LOGINIl y a 200 ans, une reine loup-garou connue sous le nom de Séraphine la Née du Feu a été trahie par son compagnon et brûlée sur le bûcher par les humains. Sa malédiction mourante : « Je me relèverai. Et quand je le ferai, vous serez tous brûle avec moi.
View MoreLE POINT DE VUE DE LYRA
Je n'ai jamais su qui j'étais vraiment. Aussi loin que je me souvienne, ma vie ressemblait à un livre déchiré. pages - fragments de souvenirs que je ne pouvais pas reconstituer, ombres dans les coins de mon esprit j'avais peur de regarder. Ayant grandi dans cette petite ville de montagne, j'ai gardé la tête basse et mon cœur plus calme que le Le vent murmurait. Travailler à la librairie était la seule chose qui avait du sens. La nuit de mes vingt ans, quelque chose en moi a changé, même si je ne pouvais pas dire quoi exactement. Ce n'était pas un coup de tonnerre soudain ni un éclair de lumière. C'était plus silencieux, comme une lueur, une étincelle. enfoui profondément dans l'obscurité. Quand je me suis couché cette nuit-là, mes rêves brûlaient. J'ai vu du feu, des flammes vives et féroces léchant le aux confins de tout. J'entendais des voix criant de colère et de chagrin, des murmures de guerre et Trahison. Des loups rôdaient dans l'ombre, leurs yeux brillant d'une lueur ancienne et sauvage. Je me suis réveillé trempé de sueur, mon cœur battant comme s'il voulait se libérer de ma poitrine. Mais Quand j'ai regardé mes mains, il n'y avait rien. Pas de flammes. Pas d'électricité. Juste la peau sur les os, le froid. et réel. Je me suis dit que ce n'était qu'un cauchemar. Rien de plus. Le lendemain ne fut pas différent des autres. J'ouvris la librairie, remplis les étagères et J'ai aidé les clients avec un sourire qui semblait un peu trop pratiqué. Mais sous la surface, quelque chose bouillonnait. Chaque fois que j'apercevais mon reflet dans Par la fenêtre, j'avais l'impression de regarder un inconnu. Il y avait une chaleur en moi, une énergie agitée que je je n'ai pas compris et je n'ai pas pu expliquer. Quand j'ai aidé un enfant qui s'est soudainement retrouvé dans la rue, mon corps a bougé avant que mon esprit ne puisse le faire. Rattraper son retard. Le crissement des freins fut le seul avertissement avant qu'une voiture ne fonce sur elle. Et puis quelque chose s'est produit. Une soudaine bouffée de chaleur traversa mes paumes, se propageant comme un feu de forêt. J'ai à peine attrapé la enfant, la tirant vers l'arrière, mais mes mains… elles picotaient. Brûlaient. Je voulais détourner le regard, Fais comme si ça n'était pas arrivé. C'est à ce moment-là que l'observation a commencé. Des inconnus en vêtements sombres apparurent là où il n'y avait personne auparavant. Leurs regards suivirent Moi, froide et indéchiffrable. Je sentais leur présence, même seule. La peur m’a griffé, mais j’ai réussi à la repousser. Puis un homme s’avança. Grand, calme, avec des yeux qui n'atteignaient pas tout à fait son sourire. « Je suis Duncan », dit-il d'une voix calme et basse. « Tu es en danger. On te veut à cause de… ce que tu es.” J'avais envie de rire. Qui étais-je ? Je ne savais même pas qui j'étais. « Viens avec moi. Je peux te protéger. » dit-il. Je n'ai pas bougé. Je voulais le croire. Mais la confiance était un luxe que je ne pouvais pas me permettre. La nuit suivante, tout a changé. Je fermais la librairie quand j'ai senti une main saisir mon bras. Forte. Inflexible. Avant que je puisse crier, j’ai été entraîné dans l’obscurité. Thorne. Son nom était un murmure dans le vent, un danger enveloppé de charme et d’ambition froide. Il m'a appelé Séraphine, comme si c'était le seul nom qui comptait. Mais je n'étais pas Séraphine. J'étais Lyra. Du moins, c'est ce que je croyais. Il a essayé de déverrouiller quelque chose en moi : des souvenirs que je n’avais pas, des sentiments que je ne pouvais pas nommer. Je l'ai combattu, à chaque pas, à chaque respiration. Mais la lune était pleine, et quelque chose de sauvage s'éveilla sous ma peau. Mon corps tremblait comme un feu. Je ne pouvais pas me contrôler, mettant le feu à la forêt autour de nous. Je me suis libéré, non pas parce que j’étais fort, mais parce que je n’avais pas d’autre choix. Puis Duncan m'a trouvé. Il m'a emmené dans un endroit caché, un endroit calme. Là, il m'a raconté des histoires que je ne voulais pas entendre mais que je ne pouvais pas entendre. . À propos des guerres antiques. À propos des loups et des créatures qui se cachent dans des ombres plus sombres que la nuit. À propos d'une âme emprisonnée en moi, pas seulement la mienne. Il disait que j'étais la réincarnation de Séraphine la Fée-Feu, une louve-garou non-reine qui brûlait avec feu et fureur. Il m'a prévenu du Conseil qui voulait sceller mon pouvoir. Et à propos de Thorne, qui voulait que cela soit déchaîné. Je me sentais déchiré entre deux mondes que je ne pouvais pas comprendre. Étais-je juste une fille d’une ville tranquille, ou quelque chose de plus ? Étais-je censée être une arme, une reine, une malédiction ? Alors que la chasse à la lune de sang approchait, une épreuve brutale où les alphas se rassemblent pour prouver leur force, je J'ai ressenti l'attraction de quelque chose de plus grand que moi. Puis j'ai rencontré Kaine Aldric. Pack Alpha de la Ligne Argent. Froid. Impitoyable. Et terriblement proche de ce que j'étais censé craindre. Mais lorsque nos regards se sont croisés, quelque chose en moi a changé. Il était mon compagnon destiné. Et la malédiction qui hantait sa meute se dénouait, et j’étais au centre de celle-ci. Je ne sais pas ce que l'avenir nous réserve. Des bêtes de l'ombre rôdent. Les meutes de voyous deviennent agitées. Et quelqu'un veut ma mort. Tout ce que je sais, c'est ceci : Le feu en moi n’est pas seulement une étincelle qui attend de s’allumer. C'est un avertissement. Parce que le monde est sur le point de brûler.LE POINT DE VUE DE LYRANous étions tous assis à notre table préférée chez Blaze Bites, le meilleur restaurant de burgers de la ville. Emily,Allison et moi avons ri en mangeant des milkshakes et des frites, en plaisantant comme toujours. Pendant un instant, j'ai eu l'impressionnormal. Comme les choses étaient avant que tout change.Emily était en train de taquiner Allison sur la façon dont elle parlait dans son sommeil, tandis qu'AllisonJ'ai juré que ce n'était pas vrai. Nous riions tous, nos voix se mêlant au bruit des plats et desun bourdonnement lointain de musique provenant des haut-parleurs du restaurant.Mais ensuite quelque chose a changé.Au milieu de la phrase d'Emily, ma concentration s'est relâchée. Le bruit dans le restaurant m'a frappée de plein fouet.une fois. Pas seulement le son de nos rires, mais tout.C'était comme si le monde avait augmenté le volume et que je pouvais tout entendre.Le raclement des fourchettes, la mastication des hamburgers, le bouillonnement
LE POINT DE VUE DE LYRAJ'ai regardé l'écran de mon téléphone pendant quelques secondes avant d'appuyer sur le bouton pour démarrer un appel de groupe.Mes mains tremblaient légèrement et je devais me forcer à rester calme.Lorsque l'appel a été connecté, Emily a décroché en premier, suivie d'Allison.« Lyra ! Où étais-tu ? » demanda rapidement Emily, la voix pleine d'inquiétude. « On t'appelait comme ça.cent fois."Allison intervint ensuite. « Sérieusement, ça va ? Tu as disparu des radars. On allait appeler. »la police."Je me suis forcée à rire doucement, même si rien ne semblait drôle. « Je vais bien, promis. » J'ai reçu un appel soudain deL'hôpital. Ma mère ne se sentait pas bien, alors j'ai dû aller la voir. C'était urgent. Je n'avais pas le temps.pour vous le dire à tous les deux.Il y eut un moment de silence. Puis Emily dit : « Oh mon Dieu, elle va bien ? Pourquoi ne l'as-tu pas dit ? » « Oui », acquiesça Allison, sa voix douce et chaleureuse habituelle. « Tu n'étais pas
M'ATTENDAIS PAS LE POINT DE VUE DE LYRALe trajet du retour m'a semblé plus long que d'habitude, peut-être parce que mes pensées n'arrêtaient pas de courir.Ce que ma mère me disait résonnait dans ma tête comme une chanson en boucle. Mon père était un Alpha.Un loup-garou. Et je suis né de cette lignée.Je n'avais même pas réalisé que j'étais arrivé à mon appartement jusqu'à ce que je voie la boîte aux lettres rouge familière et leUn escalier en bois grinçant menait à mon étage. Je me suis garé et j'ai grimpé lentement, mon corps bougeant. Dès que je suis entré, j'ai branché mon téléphone et j'ai remarqué le flot d'appels manqués etmessages. Ils venaient tous d'Emily et d'Allison. J'ai soupiré. D'une certaine manière, j'avais complètementJ'ai oublié de prendre de leurs nouvelles. J'ai écouté le dernier message vocal d'Emily et je me suis rassis sur mon lit.« Lyra ! Tu ferais mieux de ne plus nous ghoster ! Il faut qu'on parle. Genre, tout de suite ! Appelle-moi ! » Sa voix étaitv
LE POINT DE VUE DE LYRAJe n’aurais jamais pensé que le feu serait la raison pour laquelle j’aurais enfin compris qui j’étais.Pendant la majeure partie de ma vie, je me suis promené avec des questions que je ne pouvais pas nommer : pourquoi je me sentais toujours différent,pourquoi je perdais le contrôle lorsque j'étais en colère, et pourquoi l'air scintillait parfois autour de moi lorsque j'étaisJ'étais bouleversée. Je n'avais aucune réponse. Juste cette sensation de lourdeur et d'agitation dans ma poitrine.Mais après ce qui s'est passé dans la forêt… après l'incendie… après la façon dont Duncan m'a regardé comme si jen’était pas seulement humain… Je ne pouvais plus l’ignorer.J'avais besoin de réponses. De vraies réponses.Alors je suis monté dans ma voiture et j'ai roulé. Vite, les mains tremblantes sur le volant. Je ne pensais qu'à ça.C'était elle, ma mère. Elle avait toujours évité les questions sur mon passé. Sur mon père.Quand je suis arrivé chez elle, à deux heures de r
LE POINT DE VUE DE LYRAJe n'ai jamais su qui j'étais vraiment. Aussi loin que je me souvienne, ma vie ressemblait à un livre déchiré.pages - fragments de souvenirs que je ne pouvais pas reconstituer, ombres dans les coins de mon espritj'avais peur de regarder.Ayant grandi dans cette petite ville de montagne, j'ai gardé la tête basse et mon cœur plus calme que leLe vent murmurait. Travailler à la librairie était la seule chose qui avait du sens. La nuit de mes vingt ans, quelque chose en moi a changé, même si je ne pouvais pas dire quoi exactement.Ce n'était pas un coup de tonnerre soudain ni un éclair de lumière. C'était plus silencieux, comme une lueur, une étincelle.enfoui profondément dans l'obscurité.Quand je me suis couché cette nuit-là, mes rêves brûlaient. J'ai vu du feu, des flammes vives et féroces léchant leaux confins de tout. J'entendais des voix criant de colère et de chagrin, des murmures de guerre etTrahison. Des loups rôdaient dans l'ombre, leurs yeux brillan
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