PDV d’Allison :
- Dans la chambre trente-trois et vite ! Le coeur du patient s'est affaibli ! Cria une infirmière.
Je me lève subitement de ma chaise et regarde tous les médecins courir vers la chambre de mon père, je me précipite vers elle j'entre à mon tour mais une infirmière se met devant moi m'obligeant à reculer.
- C'est mon père ! Je veux savoir ce qu'il lui arrive ! Lâchez-moi !
- Vous ne pouvez pas entrer, s'il vous plaît sortez !
La machine qui émettait sans arrêt le même bruit depuis presque neuf mois, fait un autre bruit. Un bruit différent des autres. Un bruit m'alertant que c'est la fin.
Qu'il ne sera plus parmi nous.
Je me réveille en sursaut et regarde tout autour de moi, je ferme quelque seconde les yeux en voyant que j'étais toujours dans cette chambre sombre. Je baisse la tête ver
PDV d’Allison : Il retire ses lèvres et me regarde dans les yeux toujours avec son sourire sur les lèvres. - Je t'ai fait taire mon ange. Ahuri, je ne comprends pas tout de suite ce qu'il vient de se passer, c'est la deuxième fois qu'il m'embrasse et je me suis une nouvelle fois laissé faire. J'ai tellement chaud qu’il me faut de l'aire et rapidement. Il le remarque et approche sa tête de mon oreille. Il me susurre : - Pourquoi tu ne parles pas douce Allison ? Toi qui pourtant aime bien le faire. J'avale péniblement ma salive, il mord mon lobe ce qui m'oblige à fermer les yeux. Je serre les poings et d'un seul coup je me retrouve dans ses bras, il oblige mes jambes à s'enroulaient autour de son bassin et me plaque au mur. - Répond moi. M'ordonna t'il. Je reste encore silencieuse. Il enfouit brutalement son visage dans mon cou suçant violemment ma peau. Je mo
Soixante-douze heures après : - Maman ouvre moi je t'en supplie ! Criais-je en frappant violemment ma porte d'entrée. Il faisait nuit noire et j'étais gelée, elle devait dormir vu l'heure mais je continue à persister et frappe à la porte avec toute mes forces. - Maman c'est moi Allison ! Ouvre-moi s'il te plaît maman ! Quelque seconde plus tard, la porte s'ouvre brusquement sur ma mère. J'éclate de sanglot et me jette dans ses bras. Elle fond en larme et me serre comme ci sa vie en dépendait. - Ma fille ! Tu es de retour ! Ma chérie, ma princesse ! Tu es de retour ! J'hoche positivement de la tête en nichant ma tête dans son cou. - Allison ! J'ai eu tellement peur, où étais-tu ? Tu n'as rien ? Je sors de son étreinte et efface mes larmes. - N-Non je ne n'ai rien maman, je n'ai rien... Elle embrasse tout mon visage et me
Je tourne en rond dans mon lit et pourtant, je n'arrive toujours pas à fermer les yeux. Je souffle et me redresse puis je me lève complètement en enlevant la couverture de sur mon corps. Je souffle encore et me met devant ma fenêtre, il fait nuit noire et il y'a un brouillard m'empêchant de voir correctement la route. Je grimace quand mon ventre se comprime, non pas encore cette intuition ! La même que celle le soir où Jessica et moi avions été kidnappé. Je me tiens à une commande et essaye de reprendre ma respiration. Lui ? C'est lui qui me fait ça ? Il n'est pas mort ? Je ferme les yeux et inspire puis expire. Inspire, expire. Inspire, expire. Inspire, expire. Inspire, expire. Inspire, expire. Calme toi Allison. Tu es en sécurité ici. Je me relève quelque minute après et prend une veste bien chaude, je dois sortir prendre l'aire, j
Deux jours après. Frappant à main nue contre ce punching-ball de toute mes forces, je ne sens même pas le sang qui commence a coulé sur mes poings, la haine m'emporte et je n'arrive pas à me calmer. Flashback dix-huit ans avant : - Tu dois devenir un homme ! Un vrai ! - Laisse-moi sortir de là... - Tu vas rester ici le temps qu'il te faudra pour que tu deviennes un vrai homme, un homme digne de moi. - Non attend... - Ça ne fait même pas un mois que tu es ici, tu n'es qu'un faible ! Espèce de faible ! Tu ne mérites même pas de porter mon nom ! - Attend... j'ai faim je t'en supplie... Mais il s'en alla, fermant cette immense porte en acier violemment, me laissant dans le noir et le froid. Encore une fois. - Patron ? Je m'arrête net et attrape le sac dans
PDV d’Allison : Il recula et me songea. Mais il ne savait pas. Que je disais la vérité. Jamais je n'aurais du coucher avec mon kidnappeur. Je sors un rire nerveux. Un kidnappeur. Le mien. Il me dévisagea cette fois-ci et un rictus diabolique apparaît sur ses lèvres. A quoi pense-t-il ? Me tuer ? - Tu regrettes, tu n'aurais jamais dû. Sa voix froide et implacable me fait froid dans le dos. Je serre la serviette entre mes mains. - Tu regrettes. Répète t'il. - Tu veux faire l'homme surpris avec moi, tu t'étonnes mais tu oublies, très vite que ma meilleure amie est morte ! Elle est morte à cause de tes hommes, oui c'est un de tes hommes qui la tué pas toi, mais c'est toi le patron non ? C'est toi qui avais dicté les règles, non ? Dis-je froidement. Je marque une pause en le dévisageant à mon tour. Je m'approche de lui et relève la tête pour le faire face.
PDV d’Allison : Lentement et douloureusement, j'ouvre les yeux. Je grimace en tenant mes tempes entre mes doigts, je frissonne en regardant tout autour de moi. Je suis encore dans cette cellule... J'ai froid et terriblement mal, j'ai faim et affreusement soif. Je me lève faiblement en me tenant contre les murs. Je m'approche de la porte en acier et frappe celle-ci avec le peu de force qu'il me restait. - La porte... OUVREZ LA PORTE ! Je fonds en larme et me laisse glisser contre cette fichue porte. Maman... Papa... Laura... Jessica... Ils me manquent... Ils sont tous morts. A cause de moi ! Je le sais c'est à cause de moi ! Tout est de ma faute. Pourquoi ? Pourquoi moi ? Pourquoi eux ? Ils ne méritaient pas cette vie-là ! Ils ne le méritaient pas ! Ils sont tous mort
PDV d’Allison : Je me réveille en grognant en ayant la bouche sèche, je soupire et enlève le drap de sur mon corps. Je regarde à coter de moi et constate que le lit est vide. Il n'est pas là. Je prends à contre coeur une chemise noire qu'il l'appartenait mais, je préfère mettre ça plutôt qu’une de ces nuisettes. Je me maudis quand je tire sur le col de la chemise pour humer son parfum. Il sentait atrocement bon. J'ouvre la porte de la chambre et souffle rassurer qu'elle ne fût pas fermée à clé. Sur la pointe des pieds je descends les marches en faisant le tour de son manoir. C'est la première fois que je la visite comme ça. Je le trouvais magnifique. Il était vraiment grand. Mais c'était très sombre. Une fois arrivé dans la cuisine je cherche partout un verre, au bout de quelque minute j'en trouve enfin un et allume l'eau du robinet. Une fois mon verre remplie je le bois d'un c
Ça fait quatre moi aujourd'hui que je suis ici. Il y'a quelques jours Aaron était parti à Moscou, sans doute pour tuer encore. Olivia est revenue après le départ de Aaron, c'est lui qui l'avait demandé pour s'occuper de moi. Elle entre dans la chambre me faisant grogner. Elle tire sur les rideaux pour laisser le soleil m'aveuglé les yeux. Je soupire et met la couverture sur mon visage. - Aller levez-vous mademoiselle Anderson ! Il est assez tard maintenant. Je grogne et me redresse en étirant mes membres. - Monsieur Carrington ne va pas tarder à arriver. Je ne dis rien et soupire encore une fois. - Je vais vous faire couler un bain. Elle s'en va dans la salle de bain me laissant seule. Elle ressort quelque seconde après. - J'ai oublié d'éteindre le four ! Quelle tête en l'air ! Je vous laisse éteindre l'eau. Elle s'en va me laissant cette fois-ci une bo