CHAPITRE 4
LE POINT DE VUE DE D'ESPOIR
Le baiser, au début hésitant, devint plus profond. Miranda se laissait aller, ses mains s’étaient accrochées à mes épaules comme pour trouver un point d’ancrage, et moi je me perdais complètement dans la chaleur de sa bouche. Chaque seconde volée avait le goût du danger, mais aussi d’un plaisir que je n’avais jamais connu.
Je murmurai, mes lèvres encore collées aux siennes :
— Laisse-moi te conduire sur le lit.
Elle me fixa une seconde, ses yeux pleins de cette bataille intérieure. Et puis elle souffla, presque imperceptible :
— D’accord.
Mon cœur fit un bond. Sans réfléchir, je glissai mes bras sous ses cuisses et dans son dos. Elle était légère dans mes bras, son parfum enivrant, sa poitrine pressée contre mon torse. Je sentais sa respiration rapide, presque haletante.
Je la déposai doucement sur le lit, comme si elle était faite de verre. Ses cheveux s’étalèrent en cascade sur l’oreiller, et ses lèvres restaient entrouvertes, m’appelant encore. Je la contemplai une seconde, incapable de croire que j’étais vraiment là, devant elle.
Je me penchai au-dessus d’elle, mes mains tremblaient à peine sous l’excitation. Nos regards s’accrochaient, lourds de non-dits et de désir retenu trop longtemps. Elle mordilla sa lèvre inférieure, et je crus mourir sur place.
— Tu es sûre ? soufflai-je malgré moi, comme une dernière barrière avant de plonger.
Elle ferma les yeux un instant, inspira profondément, puis les rouvrit.
— Je n’ai jamais été aussi sûre…
Mon corps entier vibrait à ses mots.
Je restai au-dessus d’elle, incapable de détourner les yeux. Miranda, étendue sur le lit, me fixait comme si elle cherchait encore une échappatoire… mais ses doigts, eux, s’étaient accrochés doucement à mon bras, comme si elle ne voulait plus que je m’éloigne.
Je pris une grande inspiration. Ma main tremblait légèrement quand je la posai sur le tissu fin de son haut. J’effleurai à peine la matière, mais je sentis déjà la chaleur de sa peau traverser la barrière fragile. Son souffle se fit plus lourd, plus saccadé.
— Espoir… murmura-t-elle, d’une voix où vibraient autant l’hésitation que le désir.
Je relevai les yeux vers elle. Ses lèvres entrouvertes semblaient me supplier de continuer, ses yeux brillaient d’une lueur trouble, presque coupable.
— Si tu veux que j’arrête… dis-le moi maintenant, soufflai-je.
Un silence suspendu. Puis, au lieu de parler, elle ferma les yeux et inclina légèrement la tête en arrière, comme pour offrir son cou, comme pour m’inviter à franchir cette limite invisible.
Mes doigts glissèrent alors le long de son bras, de son épaule, puis revinrent lentement vers son ventre, par-dessus le tissu. Je sentis ses muscles se contracter sous la caresse. Elle inspira profondément, et cette respiration saccadée résonna dans ma poitrine.
Je la regardais, fasciné. Chaque geste que je faisais semblait la troubler davantage, mais elle ne me repoussait pas. Elle me laissait approcher, comme si une partie d’elle avait attendu ce moment depuis longtemps.
Nos regards se croisèrent de nouveau, et c’était comme une décharge électrique. J’y voyais la peur, oui, mais aussi cette faim, ce besoin d’être désirée, d’être touchée. Je ne pus m’empêcher de sourire faiblement.
— Tu es… magnifique, lâchai-je presque malgré moi.
Elle rouvrit les yeux, ses joues rougies, et je sentis ses doigts serrer un peu plus fort ma manche, comme une réponse silencieuse.
Mon cœur cognait si fort que j’avais peur qu’elle l’entende.
Je retire son pyjama et je vois le string rouge qui couvrait son intimité.
« écart des cuisses Miranda »
Miranda obéit doucement. Je me penche entre ses cuisses afin d’observer sa jolie petite chatte totalement rasée. Je vis alors une légère goutte de rosée perler sur sa vulve déjà humide… Tu mouilles déjà Miranda
_Je… Oui… Peut-être… murmura-t-elle, la voix presque coupée
Je humai alors l’intimité de Mirenda comme s’il s'agissait d’une friandise exquise.
— Tu sens délicieusement bon, commenai-je
Mirenda plaqua instinctivement ses deux mains sur sa bouche. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle était en train d’écarter ces cuisses pour moi.
« Place moi des menottes » murmura-t-elle
« Des menottes, j'en ai pas » dis-je
« Moi oui ! »
Elle ouvre un tiroir et me remet des menottes, je les regarde fasciner.
J'attache les mains de Mirenda aux barreaux du lit, au-dessus de sa tête. Elle était maintenant ma prisonnière, à présent.
« Maintenant, je vais goûter à tes beaux seins » dis-je, Mirenda n’eut pas le temps de répondre.
J'avais fondu sur elle comme un aigle sur sa proie, déposant des baisers torrides sur la chair moelleuse de ses seins, ses tétons, son ventre frémissant.
Puis je remontai vers ses seins et les saisissant dans mes grandes mains chaudes, et je les léchai alors goulument, me régalant de sa chair de femme mûre comme un fauve affamé.
Mirenda ne put s’empêcher de gémir en sentant ma langue chaude et humide sur son corps innocent.
Instinctivement, elle bougea ses poignets afin de me repousser , mais bien entendu, les menottes l’empêchèrent d’esquisser le moindre mouvement défensif. Elle ne s’attendait pas à ce je lèche ainsi son corps… C’était tellement intense, obscène, excitant…
« J’adore le goût de tes seins maman Mirenda »
Une vague de désir brûlant se propagea alors dans tout son corps… Les yeux écarquillés, elle me regarda plonger mon index dans sa chatte frémissante, et je masse les lèvres de sa vulve… Elle pencha la tête en arrière et gémit doucement, et puis elle se reprit. Elle se mordit donc la lèvre inférieure, tandis que je continuais à recouvrir son intimité de ma langue
Je pris une seconde pour respirer .
Et je me penchai à nouveau entre ses cuisses, et Mirenda dû mordre sa lèvre jusqu’au sang pour ne pas crier lorsqu’elle sentit mes lèvres douces se poser sur son sexe.
Les baisers que je déposais sur sa vulve étaient aussi légers et doux que des papillons… Le corps de Mirenda se raidit, et elle tira sur ses menottes comme une folle. Mais elle ne pouvait pas bouger, ni s’enfuir. Elle s'était offerte pour moi sur un plateau, et je pouvais faire d’elle tout ce que je voulait.
Mirenda sentit alors ma grosse langue humide se poser sur sa chatte, et je commençai à la promener sur son intimité.
C’était tellement fort… Tellement puissant…
Je goûtait au moindre recoin de sa petite chatte, me régalant de son pubis,de ses petites lèvres, de son clitoris comme d’un dessert délicieux. Cette
fois, Mirenda ne pu s’empêcher de gémir… Elle ressentait une sensation très très agréable.
Je crois qu’elle aime ce que tu fais.
« Tu es tellement délicieuse Mirenda. Tellement meilleure que toutes les femmes que j'aie léchée »
J'écartai les cuisses de Mirenda de mes mains puissantes afin de les écarter encore plus, puis je plongeai à nouveau mon visage dans l’intimité de la mère de mon ami, léchant sa chatte avec voracité. Ma langue glissa d’abord de bas en haut sur toute la surface de sa vulve, puis elle se posa soudain sur son clitoris. Je titillai alors son tendre bourgeon, et les gémissements de Miranda s’intensifièrent.
_ Je… Je… bégaya-t-elle.
À ma grande surprise, je sentis qu’elle était au bord de l’orgasme.
J'enfonçai mon index dans la chatte de Mirenda , et je commençai à la doigter
Tout en continuant à lécher sa chatte . La vulve de Mirenda fut secouée par des spasmes de plaisir torrides, et elle tira sur ses menottes tandis qu’un orgasme phénoménal secouait tout son corps. Elle était vulnérable à ce moment précis.
Une fois qu’elle eut fini de jouir, je me redressai en me léchant les lèvres.
« J’ai adoré ta chatte maman Miranda . Merci de m’avoir permis de la lécher»
Je posai alors ma main chaude sur la joue de Miranda et la caressa. Puis ma main descendit, massant son cou… le haut de sa poitrine… ses seins… ses tétons durcis par le désir… son ventre… sa chatte… En sentant ma main sur son sexe, Miranda redressa instinctivement son bassin vers moi , comme pour me demander d’enfoncer
ma bitte dans sa sa jolie chatte rasée .
« Qu’est-ce qu’il y a, Mirenda ? »
« Je… J’aime ce que tu fais Espoir … Continue, s’il te plaît… Baise-moi sauvagement, défonce moi la chatte, y'a longtemps que je suis en manque »
CHAPITRE 6LE POINT DE VUE D'ESPOIRLe dîner était silencieux, presque trop. Chacun plongé dans son assiette. Moi, j’avais encore en tête ce qui s’était passé plus tôt dans la journée, et je voyais bien que Miranda, elle aussi, avait du mal à se concentrer. Elle piquait son repas sans lever la tête, gênée.Loïc, lui, finit par briser le silence.— Alors frérot, t’as pas trop tourné en rond aujourd’hui ?Je levai la tête, pris de court, puis répondis le plus naturellement possible :— Non, tranquille. Je jouais sur mon téléphone, j’ai même pas vu le temps passer.Il hocha la tête, satisfait, avant de me renvoyer la balle :— Et toi, ta journée de cours ?— Pas mal, répondit-il en haussant les épaules, puis il se tourna vers sa mère :— Tu vois maman, je te l’avais dit. Espoir, c’est un gentil garçon. Il te causera pas de problème.Miranda releva à peine les yeux, ses joues légèrement rosées. Elle se contenta d’un simple :— Oui… je vois ça.Je faillis sourire. Si seulement Loïc savait…
CHAPITRE 5LE POINT DE VUE D'ESPOIR— Je… j’ai envie de toi, dit-elle enfin, sa voix tremblante, fragile mais sincère.Je souris, incapable de dire un mot. Je la pris doucement dans mes bras, et nous restâmes ainsi, juste à nous tenir, à nous découvrir intérieurement, à respirer ensemble. Chaque frôlement de ses mains sur moi me faisait frissonner, et chaque sourire qu’elle m’offrait illuminait mon cœur.C’était bien plus qu’un simple désir physique. C’était une rencontre d’âmes, une intimité silencieuse qui parlait plus fort que n’importe quel mot. Ses yeux ne me quittaient plus. J’y voyais un mélange de peur et de désir, une bataille silencieuse entre retenue et abandon. Mon cœur battait si fort que je craignais qu’elle l’entende.Je glissai ma main le long de son dos, lentement, comme pour tracer la carte de son corps en mémoire. Elle se serra un peu plus contre moi, et un léger gémissement lui échappa, presque un souffle, mais qui m’enflamma de l’intérieur.— Espoir… tu me rends
CHAPITRE 4LE POINT DE VUE DE D'ESPOIRLe baiser, au début hésitant, devint plus profond. Miranda se laissait aller, ses mains s’étaient accrochées à mes épaules comme pour trouver un point d’ancrage, et moi je me perdais complètement dans la chaleur de sa bouche. Chaque seconde volée avait le goût du danger, mais aussi d’un plaisir que je n’avais jamais connu.Je murmurai, mes lèvres encore collées aux siennes :— Laisse-moi te conduire sur le lit.Elle me fixa une seconde, ses yeux pleins de cette bataille intérieure. Et puis elle souffla, presque imperceptible :— D’accord.Mon cœur fit un bond. Sans réfléchir, je glissai mes bras sous ses cuisses et dans son dos. Elle était légère dans mes bras, son parfum enivrant, sa poitrine pressée contre mon torse. Je sentais sa respiration rapide, presque haletante.Je la déposai doucement sur le lit, comme si elle était faite de verre. Ses cheveux s’étalèrent en cascade sur l’oreiller, et ses lèvres restaient entrouvertes, m’appelant encore
CHAPITRE 3LE POINT DE VUE DE MIRANDALe matin, mes yeux se sont ouverts bien plus tôt que prévu. Impossible de rester au lit, j’avais la tête encore lourde de tout ce que j’avais ressenti hier soir. Alors, presque machinalement, je me suis levée et je suis descendue à la cuisine.Je n’avais pas vraiment faim, juste envie de quelque chose de rapide pour remplir mon estomac avant d’aller prendre un bain. J’ai ouvert le frigo, attrapé un jus d’orange, et me suis servie un verre. Le silence de la maison me paraissait inhabituel.— Loïc ? ai-je appelé, espérant entendre ses pas.Rien. Je l’ai cherché du regard, mais le salon était vide. Pas de trace de lui. Je me suis dit qu’il devait déjà être parti pour ses cours. Toujours aussi studieux, mon fils… Un sourire de fierté m’a effleuré, même si une pointe de solitude s’est installée en moi.J’ai alors pensé à Espoir. Peut-être était-il encore dans sa chambre ? Mais comme aucun bruit ne venait de l’étage, j’ai supposé qu’il avait dû accompag
CHAPITRE 2LE POINT DE VUE DE MIRANDAJe suis encore étendue au sol, les muscles relâchés, quand un bruit sec résonne dans la maison. Toc, toc.Je sursaute, le souffle coupé, le cœur battant comme une coupable prise sur le fait.— Bonsoir maman, je viens de rentrer. S’il te plaît, viens voir.C’est la voix de Loïc. Mon fils. Mon unique fils.La honte me traverse aussitôt comme une lame glacée. Mon corps, encore tiède de ce que je viens de vivre, se crispe.Je réponds d’une voix que j’essaie de rendre naturelle :— J’arrive, mon chéri. Donne-moi une minute.Avec peine, je me redresse. Mes jambes tremblent encore, ma poitrine se soulève trop vite. Je prends une serviette et essuie les traces de mon abandon, effaçant tout indice, tout secret. Mes cheveux, encore humides et en désordre, me trahissent, alors je passe mes doigts dedans, pressée de leur donner un semblant de forme.Je fouille dans l’armoire et attrape le premier pyjama venu. Trop court, trop ajusté, trop… sexy. Tout, dans ma
CHAPITRE 1LE POINT DE VUE DE MIRANDAJe sors du bain et je reste un long moment immobile devant ce grand miroir dressé comme un juge silencieux dans ma chambre. L’eau a laissé sur ma peau des perles qui glissent lentement le long de mes courbes, comme pour rappeler la sensualité dont je suis prisonnière. Je me regarde, nue, entière. Mon reflet me renvoie l’image d’une femme encore jeune, pulpeuse, pleine de vie, mais vidée à l’intérieur. Mon corps crie, mon corps réclame, et je le sais trop bien : il réclame une bite.Mes doigts effleurent mes contours, mes hanches, mes seins lourds, mes fesses généreuses qui forment cette ligne en "S" que mon mari adorait caresser. Lui. Mon chef de guerre. Mon roc. Mon amant insatiable. Il est mort… et cela fera bientôt deux mois. Deux mois seulement, et pourtant chaque nuit sans lui est une éternité. Quand il était encore de ce monde, il m’avait élevée au rang de reine, pas seulement par son amour, mais par son corps, par cette fougue qu’il déchaî