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Chapitre 4

last update Huling Na-update: 2025-09-15 13:46:43

CHAPITRE 4

LE POINT DE VUE DE D'ESPOIR

Le baiser, au début hésitant, devint plus profond. Miranda se laissait aller, ses mains s’étaient accrochées à mes épaules comme pour trouver un point d’ancrage, et moi je me perdais complètement dans la chaleur de sa bouche. Chaque seconde volée avait le goût du danger, mais aussi d’un plaisir que je n’avais jamais connu.

Je murmurai, mes lèvres encore collées aux siennes :

— Laisse-moi te conduire sur le lit.

Elle me fixa une seconde, ses yeux pleins de cette bataille intérieure. Et puis elle souffla, presque imperceptible :

— D’accord.

Mon cœur fit un bond. Sans réfléchir, je glissai mes bras sous ses cuisses et dans son dos. Elle était légère dans mes bras, son parfum enivrant, sa poitrine pressée contre mon torse. Je sentais sa respiration rapide, presque haletante.

Je la déposai doucement sur le lit, comme si elle était faite de verre. Ses cheveux s’étalèrent en cascade sur l’oreiller, et ses lèvres restaient entrouvertes, m’appelant encore. Je la contemplai une seconde, incapable de croire que j’étais vraiment là, devant elle.

Je me penchai au-dessus d’elle, mes mains tremblaient à peine sous l’excitation. Nos regards s’accrochaient, lourds de non-dits et de désir retenu trop longtemps. Elle mordilla sa lèvre inférieure, et je crus mourir sur place.

— Tu es sûre ? soufflai-je malgré moi, comme une dernière barrière avant de plonger.

Elle ferma les yeux un instant, inspira profondément, puis les rouvrit.

— Je n’ai jamais été aussi sûre…

Mon corps entier vibrait à ses mots.

Je restai au-dessus d’elle, incapable de détourner les yeux. Miranda, étendue sur le lit, me fixait comme si elle cherchait encore une échappatoire… mais ses doigts, eux, s’étaient accrochés doucement à mon bras, comme si elle ne voulait plus que je m’éloigne.

Je pris une grande inspiration. Ma main tremblait légèrement quand je la posai sur le tissu fin de son haut. J’effleurai à peine la matière, mais je sentis déjà la chaleur de sa peau traverser la barrière fragile. Son souffle se fit plus lourd, plus saccadé.

— Espoir… murmura-t-elle, d’une voix où vibraient autant l’hésitation que le désir.

Je relevai les yeux vers elle. Ses lèvres entrouvertes semblaient me supplier de continuer, ses yeux brillaient d’une lueur trouble, presque coupable.

— Si tu veux que j’arrête… dis-le moi maintenant, soufflai-je.

Un silence suspendu. Puis, au lieu de parler, elle ferma les yeux et inclina légèrement la tête en arrière, comme pour offrir son cou, comme pour m’inviter à franchir cette limite invisible.

Mes doigts glissèrent alors le long de son bras, de son épaule, puis revinrent lentement vers son ventre, par-dessus le tissu. Je sentis ses muscles se contracter sous la caresse. Elle inspira profondément, et cette respiration saccadée résonna dans ma poitrine.

Je la regardais, fasciné. Chaque geste que je faisais semblait la troubler davantage, mais elle ne me repoussait pas. Elle me laissait approcher, comme si une partie d’elle avait attendu ce moment depuis longtemps.

Nos regards se croisèrent de nouveau, et c’était comme une décharge électrique. J’y voyais la peur, oui, mais aussi cette faim, ce besoin d’être désirée, d’être touchée. Je ne pus m’empêcher de sourire faiblement.

— Tu es… magnifique, lâchai-je presque malgré moi.

Elle rouvrit les yeux, ses joues rougies, et je sentis ses doigts serrer un peu plus fort ma manche, comme une réponse silencieuse.

Mon cœur cognait si fort que j’avais peur qu’elle l’entende.

Je retire son pyjama et je vois le string rouge qui couvrait son intimité. 

 « écart des cuisses Miranda » 

Miranda obéit doucement. Je me penche entre ses cuisses afin d’observer sa jolie petite chatte totalement rasée. Je vis alors une légère goutte de rosée perler sur sa vulve déjà humide… Tu mouilles déjà Miranda 

_Je… Oui… Peut-être… murmura-t-elle, la voix presque coupée 

Je humai alors l’intimité de Mirenda comme s’il s'agissait d’une friandise exquise.

— Tu sens délicieusement bon, commenai-je  

Mirenda plaqua instinctivement ses deux mains sur sa bouche. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle était en train d’écarter ces cuisses pour moi. 

 « Place moi des menottes » murmura-t-elle 

 « Des menottes, j'en ai pas » dis-je 

 « Moi oui ! » 

Elle ouvre un tiroir et me remet des menottes, je les regarde fasciner. 

J'attache les mains de Mirenda aux barreaux du lit, au-dessus de sa tête. Elle était maintenant ma prisonnière, à présent. 

 « Maintenant, je vais goûter à tes beaux seins » dis-je, Mirenda n’eut pas le temps de répondre. 

J'avais fondu sur elle comme un aigle sur sa proie, déposant des baisers torrides sur la chair moelleuse de ses seins, ses tétons, son ventre frémissant. 

Puis je remontai vers ses seins et les saisissant dans mes grandes mains chaudes, et je les léchai alors goulument, me régalant de sa chair de femme mûre comme un fauve affamé.

Mirenda ne put s’empêcher de gémir en sentant ma langue chaude et humide sur son corps innocent.

Instinctivement, elle bougea ses poignets afin de me repousser , mais bien entendu, les menottes l’empêchèrent d’esquisser le moindre mouvement défensif. Elle ne s’attendait pas à ce je lèche ainsi son corps… C’était tellement intense, obscène, excitant…

 « J’adore le goût de tes seins maman Mirenda »  

Une vague de désir brûlant se propagea alors dans tout son corps… Les yeux écarquillés, elle me regarda plonger mon index dans sa chatte frémissante, et je masse les lèvres de sa vulve… Elle pencha la tête en arrière et gémit doucement, et puis elle se reprit. Elle se mordit donc la lèvre inférieure, tandis que je continuais à recouvrir son intimité de ma langue 

Je pris une seconde pour respirer .

Et je me penchai à nouveau entre ses cuisses, et Mirenda dû mordre sa lèvre jusqu’au sang pour ne pas crier lorsqu’elle sentit mes lèvres douces se poser sur son sexe. 

Les baisers que je déposais sur sa vulve étaient aussi légers et doux que des papillons… Le corps de Mirenda se raidit, et elle tira sur ses menottes comme une folle. Mais elle ne pouvait pas bouger, ni s’enfuir. Elle s'était offerte pour moi sur un plateau, et je pouvais faire d’elle tout ce que je voulait. 

Mirenda sentit alors ma grosse langue humide se poser sur sa chatte, et je commençai à la promener sur son intimité.

C’était tellement fort… Tellement puissant…

Je goûtait au moindre recoin de sa petite chatte, me régalant de son pubis,de ses petites lèvres, de son clitoris comme d’un dessert délicieux. Cette

fois, Mirenda ne pu s’empêcher de gémir… Elle ressentait une sensation très très agréable. 

Je crois qu’elle aime ce que tu fais. 

 « Tu es tellement délicieuse Mirenda. Tellement meilleure que toutes les femmes que j'aie léchée » 

J'écartai les cuisses de Mirenda de mes mains puissantes afin de les écarter encore plus, puis je plongeai à nouveau mon visage dans l’intimité de la mère de mon ami, léchant sa chatte avec voracité. Ma langue glissa d’abord de bas en haut sur toute la surface de sa vulve, puis elle se posa soudain sur son clitoris. Je titillai alors son tendre bourgeon, et les gémissements de Miranda s’intensifièrent.

_ Je… Je… bégaya-t-elle.

À ma grande surprise, je sentis qu’elle était au bord de l’orgasme. 

 J'enfonçai mon index dans la chatte de Mirenda , et je commençai à la doigter

Tout en continuant à lécher sa chatte . La vulve de Mirenda fut secouée par des spasmes de plaisir torrides, et elle tira sur ses menottes tandis qu’un orgasme phénoménal secouait tout son corps. Elle était vulnérable à ce moment précis. 

Une fois qu’elle eut fini de jouir, je me redressai en me léchant les lèvres.

 « J’ai adoré ta chatte maman Miranda . Merci de m’avoir permis de la lécher»

Je posai alors ma main chaude sur la joue de Miranda et la caressa. Puis ma main descendit, massant son cou… le haut de sa poitrine… ses seins… ses tétons durcis par le désir… son ventre… sa chatte… En sentant ma main sur son sexe, Miranda redressa instinctivement son bassin vers moi , comme pour me demander d’enfoncer

ma bitte dans sa sa jolie chatte rasée .

 « Qu’est-ce qu’il y a, Mirenda ? » 

 « Je… J’aime ce que tu fais Espoir … Continue, s’il te plaît… Baise-moi sauvagement, défonce moi la chatte, y'a longtemps que je suis en manque »

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Gaoussou Traoré
Tres sensuelle
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