LOGINAprès des minutes dans le taxi , j'arrive enfin. Dans la voiture, je regarde l’étendue de la maison, il faut être malade et sacrément riche pour construire une chose pareille. Après avoir payé le transporteur je descends, devant la villa, je continue la contemplation du haut du monument jusqu'en bas, au portail, quand mes yeux touchent les deux gardes sacrément musclés qui sont debout avec un bâton en fer entre les mains. À voir leur allure ce sont les gardes du manoir, on dirait des catcheurs. Bref quand il faut y aller , il faut y aller. Avec ma démarche garçonnière je m’approche d’eux. Sans que je n’ouvre ma bouche avec un ton grave l’un d'eux m’adresse la parole.
— Hé petit, qu’est-ce que tu cherches ici? — Bonjour, c’est ici les fiançailles n’est-ce pas, je suis un invité très important de la fête. — Votre invitation. Mince , je viens de me rappeler que je l’avais oublié à la maison, Renata me l’avait déposé sur la table. Qu’est-ce que je vais faire ? — Alors votre invitation sinon vous n’entrez pas. — Au faite Monsieur, je crois bien que j’ai oublié mon invitation à la maison. Ces mots qui ne peuvent convaincre personne et en voyant comment ils commencent à me regarder , c’est sûre qu'ils me prennent déjà pour un plaisantin. — Alors je peux entrer ? — Dégage de là petit, il n’y a rien pour toi ici. — Mais dis-donc vous me prenez pour qui? j’ai dis que je suis une personne importante de la maison, je suis le frère de la fiancé. — Oui c’est ça. Ce qui est sûr il est hors de question que je retourne à la maison prendre la carte d’invitation , cet argent gratuit de transport je peux faire autre chose avec donc ce qui me reste c’est de les convaincre mais malheureusement ils étaient pas d’humeur bavards, depuis leur “Oui c’est ça” aucun mot n’est plus sorti de leur bouche , ils ne me regarde même plus. Mais d'ailleurs pourquoi être si strict avec la sécurité, c’est la fête en plus, mais en d’autre part je les comprends sinon toute personne pouvant s’incruster, vraiment ces riches avec leur avidité. — Monsieur s’il vous plaît , ils sont entrain de m’attendre. Hé…je vous parle. Mais rien, j’étais là, à retenir leurs attentions sur moi quand une dame en sort et sans même me regarder s’entretient avec les gardes. — Les livreurs de viande ne sont pas encore là ? — Non Madame. — Ok , s'ils arrivent appelez moi. — D’accord. Elle voulait se retourner quand je l’interpelle. J’étais déjà épuisé surtout par ce début de soleil. — Oui. Dit la femme, le visage bien serré, peut être qu’elle m’imagine un passant voulant s’incruster à la fête. — Madame s'il vous plaît, vous pouvez m’annoncer, j'ai oublié mon invitation à la maison. — Vous êtes qui? — Je m’appelle Daniel, un des membres de la famille de la fiancé, son aîné plus précisément. — D’accord. Elle entre et les gardes ferme le portail derrière elle. Quel manque de respect envers la sœur directe de la fiancé. Côté accueil chaleureux de la prestigieuse famille qu’ils prétendent être est nulle. Moi je vous le dis. Les gardes me regardent sans pomper mot. À l’intérieur, la dame rencontre l’une des serveuses et l’appelle. — Oui Madame. — Tu peux aller prévenir Madame Laura, il y'a quelqu'un au portail qui dit fait partie de la famille de la marié. — D’accord Madame. La fille sans tarder s'en va , la dame en question est la gouvernante de la maison et la fille qu’elle vient d'envoyer est l’une de ses filles de ménage du manoir. La fille dans la foule commence à chercher la dame de la maison et la trouve assise en train de discuter avec la famille Verell. Elle s’approche d’elle et la chuchote à l’oreille : — Madame, il y’a quelqu'un dehors, sans invitation qui prétend être de la famille de la fiancé. — Comment elle s'appelle ? — Daniel je pense. — Ok. Tu peux partir et qu'on la laisse entrer. — D'accord Madame. Au départ de la serveuse , Laura communique l’infos à leurs invités. — Je crois que votre fille ainée est là. — Vraiment ? Quel surprise pour ma famille qu'on m’annonce ainsi, ils se retournent pour me regarder. — Au fait, elle avait oublié son invitation , j’ai envoyé quelqu'un pour qu'on la laisse entrer. — Oh non… Dit ma mère honteuse. << Elle ne manque pas une occasion cette fille>> Renata qui comprend déjà fait la tête à nos parents, après tout qu’est-ce qui peut encore les étonné. Au portail, une fille sort, parle au garde et on me laisse entré. — Vous pouvez entrer. Me dis les gardes maintenant l’air chaleureux. — Et puis quoi encore, il vous plaît maintenant ? Laissez-moi vous dire, vous êtes toute des nulles. La fille en me réconfortant car j'étais furieuse. — Excusé les, ce n’est pas de leur faute, c’est le règlement de la maison. — Et même si, une crève la fin peut s’habiller ainsi pour venir à une fête soudain ? — Vous avez raison, encore une fois toute mes excuses. Daniella s'approche de la foule tout en déballant un emballage de bonbon quand soudain elle reconnais la voiture qui lui avait éclaboussé l'eau sur la figure le matin. — Mais … mais… mais… — Quoi , qu’est-ce que vous avez ? Demande la fille pas son arrêt soudain, elle qui voulait la conduire à sa famille. Daniella dévie chemin et s’approche de la voiture, fait le tour de la bagnole pour le confirmer. — Mademoiselle… au faite je pense… Dit la fille qui ne sait pas très bien comment l’appeler car à part son visage qui semble être une fille et sa voix, tout d’elle reflète celui d’un garçon. — Qu’est-ce que vous avez contre cette voiture ? — Attend mais c'est la voiture ,c'est la salle voiture qui a éclaboussé de l'eau sur moi ce matin. D'accord, parfait on verra. Elle disait cela tout en claquant ses doigts pour les débloquer ce qui choque la fille qui ouvre grandement ses yeux. — Allons-y, on va s’en occuper après, j'espère que tu sais l’enfoiré à qui ça appartient. — Oui. — Parfait, allons-y maintenant. — D’accord suivez-moi. À la fête, ma famille n’était plus à l’aise surtout ma mère, elle se demande si j'avais vraiment porté cette robe sinon pourquoi m’annoncer ainsi, un membre de la famille au lieu de dire tout simplement une fille ou la sœur de la fiancé. À l’intérieur, tout le monde avait les yeux rivés sur elle-même Will a tout á coup laissé son téléphone en la voyant. Son visage lui semblait familier. Daniella regarde partout et touche des yeux sa famille, tous assis en train de discuter avec la famille de John. Elle hocha la tête devant leur sourire bête pour faire plaisir et sa sœur entrain de regarder amoureusement son fiancé, ce qui lui fait sourire devant le cinéma. — Vous les voyez déjà, ils sont là. Dit la fille. — Oui c’est bon. J’ajuste correctement mon t-shirt et mon bonbon qui ne cesse de tourner dans ma bouche. J’imagine déjà leur état quand ils me verront surtout ma mère, seulement ça, je ris au fond de moi ça ne finit pas, Oui j’aime bien l’embêter même si je sais que c’est horrible. J'avance avec la fille vers eux , quand leurs yeux à tous se posent sur moi. L’expression de ma mère, elle sursaute instinctivement à ma vue. — Mais … mais , oh mon Dieu… Dan… Elle n’avait plus les mots, je me demande si à ce moment-là mon nom est toujours complet dans sa bouche. Après eux tous, Renata, mon père quant à John il ne faisait que me sourire à croire qu'il n'attendait pas mieux de moi. Je viens à leur niveau. J’enlève mon bonbon de la bouche pour les saluer. — Salut à tous, alors c’est la forme? Ces mots qui peuvent tuer n’importe qui, j’ai fait la totale sur ce coup. Ma mère baisse sa tête pour ne pas affronter les regards de la belle famille de sa fille. La famille de John me regarde surprise et étonné surtout sa mère qui n’avait pas baissé son regard de moi, elle se contente de me regarder de haut en bas et de bas en haut. — John dis moi, c'était quoi son nom déjà ? — Daniella. — Oh mon Dieu. Donc c’est une fille. Ma mère tout bas. — Seigneur quelle honte. Elle m’a bien eu. Daniella c’est sûre aujourd'hui je vais te tuer. Will qui n’avait pas encore enlever ses yeux d’elle, il est persuadé de l’avoir déjà vu mais comme il a une bonne mémoire il se souvient. — Je sais, donc c'était une fille ?Je l'ai prise pour un mec ce matin. Ce qu'il dit tout bas. Laura et les autres n'avaient pas encore repris leurs esprits. Carine continue toujours de se morfondre en voyant ce silence qui dure déjà des minutes. — Oh mon Dieu ,quelle honte. Qu’est-ce qu'ils vont penser de nous ? — Alors c'est votre fille. Dit Laura dans ce silence glacial. — Oui c'est moi , Daniella, mais tout le monde m'appelle Daniel ,vous le pouvez aussi. — D'accord c’est super… Assieds- toi alors Daniel. En le disant sur la bouche. — Merci . Elle voulait s'asseoir à côté de sa mère mais vu son état c’est la mort assurée. — Papa, je peux m’asseoir à côté de toi ? — Bien sûre, assieds-toi ma chérie. — D’accord . Je m'assois en mettant mes pieds sur la table. Ce qui crée une autre tension, c’est là ma mère se redresse assez. — Daniella ton pied. Son ton peut sembler quelque peu normal mais le regard qu’elle me lance en le disant est terrifiant, vite je redescends mes pieds. — Je suis vraiment désolé. Dit ma mère à tout le monde pour s’excuser de mon attitude. Laura pour faire bonne impression même si cela l’offusque au plus haut point. — Non c'est rien ,les jeunes de nos jours. Will de son côté ne faisait que la regardé avec un visage qui dis "Je n'aime pas du tout ça ,quelle vulgarité cette fille". — Maintenant continuons. Où en étions-nous ? En entendant cela, je savais ce qui suivrait, une longue discussion inutile et complètement ennuyeuse , pour passer le temps je sors mon téléphone et commence à jouer mon jeu favori * la course de moto*, le claquement de ma douceur dans ma bouche qui empêche les autres de se concentrer dans leur conversation. Laura pour retenir mon attention. — Alors on disait… A ce moment j’étais déjà absorbé dans mon jeu, je dois gagner la partie à tout prix sans savoir que tout le monde s’était tus pour me braquer du regard. Je l’ai remarqué sans tarder vu le silence qui régnait à la table. — Je vous dérange ,excusez-moi. Je crache mon bonbon qui est déjà devenu un chewing-gum au bout de sa finition et le colle sous la table devant eux en souriant. — Non je ne crois pas. Elle est salle cette fille. Dit Will dégoûté. — Attendez, vous parlez de qui là? — Mon fils calme toi. Du calme. Will écoute les conseils de sa mère et n’ajoute plus rien mais de mon côté c’était le contraire, il avait de la chance sinon… — C'est mieux pour toi. Ajoutais-je. Renata qui voulait verser des larmes car Daniella faisait du n'importe quoi et la famille de John commençait déjà à montrer leur mécontentement. Sa mère et son père ne savent plus quoi dire d'autre que de baisser la tête honteuse. Laura qui sent qu'une réunion familiale s’impose convoque sa famille. — Will ,John ,chérie, je peux vous parler une minute? — D’accord. Répondit son mari.— Ma faute ? Je suis aller te sauver et tu me dis que j'ai tort?— Tu es allé me sauver mon œil ? T'ai-je demandé de me sauver ou j'ai mis une étiquette sur moi où est écrit “venez me sauver, je souffre”.— Alors qu'est-ce que tu veux maintenant?— Je veux que tu ailles réparer ton erreur. Tu iras parler à mon patron pour qu'il me redonne le travail et me laisse revenir. — Tu rêves ma petite. — Quoi ? En donnant un coup à son bureau avec ses mains. Leurs cris raisonnait tellement que les employés se sont rassemblé devant le bureau de Will pour comprendre ce qui se passe.— C'est chaud à l'intérieur. Dit l’une d'elle. Á l'interieur.— Alors là tu te trompes ,je ne reviens jamais sur mes pas et ce travail n’est pas commode pour une fille. — Quoi, qu'est ce que tu dis là?— Ce que tu as entendu maintenant sort de mon bureau, j’ai du travail. — Tu as juste la chance qu'on ai dans l'entreprise de ton père et j'ai du respect pour lui sinon j'allais te donner une bonne corre
Dans le restaurant. Daniella voit le barman et s'approche de lui avec sourire. — Bonjour Monsieur.— C'est toi ma petite ,je croyais que je ne te reverrai plus jamais, vu comment ton petit ami à fait un scandale ici.— Mon petit ami ? qu'il ne rêve même pas, c'est juste un connard qui pense me contrôler.— Mais ce qui est sûr il tient vraiment à toi.— Han..j'aimerais bien voir ça. Alors il y'a du travail pour moi ce soir?— Non ma petite, je suis désolé mais les clients ne veut plus de toi, ce sont des hauts cadres tu sais et ton sauveur à faillir leur créé de problème ici , moi même j’ai la chance sinon à cause de cette affaire j’aurais perdue des gros clients mais Dieu merci ils ont passé l’éponge quand je leurs aient expliqué, et te concernant, tu es une fille sinon j’allais te recommander à d'autres. Je suis désolé mais je ne peux pas t’aider. — Quoi Monsieur, vous êtes sérieux?— Oui ma petite, notre bar est le plus réputé de la ville et on n'aimerais pas avoir la police
Au salon.Aujourd'hui fût une journée bien fatiguante. Dit le père Walker tout en s’étirant. — Chez moi aussi alors je vous laisse, à demain.— D'accord mon chéri. Dit Laura. Will une fois dans sa chambre, se jette sur son lit, le regard dans le vide, il se rappelle de tout ce qui s'est passé de la journée, rien que des moments passés avec Daniella et en se souvenant de tous ses délires. — Une vraie folle mais pourquoi je ne fais que pensé á cette fille, il faut que je me concentre sur mon travail, elle n'est pas du tout mon genre ,pas du tout. Il éteint sa lampe pour fermer les yeux. Dans la maison Verell. Les parents dans leur chambre triste, tous les deux , les yeux grandement ouvert tout en pensant à leur fille. — Elle va me manquer, ma petite Renata. — Ce n’est pas toi seul mais comment faire, tout enfants à un âge donné doit se libérer de ses parents pour aller construire sa propre famille. Ça a toujours été comme ça, on a pas le choix. — J’espère juste qu
Sa mère qui la voit de loin avec Laura et s'est amis trouve une occasion pour lui trouver un bon parti .Elle s’approche d’elle avec sourire. — Daniella que fais-tu ici? Laura qui n'en revenait pas, maintenant c'est fini ,elle aura la honte de toute sa vie. En détournant son visage l’air pensive avant de procéder au présentation des secondes plus tard après une profonde respiration. — Je vous présente Carine Verell ,c'est la mère de Renata et de Daniella. — Ah enchanté, je trouve vos filles très charmantes, très belles à couper le souffle. Carine avec sourire:— Merci. — Au fait , je parlais avec votre fille Daniella ,je la trouve vraiment impressionnante , très belle et avec son style on sent qu'elle cache bien un trésor tout au fond et ça j’adore. La mère Verell étonné de sa remarque se tourne regarder sa fille pour essayer de voir le trésor qu’elle peut cacher mais ne trouve rien , elle revient à elles. — Oui vous avez raison, c'est toute ma fille Daniella. Vous ne
— John je te confie ma fille, j’espère que tu l’as protégera toute au long de votre vie. — Je vous le promets beau-père, avec moi la princesse est entre de bonnes mains. Tous les invités étaient impressionnés et applaudis, les murmures commencent à se faire dans la salle. > > — Maintenant on va commencer la cérémonie . Dit le maire pour attirer leur attention. Le beau-père va à son siège accompagné de Daniella qui jette un regard sur Will, le lorgné avant de s'asseoir. — Même en public elle continue. Dit Will au fond de lui tout en refroidissant la mine et s'asseoir à son tour accompagné de tous les invités. Quelques minutes plus tard, les vœux furent changés et une joie inestimable rugit dans la salle quand les deux partenaires disent un grand Oui devant tout le monde. — Maintenant vous pouvez embrasser la mariée. Le dernier sacrement et qui est aussi le plus incroyable car John ne voulait plus lâc
John qui voit son frère un peu perdu dans ses pensées. — Will mon frère, tu penses à quoi?— Á rien, j'arrive, j'ai oublié quelque chose.John avec sourire:— D'accord. Dans la chambre de Renata.— Alors moi je vous laisse.T'inquiète pas soeurette je serai dans la maison.— D'accord. Daniella sort, dans sa ronde elle voit la grand- mère seule dans son coin. Alors elle décide d'aller la voir.Avec un grand sourire elle surgit devant elle tel un enfant. — Alors mamie je vous ai manqué hein.La grand- mère , heureuse de la voir.— Ma petite Daniel, bien sûr que tu m'as manqué, avec toi les rires ne cessent jamais.— Alors c'est parfait car je compte rester avec vous toute la journée.— Tu es sûre ,tu ne vas pas t'ennuyer à rester ici avec une vieille dame?— Bien sûre que non mamie et pour dire vrai vous êtes encore jeune et vous pouvez aussi vous marier prochainement et comptez sur moi pour vous soutenir.La grande mère étouffe de rire.— Toi tu es une bonne blagueur, je t'app







