— Qu’est-ce qui m’arrive, bon sang ! hurla le roi Abdoul, allongé sur son imposant lit royal.
Il se redressa brusquement, l’air tourmenté. — Cette petite idiote s’est mise en tête de hanter mes pensées, de troubler mes nuits… Mais elle n’y parviendra pas, marmonna-t-il en frappant ses paumes l’une contre l’autre. Aussitôt, le garde posté à la porte fit irruption dans la pièce. — Majesté, que puis-je faire pour vous ? demanda-t-il, tête inclinée humblement. — Va me chercher l’une de mes esclaves personnelles. La plus belle de toutes. Je veux qu’elle me rejoigne immédiatement. — Ce sera fait sur-le-champ, Majesté, répondit le garde avant de se retirer. Juste après la sortie du garde, Abdoul devait se maîtrise de toute ses forces pour n'est pas se rendre à la prison est de baiser sauvagement celle qui lui pourissait sa nuit . Il réussit à se contrôler, attendant impatiemment la venue de son esclave sexuel dont il avait expressément commande sa venue afin qu'elle éteignez le feu que l'autre idiote avait enclencher en lui. *— Appartement des esclaves personnelles —* Le garde pénétra dans la chambre où logeaient les esclaves favorites du roi. À son apparition, un frisson d’excitation parcourut la pièce. — Sa Majesté souhaite la présence de la plus belle, la plus désirable et la plus coquette d’entre vous ce soir, déclara-t-il d’un ton ferme. Aussitôt, toutes se levèrent, redressant fièrement leur posture, affichant des poses aguicheuses dans l’espoir d’être choisies. Le garde les observa un instant, puis pointa du doigt l’une d’elles, assise plus en retrait. — Toi, au fond. — Moi ? demanda Béatrice, surprise. — Oui, toi. Prépare-toi, parfume-toi, tu as moins de trente minutes. Je t’attendrai dehors. — Bien, Chef, répondit-elle, un sourire ravi sur les lèvres. Autour d’elle, les autres la fixaient avec jalousie. Une des jeunes femmes murmura avec amertume : — Tu as tellement de chance, Béatrice... J’aurais tout donné pour être à ta place. — Tu ne sais même pas pourquoi elle a été appelée, et tu l’envies déjà ? lança sèchement Joséphine. — Toi aussi, t’es jalouse. Avoue-le, répliqua une autre. — Jalouse, moi ? dit-elle avec un faux sourire. — Peut-être bien que tu rêves encore de sentir le roi sur toi… comme nous toutes. Les mots de Keteline frappèrent fort. Joséphine baissa les yeux, honteuse, trahie par son silence. — Désolée les filles, mais ce soir, c’est moi qu’il a choisie, lança Béatrice en souriant. — Profite bien, ma belle, dirent les autres à l’unisson, faussement enjouées. Béatrice leur adressa un dernier regard triomphant avant de rejoindre le garde à l’extérieur. — T’en as mis du temps ! Le roi ne va pas attendre toute la nuit, grogna-t-il. — Pardon, chef. — Allez, bouge ! Si on traîne encore, on sera tous les deux punis. Sans un mot de plus, ils prirent la direction des appartements royaux. Quelques instants plus tard, arrivés à destination, le garde demanda la permission d’entrer : __ Vas-y, fit retentir une voix puissante, imposante, invitant les deux jeunes gens à pénétrer la pièce. __ Pardonnez notre retard, majesté, s’excusa le garde avec respect. __ Laissez-nous, ordonna Abdoul d’un ton autoritaire, ses yeux fixés uniquement sur la jeune femme. Le garde quitta la pièce, la laissant seule face au roi. __ Approche, ordonna Abdoul, d’une voix ferme qui ne souffrait aucune réplique. Elle s’avança, les yeux baissés, sachant qu’il était interdit de croiser le regard du roi. __ Déshabille-toi immédiatement, ordonna-t-il encore. Obéissant, Béatrice commença à ôter ses vêtements, jusqu’à se retrouver entièrement nue devant les yeux perçants du roi. __ Rapproche-toi, ordonna-t-il à nouveau. Elle s’exécuta, se rapprochant lentement de lui. __ « À genoux, et taille-moi ça ! En montrant son se""xe qui était toute dressé et tendu entre sa main » ordonna-t-il d’une voix autoritaire. La jeune esclave, visiblement excitée par la demande du roi, s’agenouilla devant lui, sous son regard froid. Sans hésiter, elle prit sa virilité en bouche et se mit à accomplir la tâche qu’il lui avait ordonnée. Elle s’appliqua avec soin, comme une vraie professionnelle, ce qui plut énormément au roi. Un grognement satisfait s’échappa de sa gorge, récompensant son travail habile: __ Orh! Bon sang. Dit il en ayant ces yeux hermétiquement fermé Avec la troisième jambe du roi toujours en bouche, elle se retira légèrement et murmura d’une voix douce et sensuelle : __ « Je suis à votre entière disposition, mon roi. » Puis elle reprit son travail avec ardeur. Abdoul, savourant chaque sensation, ferma les yeux et se laissa emporter par le plaisir que lui procurait sa bouche. Soudain, son esprit s’emballa : ce n’était pas Béatrice qui s’occupait de lui, mais Aurora — cette pensée l’excita davantage. Perdu dans cette rêverie, il murmura : __ « Tu le fais si bien, Aurora…Putain, vas y plus profondément. Prend le en pleine gorge ma belle en recerrant sa poigne sur sa queue de cheval» La jeune esclave s’interrompit aussitôt, le regardant comme étonnée. Ne sentant plus sa bouche, il ouvrit les yeux pour comprendre. __ « Idiote, qu’est-ce que tu fais ? Qui t’a dit de t’arrêter ? » __ « Excusez-moi, mon roi… » balbutia-t-elle, bafouillant une excuse avant de reprendre son office jusqu’à ce qu’il atteigne l’extase, profondément au fond de sa gorge. Elle avala sa semence d’un trait, puis se releva, attentive à ce que le roi attendait d’elle. Il la tira vers lui et ordonna : __ « Place-toi sur le lit. Jambe grandement écarté » Elle obéit sans hésiter. Et sans crié garde, Il la pénétra d’un coup, commençant un mouvement rapide et puissant, jusqu’à ce qu’il prenne son pied une deuxième fois dans un ral puissant : __ Orh! Putain. Lorsqu’il eut fini de tout versé en elle, il ordonna : __ « Lève-toi, prépare-moi un bain. Je veux me laver avant de dormir. » Elle se dirigea vers la salle de bain, mit la douche en marche et revint l’informer que tout était prêt. Il lui ordonna de le laisser seul, et elle s’exécuta après avoir remis ses vêtements. Abdoul entra dans sa douche, puis dans son immense baignoire, ferma les yeux et se laissa bercer par la douceur de l’eau. Alors qu’il gardait les yeux fermés, les souvenirs de son moment d’intimité avec l’esclave lui revinrent en tête. Prenant conscience de la folie de ce qu’il venait de faire, il ouvrit brusquement les yeux et s’écria : — Garde ! ! ? Quelques minutes plus tard, son garde accourut jusqu’à la salle de bain : — Oui, Majesté ? — Rappelle-moi cette jeune esclave qui était là tout à l’heure, et fais vite ! — Bien, Majesté. *Appartement des esclaves personnelles* — Ohhh ! s’exclamèrent toutes les jeunes esclaves en voyant Béatrice entrer. Elle, avec des cheveux en pagaille et sa tenue mal replacé, elle s'avança vers la commode pour prendre sa pillule de contraception et l'aval d'un trait sous les regards ébahi et excité des autres. — Raconte-nous, c’était comment ? demanda l’une d’elles, excitée. Béatrice sourit, s’assit sur son lit et demanda aux autres : — Vous êtes prêtes ? — Bien sûr, on t’attend toutes, répondirent-elles en chœur. Elle sourit à nouveau, puis commença à leur raconter comment s’était passée sa partie de jambes en l’air avec le roi. L’une d’elles demanda : — Avoir sa « troisième jambe » dans ta bouche, ça t’a procuré quoi comme sensation ? — Il est juste... euh... vous ne pouvez pas imaginé, les filles ? dit-elle en mordillant sa lèvre inférieure pour maîtriser son excitation. — J’ai hâte que demain arrive pour qu’on ait encore la chance de le laver, dit une autre. — Moi aussi, répondirent toutes les autres. Elles étaient encore en train de discuter quand un souvenir marquant revint à Béatrice : — Euh les copines, vous ne croirez jamais ce qui m’est arrivé pendant que je lui faisais une pipe... — Quoi donc ? demanda une curieuse. — Il m’a appelée... Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que le garde fit irruption dans leur chambre. — Au lieu d’être endormies, vous passez votre temps à faire du bruit dans le palais ! — Excusez-nous, répondit-elle toute gênée. Il leur ignora et se tourna directement vers celle qui l'intéresse : — Béatrice, tu es attendue dans les appartements du roi. — Ohhh, encore ? s’exclama Joséphine, jalouse. — Eh oui, les filles, je crois bien que mon statut va bientôt changer dans ce palais, dit-elle en remuant les hanches avant de suivre le garde à l’extérieur. À SUIVRECase*Dans une petite maisonnette en terre battue, une femme affaiblie et accablée était assise, le visage marqué par la douleur. Depuis deux semaines, jour pour jour, Ogechie Klein demeurait dans cet état, submergée par la tristesse après avoir appris le sort de sa fille unique. Elle priait sans relâche, implorant les dieux de ses ancêtres de venir en aide à son enfant. Cette fille, fruit de son corps et de son âme, qu’elle avait élevée avec amour pour en faire une femme forte et digne. Elle refusait que l’arrogance d’un roi sans cœur lui vole l’espoir de revoir un jour ce trésor de sa vie. Assise au centre de sa case, Ogechie laissait libre cours à ses larmes, ses lamentations résonnant dans le silence de la maisonnette. __ Oh! dieux de mes ancêtres ait pitié de moi stpl pleura t'elle. Rend moi ma fille hurla t'elle de douleur... Ne permet pas à ce roi iniomble et arrogant et détruire la vie de mon enfant...Ait pitié de ta pauvre servante et rend moi mon Aurora saine et sa
Prison*Au centre d’une pièce de quatre mètres sur quatre, une jeune femme est assise, les yeux fermés. À sa posture, on pourrait croire qu’elle est morte ou plongée dans une profonde méditation. Pour ceux qui s’interrogent, la vérité est qu’elle est effectivement en pleine méditation. Cela fait près d'une semaine qu’elle reste ainsi, immobile, sans demander à être nourrie. Les gardes chargés de sa surveillance sont chaque jour plus stupéfaits par ce phénomène. Dans tout le royaume, la rumeur court qu’elle est probablement décédée. Mais un jour, lorsque le médecin royal est venu l’examiner, il déclara, mot pour mot :__ « Cette jeune femme est en parfaite santé, très cher roi. »Tel fut le diagnostic du médecin devant le roi et sa cour, avant de prendre congé. Mais tous se demandent : __ Comment peut-elle rester en bonne santé alors qu’elle n’a pas mangé depuis près d'une semaine ? Certains murmurent : __ « Elle doit être une magicienne. » Ils appuient leur théori
— Qu’est-ce qui m’arrive, bon sang ! hurla le roi Abdoul, allongé sur son imposant lit royal. Il se redressa brusquement, l’air tourmenté. — Cette petite idiote s’est mise en tête de hanter mes pensées, de troubler mes nuits… Mais elle n’y parviendra pas, marmonna-t-il en frappant ses paumes l’une contre l’autre.Aussitôt, le garde posté à la porte fit irruption dans la pièce.— Majesté, que puis-je faire pour vous ? demanda-t-il, tête inclinée humblement.— Va me chercher l’une de mes esclaves personnelles. La plus belle de toutes. Je veux qu’elle me rejoigne immédiatement.— Ce sera fait sur-le-champ, Majesté, répondit le garde avant de se retirer.Juste après la sortie du garde, Abdoul devait se maîtrise de toute ses forces pour n'est pas se rendre à la prison est de baiser sauvagement celle qui lui pourissait sa nuit .Il réussit à se contrôler, attendant impatiemment la venue de son esclave sexuel dont il avait expressément commande sa venue afin qu'elle éteignez le feu que l
« Je te tuerai », gronda-t-il en resserrant sa prise sur le cou d’Aurora, l’étouffant davantage. — Majesté, vous allez la tuer ! s’écria un garde, inquiet. À contrecœur, le roi relâcha son emprise, s’attendant à voir la jeune femme tousser, trembler ou supplier. Mais rien. Aucun signe de peur. Juste ce regard droit, fier, perçant. — On dirait que notre roi manque de courage pour aller jusqu’au bout, lança Aurora d’une voix ferme. Le silence tomba dans la salle. Tous retenaient leur souffle. La voix d’Abdoul retentit alors, glaciale : — Tu te tais ! hurla-t-il si violemment que toute la salle en frémit. Mais Aurora, elle, resta de marbre. Le roi était stupéfait. Comment une simple villageoise pouvait-elle lui tenir tête ? Tout le monde le craignait. Il était respecté, redouté. Pourtant, elle... elle le défiait ouvertement. Était-elle vraiment la fille de ce lâche d’Ikem ? Cet ivrogne notoire, incapable, sans honneur ? « Elle n’est pas comme les autres... », pensa-t-il, troublé
J’ai grandi en entendant de nombreuses histoires sur l’esclavage, racontées par mon père. Lui et ma mère en avaient eux-mêmes été victimes, avant d’être libérés après le paiement de leur dette.Dans notre pays, c’est une coutume cruelle : chaque nouveau roi instaure son propre régime, et parmi ses premières décisions, il sélectionne ses gardes du corps, ses conseillers… et malheureusement, son équipe d’esclaves. Ce choix est effectué sans appel, et cette fois, j’ai eu le malheur d’en faire partie.Je m’appelle *Aurora Klein*, et aujourd’hui, je fête mes 18 ans. Enfin adulte, enfin reconnue parmi les membres de la communauté... du moins, je le croyais.Ma mère entra dans ma chambre, le visage tendu, chargé d’inquiétude.— *Aurora, ma fille, assieds-toi*, dit-elle d’une voix grave.— *Qu’y a-t-il, maman ? Pourquoi ce visage ?*, lui demandai-je, troublée.Elle me fixa longuement avant de répondre :— *Tu sais qu’aujourd’hui, tu atteins tes 18 ans…*— *Oui maman, je suis si heureuse... et