Pour sauver l’entreprise familial de la faillite, Emily met de côté ses rêves d’artiste et se rend à Londres. Là, elle rencontre l’infâme et très arrogant Harold Brighman qu’elle déteste à la première rencontre mais qui se trouve être celui qui possède l’avenir de sa famille entre les mains. S’attendant à un refus, elle se retrouve avec une proposition de mariage. Trois ans à prendre à être Mme Brighman pour des années de prospérité pour sa famille. Simple règle: aucune attache. Cela parait simple,non,? Enfin, si le coeur ne s’en mêle pas
Lihat lebih banyakEmily Berry se retourna dans son lit et se couvrit les oreilles avec son oreiller en comptant très bien ignoré son petit frère mais les coups sur la porte devinrent plus insistants et pour couronner le tout, son réveil se mit à crier.
- Emily!! Cria encore une fois son frère
- Theodore Berry, je vais te tuer! Cria-t-elle en lui lançant sin reveil avant de se lever.
Elle enfila ses pantoufles à toute vitesse puis se diriger vers la porte d'un pas enragé mais lorsqu’elle ouvrit la porte son frère dévalait déjà les escaliers à grande vitesse. Elle se lança à sa poursuite. Après cinq bonnes minutes de course et un avertissement très sérieux de leur mère, elle décida de laisser tomber...pour le moment. Elle se laissa tomber sur une chaise dans la salle à manger après avoir salué son père qui lisait le journal comme d’habitude et glissa une crêpe dans sa bouche. Le bonheur qu’elle lui procura lui fit oublier sa mauvaise humeur- Déjà KO, dit Theddy sur un ton moqueur, tu devrais faire plus de sport et manger moins. Tu es en train de gagner du poids.
- Et alors, répliqua Emily en avalant une autre crêpe, être mince n’a jamais été mon objectif
- Commences déjà à en avoir un, dit sa mère qui amenait le dernier plat
Elle essaya d’en voler mais elle reçut une tape de la part de sa mère.
Elle regarda ce petit con avec son sourire victorieux et se mit à regretter de ne pas l’avoir envoyé dans un cercueil quand elle avait eu l’occasion. Elle ne put répliquer car son père se leva et s’en alla avec Theddy. Tant pis, sa vengeance sera pour une autre fois. Elle décida de se lever à son tour et aida sa mère à faire la vaisselle puis monta faire sa toilette. Une demi-heure après, elle descendait.
-M’man je m’en vais, dit-elle en passant devant sa mère
-Eh, attends, dit-elle en l’arrêtant, j’ai une chose à te demander. En rentrant, passes au bureau de ton père. ces derniers jours, il est très préoccupé mais il refuse de me dire pourquoi mais à toi, il pourra peut-être te dire quelque chose.
-J’ai remarqué aussi, répondit elle en l’embrassant, ne t’en fais pas, je vais passer le voir.
Sur ça, elle s’en allant, non sans avoir choper une pomme au passage. Elle se rendit à son boulot partiel. . Quand elle franchisa la porte d’entrée de la boutique, elle fut accueillie par les réprimandes d’Amélie, sa meilleure amie et aussi la patronne de la boutique.Elles se connaissaient depuis toujours. Aussi loin qu’elle puisse se souvenir, elle était avec. Elles avaient commis les pires bêtises. Elle était devenir une véritable sœur pour elle. D’ailleurs, la première fois qu’on les voyait ensemble, on croyait toujours qu’elles étaient sœurs.
Ce denier commentaire, lui fit lâcher une grimace. Sa meilleure amie ne manquait jamais de lui…son bonheur à la figure. Elle et Rick, son petit ami depuis le lycée, s’aimaient toujours comme au premier jour. En les regardant, même le célibataire le plus endurci pouvait croire de nouveau en l’amour mais pour elle qui avait été exposé pendant trop longtemps à leur amour, ça lui donnait envie de gerber. Elle était heureuse pour eux mais parfois elle avait envie de les
Elles se mirent alors au travail. La journée passa en moins de deux. Ce soir-là, elles décidèrent de fermer plutôt, Amélie devait partir tôt pour se préparer pour son rencard et elle, elle n’était sérieusement pas douée avec les fleurs. Sans son amie pour la guider, elle allait faire foirer le business et elle devait aussi passer voir son père.
Mr Berry possédait un petit vignoble qu’il avait hérité de son père. Dis comme ça, on aurait pu croire que la famille Berry faisait partie des aisés mais pas du tout. L’entreprise tournait mal malgré qu’il le produise l’un des meilleurs vins de la région et même de toute la Californie. Les acheteurs préféraient les vins avec des noms plus connus. Ils auraient pu la vendre mais comme le mot mariage était sacré pour Mme Berry pour son mari c’était son vignoble. C’était l’héritage de son père, il était hors de question qu’il quitte sa famille et Mme Berry respectait ça.
Arrivée à l’entreprise familiale, Maria, elle dut l’attendre car il était en réunion. Pour passer le temps, elle se mit à ranger son bureau qui risquait d’être englouti par la paperasse et ce n’était pas Maria, sa secrétaire qui allait s’en occuper. La pauvre vieille de 65 ans risquait de se briser le cou, déjà qu’elle avait des problèmes de santé. Ce qu’elle y découvrit en lisant quelques-uns des documents ne lui plut guerre et elle confronta son père dès qu’il franchit la porte du bureau.
Elle disait ça mais elle doutait de ses propres capacités. Mais voyant l’air soulagé de Son père et son visage joyeux quand il la serra dans son ça lui redonner confiance en elle, elle allait faire de son mieux. Les jours qui suivirent, elle se pencha sur le sujet à préparer sa présentation avec l’assistant de son père, Mr Gilbert et aussi à se préparer pour son voyage. C n’est qu’après une semaine qu’ils purent enfin terminer. Le jour suivant ils étaient assis dans l’avion qui partait à Londres.
C’était un piège, se rendit-elle compte. De la générosité, de l’inquiétude, mon œil! Tout cela avait été planifié à la minute pour un seul objectif, qu’elle n’ait plus vraiment d’autres échappatoires que lui. Elle était très en colère, cependant elle était beaucoup plus horrifiée. Elle ne pourrait jamais le battre, même si elle y mettait tout son potentiel Ils étaient sur son terrain, c’était lui qui menait la danse, qu’elle le veuille ou non et c’était terrifiant, en plus d’être humiliant et décourageant. - Merci pour le déjeuner, Mlle Berry, dit-il en se levant, je vous laisse finir le vôtre, puis on discute- Pas la peine, je n’ai plus d’appétit de toutes les façons, Finissons-en.Une dizaine de minute plus tard, ils étaient assis dans le living room, elle, en train de lire le contrat et lui sirotant son café.- Comme vous le voyez, il n’y a rien qui vous désavantage dans son contrat, dit-ilEt en effet, le contrat était à tout son avantage, elle ainsi que pour l’entreprise famil
- Doux Jésus! S’écria-t-elle en le voyant, vous vous êtes jurez de me tuer par crise cardiaque ou quoi? Et que ce que vous faites là?- Je vous chercher pour vous tuer pour m’avoir fait poiroter pendant une heure, répondit-il, et je vous signale que c’est ma maison, j’ai le droit d’aller ou je veux, ce qui n’est pas votre cas, enfin, pas encore.- J’avais faim, répondit-elle plus calmement, je vais vous rembourser et bien sur tout nettoyer.- Pas besoin, je ne les utilise jamais de toutes les façons, dit-il, mais pour le nettoyage s’est obligé.- Si vous ne cuisinez jamais alors pourquoi vous les achetez ?Pour réponse, il hocha de façon nonchalante. Emily faillit lui faire le discours que lui sortait sa mère sur le gaspillage mais laissa tomber, ce n’était pas ses affaires. Elle retourna sur ses fourneaux, sous le regard examinateur d’Harold. Bizarrement, ça ne la mettait plus autant mal à l’aise, elle commençait à s’y habituer. Quelques minutes plus tard, tout était prêt, elle regar
Tout à coup, elle eut alors un flash. une image d’elle entrer de le mordre suivie d’une autre d’elle était en train de vomir la première fois sur les chaussures d’Harold et une autre couchée dans la salle de bain avec Harold qui essayait de la relever puis une autre et ainsi de suite, les évènements de la veille lui revenaient un par un et ils étaient aussi embarrassant les uns que les autres surtout ceux d’après son réveil. Elle n’avait jamais autant eut la honte de toute sa vie. Elle avait envie de disparaitre complétement de la surface de la terre à cet instant. - Je vous l’ai donné pour que vous le buviez non pas que vous le fixiez, dit Harold la tirant de ses penséesElle s’empressa de porter le bol à sa bouche dont le contenu fut plus amer qu’elle ne s’y attendait. Elle s’efforça quand même de tout boire sous le regard d’Harold. Une fois le bol vide, elle lui remit le bol tout en évitant soigneusement son regard. Un silence pesant s’installa alors entre eux. Elle s’attendait à
Malgrés son ton neutre, elle sentait quand meme air menaçant qui émanait de lui, il était en colère ce qui la ravit- Peut-être ou peut-être pas, c’est à moi d’en décider, répondit-elle, et je peux savoir que ce que vous faites là? Je croyais que vous aviez mieux à faire que de me surveiller.- C’est toujours le cas, répondit-il, mais vu les prouesses que vous avez accompli ce soir, il était prudent de vous faire« baby-sitter », et je dois dire que je suis plutôt content que vous avez encore la tête pour ne pas aller plus loin avec ce type. - Qui vous dit que je l’ai envoyé balader. Il est peut-être juste parti à l’avance et m’attend à ce moment à mon hôtel.- J’en doute fort. Et si c’était le cas, il perdrait son temps car vous rentrez avec moi.- Pardon?Avant qu’elle finisse sa phrase, une voiture qu'elle reconnut, se gara derrière Harold et Albert en sortir. Il lui fit un signe de la tête qu’elle répondit par un signe de la main avant de rapporter son attention sur Harold qui s
Les jours suivants furent très mouvementés. Entre les contrats, les réunions et les voyages d’affaires, Harold ne vit pas le temps passé très vite l’ultimatum de cinq jours arrivait à son terme et pourtant Emily Berry ne l’avait contacté pas une seule fois durant les quatre jours. Il avait cru qu’il avait dessus puisqu’elle n’avait pas d’autres choix que d’accepter sa proposition mais il n’en était plus aussi sûrement. Il commençait à regretter de lui avoir donné du temps pour réfléchir. Elle avait peut-être discuté avec sa famille et ils s’étaient tous convenu que son avenir valait plus que leur entreprise style série télé ce qui serait évidemment idiot ou peut-être qu’elle avait trouvé une autre offre ailleurs plus alléchante ou peut-être la situation n’était pas aussi désespéré qu’il le croyait. Le doute et l’incertitude s’emparaient de lui et il détestait ça. Plus il y réfléchissait, plus son erreur lui sauté aux yeux et ce qu’il détestait encore plus que l’incerti
Le lendemain matin, après avoir passé une nuit et demi-journée entière à ruminer sur sa malchance, son avenir qui s’annonçait noir et à essayer de trouver une solution, Emily décida enfin de faire sa toilette et de sortir marcher. Les écouteurs dans les oreilles, Elle se laissa conduire par le vent et erra dans Londres sans but précis et ce fut thérapeutique. Une heure plus tard, quand elle sentit la fatigue la gagner, elle décida de revenir sur ces pas mais en chemin, la faim se fit sentir, elle poussa la porte du premier restaurant qu’elle croisa. En attendant sa commande, elle décida de surfer sur le net à la recherche d’information sur celui qui pourrait devenir son mari mais comme avant, il n’y avait rien. Elle avait fait une recherche avant de venir mais c’était surtout plus sur l’entreprise et sur ses activités que sur la famille qui dirigeait cet empire. Il faut dire qu’elle ne s’attendait pas à les croiser, et non seulement, elle en avait croisé un, elle était tombé sur l
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