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chapitre 2

Penulis: Queenoflove842
last update Terakhir Diperbarui: 2025-06-23 21:50:35

J'étais rentré chez moi après avoir déposé Sofia chez elle. Nous n'avions plus rien à faire ensemble. Il était maintenant temps pour moi de réfléchir à ce que je devais faire. L'eau chaude qui coulait sur mon dos me faisait un bien fou. Les bruits en bas me firent comprendre que mes parents venaient de rentrer à la maison. J'avais besoin de leur parler. J'avais toujours su qu'ils me cachaient quelque chose d'important, mais je n'aurais jamais imaginé que c'était ça. Je sortis de la salle de bain après m'être séché et habillé, puis descendis rejoindre ma mère qui se trouvait dans la cuisine.

« Mon chéri, tu es là ? As-tu faim ? » dit-elle. Je hochai simplement la tête avant de prendre place sur une chaise.

Elle me fit un sourire avant de reprendre ce qu'elle faisait. La voir aussi heureuse m'énervait alors que dans ma vie, tout était sens dessus dessous, et tout cela à cause de leurs mensonges.

« Maman, je voudrais savoir pourquoi papa et toi avez quitté l'Italie pour vous installer ici ? »

Je la vois se tendre avant de se reprendre très vite et de continuer ce qu'elle faisait en m'ignorant royalement.

« Luca, si maman et moi avons tout laissé derrière nous pour t'emmener ici, c'était pour t'offrir un avenir radieux », dit mon père en venant prendre place près de moi.

« Je sais que ce n'est pas la seule raison, mais bon, puisque vous ne voulez rien me dire, alors je ferai mes propres recherches jusqu'à trouver la vérité que vous me cachez. Je n'ai plus faim », dis-je en me levant de mon siège.

« C'est bon, reviens t'asseoir. Nous allons tout te dire. Tu as dix-huit ans maintenant et tu es déjà assez grand pour comprendre ce que nous allons te révéler », dit mon père tout en essuyant ses mains avec un torchon.

« Il y a dix-huit ans de cela, la population italienne était en baisse. Les naissances étaient en baisse, alors pour remédier à cela, le gouvernement a décrété que toutes les femmes enceintes seraient tirées au sort. Le procédé était simple : il devait changer les gènes du bébé mâle pour qu'il soit capable d'enfanter. Ce procédé avait débuté des années avant ta naissance, mais j'y suis passée aussi. J'avais été tirée au sort et nous n'avions pas le droit de refuser. Tout le monde y était passé. Mais ce n'était pas la vie que l'on voulait pour toi. Après ta naissance, nous sommes partis pour que tout ça ne t'affecte pas. Je suis heureuse que tu sois un homme qui aime les femmes et que jamais tu ne tomberas enceinte.

— Nous voulons juste que tu sois un garçon normal », ajouta mon père avec un immense sourire aux lèvres.

Je savais déjà qu'il m'était impossible de dire à mes parents que j'étais enceint. Ils avaient fait de leur mieux pour fuir leur passé, mais aujourd'hui, j'étais grand et en âge de prendre les bonnes décisions dans ma vie. Mon bébé était en sécurité avec moi. Je ne laisserais personne lui faire du mal. Je devais continuer à prétendre que tout allait bien et chercher quoi faire de mon avenir. Ce n'est pas en restant à la maison que tout s'arrangerait. Tout allait s'arranger si je m'en donnais la possibilité.

Après avoir mangé pour une fois, je remontai dans ma chambre. J'étais si épuisé, mais l'heure n'était pas au repos. Je devais le trouver. Après, j'envisagerais la suite plus tard.

Trois semaines s'étaient écoulées. L'hôpital n'arrêtait pas de me harceler et je devais filtrer les appels du lycée que recevaient mes parents. Je savais très bien que je n'allais pas continuer à leur cacher la vérité encore très longtemps, mais avant ça, je devais le retrouver. Je décidai enfin de prendre mon téléphone. Je devais l'appeler : c'était la seule personne qui pourrait me dire où je pourrais le trouver. Je composai le numéro de mon meilleur ami avant de porter l'appareil à mon oreille.

« Monsieur a enfin décidé de m'appeler ! Qu'est-ce qui ne va pas avec toi, mec ? Pourquoi ne viens-tu plus en cours ? J'ai même demandé à Sofia ce qui n'allait pas avec toi, mais elle n'a rien voulu me dire. Qu'est-ce qui ne va pas entre vous deux ?

— Nous avons rompu.

— Tu rigoles ? Vous êtes ensemble depuis si longtemps. Que s'est-il passé ? Je suis ton meilleur ami et ami d'enfance. Dis-moi tout ce qui ne va pas.

— Je te dirai tout très bientôt, Matteo, mais maintenant, je veux parler à ton frère.

— Ce tatoueur n'est pas la solution pour oublier une rupture. Tu en as déjà plein sur ton bras. Où veux-tu encore être tatoué ? J'espère que tu as prévenu tes parents cette fois-ci.

— Arrête de raconter n'importe quoi ! Je n'ai jamais dit que je voulais me faire tatouer. Je voulais simplement demander quelque chose à ton frère.

— Qu'est-ce que c'est ? Mon frère n'est pas à la maison, mais tu peux me poser ta question.

— Je... Tu te souviens de l'ami que ton frère avait ramené à ma fête ?

— Oh, Marco ? Il est Italien comme toi, et j'ai remarqué que vous vous entendez très bien. Que veux-tu de lui ?

— Je... Euh... J'ai quelque chose qui lui appartient. Je me suis rendu compte que j'étais en possession de quelque chose qui était à lui et j'aimerais le lui rendre.

— Tu veux lui rendre quelque chose ? Je suis désolé, mais j'ai appris de mon frère que son ami était rentré en Italie. Je crois que tu ne pourras jamais lui rendre cette chose. Et puis, c'est le fils d'une famille riche. Ce qui est en ta possession doit être insignifiant à ses yeux. »

Je ne savais pas quoi dire d'autre à mon ami. Marco n'était plus aux États-Unis. Que pouvais-je bien faire pour m'en sortir ? J'étais seul, sans personne pour m'aider, et c'était cette situation qui était difficile. Je ne savais pas quoi faire. Je déposai mon téléphone sur le lit après avoir mis fin à l'appel. Je posai ma main sur mon ventre qui commençait à prendre du volume. J'avais cru que je pouvais changer quelque chose à ma situation et arranger les choses. Je ne pourrais rien faire si je restais ici.

« Mon bébé, pour t'avoir, je dois prendre la plus grande décision de toute ma vie. Elle ne sera pas facile, je le sais, mais tu es déjà la personne la plus importante dans ma vie. Et tout comme mes parents, je veux te donner le meilleur. Et pour ça, je dois partir avant que mes parents ne découvrent la vérité. Mais ne t'inquiète pas, mon bébé, je suis là pour toi. »

Partir était la seule solution que j'avais. Je ne pouvais pas rester et faire honte à mes parents. Je savais qu'ici, il me serait difficile de mettre au monde ce bébé sans en subir les conséquences. J'avais besoin d'être suivi par des professionnels. J'avais un peu d'argent de côté. Je pouvais me débrouiller si je donnais du mien. C'était décidé : j'allais le retrouver. Peu importe ce qui allait se passer, je savais que rien de bien ne m'attendait nulle part, mais c'était bien mieux qu'ici. Alors, Marco Bianchi, prépare-toi : j'arrive.

Ça m'avait pris deux semaines de plus pour rassembler assez d'argent pour mon voyage. J'avais attendu que mes parents quittent la maison pour un énième voyage d'affaires pour faire de même. Je savais que partir de cette façon n'était pas bien pour eux, mais je ne pouvais pas leur permettre de prendre des décisions qui concernaient ma vie. Je savais qu'ils seraient déçus de moi. Ils étaient partis pour ne jamais voir leur unique enfant avoir une grossesse comme une femme, mais c'était arrivé. Je portais un bébé dans mon ventre, et c'était de mon devoir de protéger ce petit être, même si je n'avais pas choisi cette situation. Le voyage avait été si long. J'étais épuisé malgré le fait que je m'étais endormi dans l'avion.

Rome était grande et bondée de gens. Ça annonçait déjà quelque chose de difficile pour moi : retrouver Marco Bianchi dans une aussi grande ville. Je soupirai tout en sortant de l'aéroport. Je devais trouver un endroit où passer la nuit. J'avais encore la carte de crédit que mon père m'avait donnée. J'allais me prendre une chambre d'hôtel confortable avant de chercher un autre endroit pour loger. Je devais penser aussi à me trouver un emploi pour payer mon loyer.

Le taxi que j'avais pris s'était arrêté devant un magnifique hôtel. Le prix de la chambre devait être cher, mais c'était la dernière fois que j'utiliserais la carte de crédit de mes parents. Je voulais me sentir chouchouté une dernière fois avant de travailler dur pour gagner mon pain.

Je récupérai la clé que me tendait la réceptionniste avant de suivre le bagagiste qui portait mes affaires jusqu'à ma chambre. Celle-ci était belle – normal avec le prix que ça valait. Mes parents vont me tuer s'ils me retrouvent. Je m'allongeai un moment sur le lit. J'avais envie de dormir, mais je voulais aussi visiter les alentours. Je me levai de mon lit et quittai ma chambre d'hôtel pour rejoindre le hall. Il y avait un mariage qui était organisé dans l'hôtel. J'aimerais bien assister à un mariage et profiter de la fête. Ce n'est pas parce que j'étais enceint que je ne pouvais pas m'amuser un peu de temps en temps. Je gémissais de douleur en sentant une crampe d'estomac. Je me recroquevillai en attendant que la douleur passe. Il fallait que je commence mes visites médicales. Je me devais de tenir bon et de ne pas craquer.

« Jeune homme, est-ce que tout va bien ? Je peux vous aider ? » demanda la femme d'âge mûr qui s'était mise à ma hauteur.

« J'ai des crampes d'estomac. La douleur va bientôt passer. Vous n'avez pas à vous inquiéter, madame.

— C'est normal que je m'inquiète. Un jeune homme seul et dans votre état a besoin d'aide. Laissez-moi vous aider », dit-elle tout en m'aidant à me relever. « Tu peux m'appeler Donna Rossi. Dis-moi, jeune homme, vous en êtes à combien de semaines de grossesse ? »

J'étais surpris par sa question. Mon ventre n'était pas aussi voyant. Je savais que mon ventre était devenu mou, mais je ne savais pas que ça se voyait tant que ça que j'étais enceint.

« Je m'appelle Luca, et c'est ma vingtième semaine. Je n'ai pas encore commencé mes visites chez le médecin.

— Oh, mais non ! Tu devrais prendre plus soin de toi et de ton bébé. Tu es jeune et tu devrais comprendre qu'il est nécessaire que tu sois très bien pris en charge. Pourquoi prends-tu autant de temps ? Dis-moi, je veux bien t'écouter.

— Je veux moi aussi que mon bébé soit en bonne santé. Je viens à peine d'arriver à Séoul. Je cherche quelqu'un, c'est pour ça que je suis ici. Je suis partie pour pouvoir donner le meilleur à mon bébé. Si j'étais restée, alors tout le monde aurait fait de son mieux pour que mon bébé ne voie jamais le jour.

— Et je peux savoir qui est la personne que vous cherchez, Luca ?

— C'est drôle, mais je suis là pour retrouver le père de mon bébé. Je ne suis pas là pour lui imposer quoi que ce soit. Je veux simplement qu'il apprenne de ma bouche qu'il va devenir père. Il m'avait confié que c'était son rêve, Donna Rossi.

— Tu es une personne charmante. J'aurais aimé que mon petit-fils ait pour partenaire de vie une personne qui pense à ses besoins. Mais que puis-je y faire ? Les jeunes d'aujourd'hui préfèrent choisir eux-mêmes leur partenaire de vie.

— Oh, c'est le mariage de votre petit-fils aujourd'hui ? Mais que faites-vous ici avec moi ?

— Je préfère être avec toi qu'à l'intérieur. Mais si tu me rejoins, je voudrais bien y retourner. »

Elle voulait que je vienne avec elle. Ce genre d'événement devait être rempli de personnes importantes, et il y avait moi, habillé si simplement avec des vêtements amples. Mais je ne pouvais pas dire non à ce visage. Je n'avais jamais connu ma grand-mère, et avec elle, je me sentais si en sécurité.

« D'accord, Donna Rossi, je vais venir avec vous.

— C'est génial ! Tu es génial ! J'aimerais te présenter à toute ma famille », dit-elle tout excitée.

C'était mon premier jour en Italie, et je venais de faire la connaissance d'une charmante grand-mère. Mon bébé, j'aimerais qu'on retrouve très vite ton papa.

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