'embête plus. » Vicky est la demi-sœur d'Alexander et Éthan, elle est celle qu'ils aiment réellement. Maintenant que plus rien ne les freinent, les renégats se jettent sur moi. L'un d'entre eux ouvre mon estomac avec ses griffes, pour que je les regarde déchiqueter mon enfant pas encore né avec horreur. Quand je suis presque morte, Aurora me trouve et se bat contre les renégats. Mais ils sont trop nombreux. En peu de temps, Aurora se retrouve ensanglantée et blessée à côté de moi. Elle lie son compagnon Éthan par lien mental, mais ce qu'elle reçoit comme réponse est : « Je cherche Vicky. Ne me dérange pas. » Aurora n'a pas d'autre choix que de se transformer pour me prendre sur le dos de sa louve. Elle descend rapidement de la montagne, mais un glissement de terrain provoqué par le temps orageux nous piège. Heureusement, la patrouille des frontière nous trouve. Aurora et moi réussissons à survivre. Quand je me réveille à la clinique de la meute, la première idée qui me traverse l'esprit est simple : mettre fin à mon lien de compagnons.

Quand j'étais paralysée au lit, empoisonnée par une dose massive d'aconit tue-loup, mon alpha a donné l'antidote que j'avais trouvé à son premier amour. Je l'ai supplié de me donner un peu, au moins de me laisser vivre trois jours de plus, je serais capable de trouver l'autre antidote. Mais mon alpha ne voulait rien entendre et il m'a grogné : « Julia est en train de mourir, et toi, tu fais encore semblant d'être malade ? Cesse d'être jalouse, ne me déçois plus ! » Sur ordre de l'alpha, j'ai été enfermée dans la chambre, mise à l'isolement. J'ai fini par mourir d'une attaque d'aconit tue-loup, mais l'alpha, qui a appris cette nouvelle, est devenu fou et a déterré ma tombe.

Legacies raconte plusieurs histoires des enfants de la famille Pembroke. ELIZABETH PEMBROKE: “ - Tu connais mon frère ? Isaac: Je les connais tous. Je fronce les sourcils. - Vous êtes potes ? Isaac: Les connaître ne fait pas de moi un de leurs potes. Dans la vie faut savoir différencier amis et connaissances.” TERRENCE PEMBROKE: “ “- Le plus important ce n’est pas ce que j’étais mais ce que je vais devenir” Mackenzie M.” A story by Liza K

« Claire, quand tu étais petite, nous avions arrangé un mariage pour toi. Maintenant que tu vas mieux, accepterais-tu de rentrer à ville J pour te marier ? Si tu ne veux toujours pas, je peux en reparler avec ton père pour annuler ces fiançailles. » Dans la pénombre de sa chambre, Claire n'entendait que le silence. Au moment où sa mère, à l'autre bout du fil, pensait avoir encore une fois échoué à la convaincre, elle a soudainement pris la parole : « J'accepte de rentrer pour me marier. » Delphine est restée stupéfaite au téléphone, visiblement surprise par cette réponse. « Tu... tu es d'accord ? » « Oui, j'accepte », a répondu Claire d'une voix calme. « Mais j'ai besoin d'un peu de temps pour régler mes affaires ici à ville H. Je reviendrai dans quinze jours. Maman, vous pouvez commencer à préparer le mariage. » Après avoir donné quelques instructions supplémentaires, elle a raccroché.

Un mariage sous contrat, un homme avec un caractère volcanique pour qui,rien n'est plus important que l'argent,pour lui,il faut en avoir jusqu'à ne savoir plus quoi en faire. - Je t'interdis de m'appeler par ce prénom Assia... - c'est ton prénom Aziz. - pour la deuxième fois je te l'interdis de le faire,pour toi et le reste du monde c'est Cheikh ou monsieur Cheikh. - pff s'il te plaît. - Assia pourtant les règles du contrat étaient bien claires, nous avons établi des règles mais tu respectes rien du tout... - les règles sont faites pour qu'on les enfreignent monsieur Cheikh. Je risque ma vie en me mariant avec cet homme,et pourquoi ? Parceque toute sa vie n'est rien d'autre que des secrets, un mystère.

Le jour de notre anniversaire de mariage, la « muse » de mon mari a posté une échographie d’un fœtus sur Facebook, accompagnée d’un texte : « Merci à cet homme extraordinaire qui m’a soutenue pendant dix ans et m’a offert un fils. » J’ai failli m’évanouir en voyant ça, mais j’ai quand même laissé un commentaire : « Tu as eu un fils avec lui tandis que tu sais qu’il est marié ? » Quelques minutes plus tard, mon mari m’a appelée, furieux : « Tu vois le mal partout ! Je ne fais que lui prêter mon sperme pour une FIV. Elle voulait juste être maman célibataire. » Puis il a ajouté : « En plus, Réa est tombée enceinte du premier coup. Toi, tu as essayé trois fois et toujours rien. Ton ventre ne sert à rien ! » Trois jours avant, il m’avait dit qu’il partait à l’étranger pour affaires. Il ne répondait ni à mes appels ni à mes messages. Je pensais qu’il était occupé. Mais non. Il était avec elle pour son rendez-vous de suivi de grossesse. Une demi-heure plus tard, Réa a partagé une photo d’un festin. « Marre de la cuisine au Pays M. Et Luc a cuisiné pour moi, tout ce que j’aime ! » Je regardais les résultats de ma prise de sang confirmant ma grossesse, mes mains tremblantes, alors que ma joie se transformait en désespoir glacé. Huit ans d’amour fou. Six ans de compromis douloureux après le mariage. Cette fois, c’est fini. Je lâche tout.