Monsieur Johnson avait fait son entrée dans la maison en compagnie de son chauffeur. Le chauffeur avait stationné la voiture et il était descendu de la voiture pour entrer à l'intérieur.
Le voilà enfin au salon, sa femme la mère de Tony ne l'avait même pas laisser prendre siège avant de commencer avec ses brouhaha et dit : « Hé monsieur, vous êtes enfin du retour, Éric je n'arrivais pas encore à croire que tu t'es rabaissé jusqu'à ce point. Toi un grand homme d'affaires, reconnu en Espagne, tu appelles celui qui est peut-être ton enfant, ce va-nu-pieds " MONSIEUR"? Et en plus devant tout ce monde, tu t'es fait ridiculiser et si tu ne sais pas encore, sache que moi j'ai honte à ta place. Le camarade de ton enfant que toi tu appelles "MONSIEUR" » La mère de Tony
Le docteur était parti et Prunelle avait fait son entrée. Une fois à l'intérieur, elle avait pris siège à côté de moi et commença à me parler en ayant ma main dans les siennes. — Mon chéri, tu es là pour moi ? Comment tu te sens ? Je sais que tu m'écoutes, je t'aime Richy ,ne me laisse pas s'il te plaît, ta fille a besoin de toi, elle est avec sa mémé au dehors. Mon chéri, mon Roi, le centre de mon univers, mon amour... Prunelle me parlait jusqu'à ce qu'elle s'était endormie, le docteur était entré pour me faire des injections et là, Prunelle s'était réveillée. Elle s'était levée pour sortir enfin de laisser le docteur faire son travail. Elle m'avait jeté un coup d'œil et voulait sortir lorsque j'avais ouvert ma bouche et appela son nom : « Prunelle » Oui c'était son nom qui résonnait dans ma tête, car c'était à cause de notre amour que toutes ces choses nous arrivaient. Prunelle s'était retournée en co
En me disant tout ça intérieurement, j'avais même plus envie de rester dans le lit d'hôpital, mais malgré moi je devais rester, car je ne me suis pas encore totalement remis. J'avais même plus envie de regarder Prunelle, car en la regardant elle me faisait rappeler son père. Je ne savais même pas si je tremblais ou pas et tout à coup ma mère avait commencé par me parler.— Mon fils, tu as quoi? Pourquoi tu trembles ainsi, as-tu froid ? Oh ne me dis pas que tu a retrouvé ton âme de guerre hein!? Oh mon enfant s'il te plaît, reprends ton esprit.Avec les larmes aux yeux, ma mère me posait ces questions, j'avais même pas la force pour lui répondre. Parce que je ne voyais plus, ma mère gardait ma main, toucha
Trois jours après, nous étions en train de suivre le journal à la télé, lorsqu'ils avaient dit que les un mois de garde à vue qu'ils avaient donnés à monsieur Mensah a été réduit. Donc ils restent juste trois jours pour le père de Prunelle et s'il ne trouve pas d'avocat, il sera mis en prison.Après avoir entendu cela, Prunelle avait encore commencé avec ses pleurs et sa mère aussi était venue nous voir le lendemain pour nous informer. J'avais fait comme si de rien était et elles avaient toutes perdu de l'espoir, car selon elles je voulais pas aider monsieur MENSAH, mais je savais très bien ce que je faisais.Il ne restait que deux jours pour monsieur MENSAH. Et déjà le matin, je me s
L'amour, oui le vrai, est un mythe, un conte de fée, une illusion pour certaines personnes et pour ces dernières le vrai amour n'existe pas tout simplement. Des fois lorsque j'entends cela, je me demande aussi si ces dernières en disposent avant de ne pas en son existence? Parce qu'on ne peut jamais bafouer l'existence de quelque chose si on en dispose. C'est pour ça des fois, pour donner certains exemples, nous devons commencer par nous même.Celui ou celle qui ne croit pas en l'existence de l'amour, ne dispose pas de l'amour. Car ce n'est pas parce que tu n'as pas encore trouvé celui ou celle avec qui tu vas construire ton monde d'amour, ou c'est parce que tu rencontres toujours des déceptions ( Leçons de la vie) sur ton chemin, que déjà pour toi l'amour n'existe pas. Si c'est ce que tu penses, tu te trompes gravement.
Une fois arrivés au niveau de mon portail, je me suis séparé de Sybelle pour rentrer dans ma maison et elle aussi avait pris la direction de sa maison. Ma mère était à l'extérieur et travaillait.— Bonsoir maman, vous êtes là?— Oui mon fils est déjà de retour ? Tu as fait un peu aujourd'hui et tes amis ne sont pas avec toi aujourd'hui ??— Non maman, eux tous sont déjà chez eux.— OK, mais pourquoi t'es pressé dans tes actions comme ça mon fil? Y a-t-il un problème ?— Rien maman, rien. Répondis-je.
Les jours passèrent, et tout passa bien entre Prunelle et moi sauf que je n'arrêtais pas à me poser des questions concernant son père.Il fut jour où nous avions terminés les cours et j'étais déjà du retour à la maison. Je pensais à tout ce que Prunelle m'avait dit concernant son père et la mère de Tony et j'étais tellement confus. Parce que si c'était vrai et que le père de Prunelle s'oppose à notre relation ce sera pas du tout la joie. J'étais dans mes pensées lorsque Sybelle avait fait son entrée chez moi en me disant qu'elle voulait me parler.— Oui Sybelle je t'écoute, j'espère qu'il n'y a pas un problème hein ?
Le père de Prunelle les avait demandé de prendre siège.— Oh venez toutes les deux, ça tombe à pic, je vais dire devant vous ce que j'ai à dire à Richy.La mère de Prunelle avait pris siège sur une autre chaise sans rien dire et Prunelle était venue s'asseoir à côté de moi. Ce que son père n'avait pas approuvé et l'avait demandé de se lever de là, immédiatement la mère de Prunelle avait dit au père de Prunelle de laisser sa fille tranquille et il était obligé de la laisser.Et ça commence, le père de Prunelle avait commencé par parler.
Le lendemain à 9h, le docteur nous avait dit que tout allait bien, que Prunelle pouvait rentrer. Il avait même demandé à nos mères de régler le problème qui était entre Prunelle et moi. Sinon c'était pas que la tension monte ou descend encore.Nous étions enfin sur le point de prendre la route lorsque Prunelle avait dit à ma mère qu'elle veut bien discuter de quelque chose avec elle. Donc elle aimerait que ma mère les accompagne chez elle, ce que ma mère n'avait pas refusé.Nous avions pris la route, une fois à la résidence des Prunelle , nous avions fait notre entrée à l'intérieur et nos mères avaient commencé à discuter. Nous étions là lorsque nous