Sabrina
Il se relève avec un sourire .
- Tu es magnifique . Mais ,
prochainement n' étouffe pas ton cri , je veux t'entendre gémir et crier le plaisir que je te donne . Tu as un très bon goût , tu es délicieuse ma chérie .
Il m'aide à me rhabiller , puis , il me dépose devant chez moi .
Pendant un mois , il ne s'est rien passé , il me déposait à chaque fois à la maison . Je le voyais parfois avec Adriana , mais , il m'a rassuré , il m'a dit qu'il faisait semblant d'être avec elle car elle le faisait chanter . J'étais aveuglant amoureuse de lui . J'ai toujours tout gobé .
Nous avons eu notre premier rapport un soir à seize heures , pendant que mes parents pensaient que j'étais à l'école , nous sommes allés chez lui . Il avait préparé un petit dîné au chandelle . Il était tellement attentionné . J'ai adoré cette attention , j'étais la fille la plus heureuse au monde .
Après avoir mangé , il m'a conduit sur le lit et il m'a demandé :
- Es-tu prête ? Veux-tu devenir une femme ? Veux-tu être ma copine ?
J'étais la fille la plus heureuse . Il faisait attention à moi , il m'aimait , et c'était la seule chose qui comptait .
- Oui , je veux être ta copine .
Il m'a embrassé sur les lèvres puis il m'a fait coucher sur le lit , il m'a déshabillé lentement , chaque geste était emprunt de douceur .
Une fois nue , il s'est déshabillé , puis , il est venu vers moi , je regarde pour la première fois , le sexe d'un homme . Il est gros et j'ai peur d'avoir mal . Il lit la peur dans mes yeux , il me rassure avec une parole :
- Tout va bien se passer . Je ferai doucement .
Il parsème mon corps de baisé , j'ai des frissons , je suis pressée de découvrir enfin des plaisirs interdits . Il se place entre mes cuisses qu'il ouvre grandement , avec sa main il guida son sexe en moi . Il me transperce en un coup de rein . Je m' agrippe au drap et je me mord la lèvre pour ne pas crier de douleur .
- Ça va passer .
Il me caresse les seins , mais la douleur est toujours présente . Il commence à se mouvoir en moi . Ce n'est pas intéressant
mais , je prends sur moi , pendant de longues minutes , il s'acharne sur mon corps jusqu'à ce qu'il jouisse .
Il se retire de moi et il part prendre une douche , il ressort avec une serviette pour m'essuyer :
- Je suis désolé , la prochaine fois , ce sera mieux .
Il m'embrasse sur les cheveux et il me nettoie . Mais , je me lève pour aller prendre une douche . J'ai encore mal entre les cuisses .
La deuxième fois c'était une semaine plus tard . J'ai vraiment adoré , nous l'avons fait deux fois et il m'a donné une pilule pour ne pas tomber enceinte .
- Tu vas bien cacher cette pilule , tu le prends chaque jour. ne l'oublie pas .
- J'ai compris , merci beaucoup .
J'étais si amoureuse à l'époque . Nous avons continué notre relation pendant deux mois , un soir , il m'a fait venir et il me dit :
- J'ai un véritable problème .
- Qu'est-ce qui ne va pas ? Je peux faire quelque chose pour toi ?
- Je suis désolé de te parler de mes problèmes .
- Ce n'est rien , dis-moi que puis-je faire pour t'aider ?
- Je dois de l'argent à un ami et il veut urgemment que je le rembourse , sauf que je n'ai pas l'argent .
- C'est combien ?
- Là n'est pas la question , la question c'est ce qu'il demande en retour pour son argent .
- Et qu'est-ce qu'il veut ?
Il se lève et il commence à faire les cents pas :
- Il veut coucher avec toi !
- Quoi ? Il n'est sérieux là ?
- Je suis désolé , c'est la seule chose qu'il veut .
- Mais , ce n'est pas possible ! Je...je...non..
Je ne peux pas , c'est impossible .
Je l'ai laissé planté là et je suis sortie .
Pendant une semaine il m'a snobée . Il ne me calcule plus . Il a commencé à sortir avec d'autres filles , et j'ai mal , pendant une semaine j'ai essayé de me rapprocher de lui mais il ne m'a pas calculé . Chaque jour , il sort avec une nouvelle fille , je suis même allée chez lui , et je l'ai trouvé avec une fille , il m'a ouvert la porte et il était nu avec une fille qui était sur le lit , attendant qu'il vienne terminer ce qu'il était en train de faire .
Mon cœur saigne et je me dis si ça le ramène à moi pourquoi pas ? Je vais accepter ce qu'il me demande , même si ça me fend le cœur , je dois faire ce qu'il attend de moi , et il m'aimera de nouveau . Je suis devenue accro à lui . J'ai besoin de ses baisers , j'ai besoin de lui . Il me manque tellement !
Finalement , je lui ai envoyé un message pour lui dire que j'accepte de faire ce qu'il me demande .
Le lendemain il m'attendait comme avant devant l'école , j'étais si heureuse qu'il veille encore de moi . Je suis montée dans sa voiture et il m'a emmené chez lui . Nous sommes entrés , il m'a demandé si j'étais sûr :
- Tu peux refuser , je ne veux pas que tu te sentes obligée de faire quelque chose que tu ne veux pas .
- Non , je veux le faire .
- Es-tu sûr de toi ?
- Oui , je veux le faire .
Prunelle Oui , ma mère a retrouvé son mari entre mes cuisses . Il prenait plaisir dans ma chatte . Quand elle nous a surpris , il lui a dit que je l'avais harcelé , je courais derrière lui depuis des années et selon lui , puisqu'il est un homme de chair et de sang , il n'a pas pu résister . Cette nuit , ma mère m'a jeté à la porte avec ma valise sous une pluie battante . J'ai pleuré pendant des heures . J'ai tambouriné à la porte , mais , ils ne m'ont pas ouvert . Et comme pour me narguer . Ils ont fait l'amour au salon avec les fenêtres ouvertes pour que je puisse le voir lui faire l'amour . Ce jour-là , il la prend à plusieurs reprises devant moi . Je me suis levée pour prendre ma valise et quitter devant sa porte . J'ai fait un stop jusqu'à la ville proche . L'homme qui m'a prise dans sa voiture était à première vue très gentil . wil m'a demandé : - Où vas-tu ma petite ? - Je ne sais pas monsieur . - Mais pourquoi ? Tu es très jeune quel âge as-tu ? - J'ai quinze ans monsieu
Prunelle - Il ne tient qu'à toi de vouloir rester avec moi ici , j'en serai très heureux . - Merci pour la proposition . Je vais y penser . - Monsieur , madame , votre panier est prêt . - Merci beaucoup . On y va ? Nous allons marcher un peu , ce n'est pas loin . - D'accord , le temps est si beau ! Nous marchons doucement de loin , je peux voir le Lac qui scintille . Ce cadre est vraiment magnifique . Ce serait un très beau cadeau pour mon veuvage . Nous arrivons au-dessous d'un arbre , il y a une chaise et une table pour nous , je m'installe confortablement , il dépose sur la table le panier et commence à enlever son contenu . Il dépose deux coupes de champagne , puisqu'il fait sortir la bouteille . Il nous sert à boire . - À toi ! Je crois que tu es là meilleure chose qui me soit arrivée depuis longtemps . - À nous , que cette relation nous apporte joie et stabilité . Nous buvons , puis on s'installe dans ces longues chaises .e silence nous enveloppe , un silence confortab
Prunelle Je le regarde attentivement , il remarque mon regard insistant et il baisse la tête rougissant . Il est encore plus atteint que je ne le pensais . Je suis sûr qu'il est déjà amoureux . - Moi aussi , j'aimerais bien qu'on se revoit . Tu me plais beaucoup . Il rougit de plaisir . Nous continuons notre dîner entre causerie et blagues à deux balles , je fais semblant de rire comme si c'était vraiment amusant . Sauf que je m'ennuie à mort en sa compagnie . C'est avec ça que je vais devoir me marier ? Quel ennui ! Après le dîner , il me raccompagne chez moi , il a laissé son véhicule au restaurant juste pour me déposer devant chez moi . C'est lui qui prend le volant de ma voiture . il gare mon véhicule et nous nous regardons , je suis sûr qu'il veut m'embrasser mais qu'il à peur de ma réaction . Je prends les devants et je l'embrasse hâtivement sur les lèvres avant qu'il ne descende .Il est tout rouge comme un adolescent . Je le regarde prendre un taxi pour repartir au restau
Prunelle Je me regarde une dernière fois dans le miroir : que je suis belle , si belle ! Je comprends pourquoi les hommes me trouvent irrésistible , avec mes cheveux blonds , ma taille de guêpe , ma belle poitrine , je suis irrésistible ! Je m'appelle Prunelle Perry , j'ai trente ans et je suis ce que les gens appellent une veuve noire ! Oui , vous avez bien lu ! J'aime tuer mes maris . Les hommes sont des pores , ils ne méritent rien d'autre que la mort . J'ai un nouveau rendez-vous , une nouvelle proie à mettre sous terre . Mais avant , il doit me céder toute sa fortune après notre mariage . Avec ma petite taille , J'ai l'air si fragile aux yeux des hommes ! Ça leur donne envie de me protéger , ils veulent devenir mon protecteur . Ce qu'ils ne savent pas c'est que c'est eux qui doivent être protégés , ceux qui sont en danger . Mais , ils ne le savent pas . Tout ce qu'ils voient c'est cette belle femme qui fait moins que son âge qui s'intéresse à eux . Je les choisis entre la q
Maria Déesse Le commissaire m'a appelé pour me demander de venir rapidement dans son bureau . Je suis venue avec Olga , qui est plus que impatiente de savoir ce qu'il avait l'intention de nous dire . - Bonjour commissaire . - Bonjour mesdames , Asseyez-vous . Nous prenons place . - Je vous ai appelé pour vous demander un service . - De quoi s'agit-il ?- Ce que je vais vous dire est confidentiel , celà doit rester entre nous pour le moment . - Très bien. , on vous écoute . - Je tiens d'abord à vous dire merci . Car grâce à vous , nous avons pu mettre la main sur cet homme . - Non ? - Si ! Je suis heureuse , et je regarde Olga qui me regarde et nous crions de joie . Je me lève pour féliciter le commissaire : - Félicitations à vous monsieur , vous ne savez pas combien de fois je suis heureuse ! Les gens pourront circuler en paix maintenant . Quel soulagement !- Tout le mérite vous revient , c'est vous qui avez donné l'idée . - Mais , vous l'avez suivi , car vous pouviez
Le commissaire Mon agent a fait appel à la police scientifique pour venir faire les prélèvements . Trente minutes plus tard c'était chose faite . Nous attendons les résultats , ils sont au nombre de sept ceux qui ont été prélevés . les résultats seront connus dans deux jours . À partir de maintenant , nous allons faire des tests à tous ceux qui vont passer ici devront subir les mêmes tests . Nous continuons de mener les enquêtes , personne ne sort maintenant sans être accompagnée . Tout le monde marche maintenant deux à deux , ou à trois . Nous faisons chaque fois des patrouilles pour surveiller la population . Tout le monde a peur , même nous les policiers avant peur . Maria Nous sommes dans le restaurant et nous tendons à l'oreille . Un groupe de femmes vient s'asseoir à la table à côté de la nôtre . Elles commandent à boire et elles commencent à parler entre elles : - Mon copain s'est fait arrêter ce matin pour vol . - Tu es tombé bien bas , que fais-tu avec un voleur , il