Miguel arrive devant la grande maison familiale de la famille Lisandro. Après avoir garé sa voiture, il s’avance vers l’entrée . Il tombe sur une dame, habillée d’un tailleur des plus coûteux, en talons hauts et un sac Gucci en main. Elle est sur le point de partir
Miguel dans sa tête : Il y a pas de doute, c’est la maîtresse de maison. C’est clair que ce ne sont pas des gens dans le besoin Elisabeth : Vous êtes ? Elle a tourné la tête pour regarder Miguel en disant cela sur un ton ferme. Miguel : Bonjour madame. Miguel Araujo. Je suis l’avocat commis d'office qui est chargé de défendre votre beau-fils Miguel tent la main à la femme, elle l’ignore complètement. Elle le regarde de la tête au pied, d’un air d’edin Miguel dans sa tête : Ok. Je vois déjà avec qui j’ai affaires Elisabeth : Alors comme ça, vous êtes l’avocat qui va défendre ce bon à rien ? Que venez-vous faire chez moi ? Miguel décide de rester professionnel et de ne pas faire attention au ton avec laquelle la femme s’adresse à lui Miguel : J’aimerais voir l’endroit exact où à eu lieu l’agression. J’ai constaté qu’il y avait pas mal de contradictions dans le récit que votre famille et mon client ont raconté aux policiers. Je voudrais me faire une idée réelle de ce qu'il s’est vraiment passé alors… La femme énervée, ne lui laisse même pas terminer sa phrase. Elisabeth : Nous avons déjà dit ce que nous avions à dire aux enquêteurs, monsieur Araujo. Vous n’avez aucun droit de venir vous présenter chez moi. Ce bon à rien à voulu tuer mon fils et il va payer pour son crime. Que voulez-vous savoir de plus ? Miguel ne compte pas abandonner facilement. Il veut absolument rentrer dans cette maison, surtout pour voir de ses propres yeux les conditions dans lesquelles vivait son client. Alors, il change de tactique Miguel dans sa tête : Avec ce genre de personnes, c’est la flatterie qui fonctionne. Miguel : Vous avez totalement raison, madame. Je me suis bien rendu compte que mon client à quelques petits problèmes. C’est pour cette raison que j’aurais préféré me faire une idée moi-même et ne pas me fier entièrement sur ces dires. Vous comprenez ? La tactique de Miguel semble fonctionner. La femme devient plus réceptive, plus calme. Elisabeth : Très bien. Veuillez me suivre Elle accepte de laisser Miguel rentrer. Miguel fait un Yes avec la main dès qu’elle ai eu le dos tourné Elisabeth : C’est Ici que tout c’est passé Ils sont arrivés dans la chambre qu’occupait Mario. Miguel est sur le choc en voyant l'état de cette chambre, qui contraste fortement avec le luxe de cette maison Miguel : Donc, il dormait ici ? Miguel essaie de ne montrer aucune expression, même si au fond, il n’est pas du tout content Elisabeth : C’est le seul endroit dans la maison qui était adapté à son handicap. Nous avons fait ce que nous pouvons pour lui et voilà comment il nous remercier Miguel dans sa tête : Je vois bien que vous vous êtes beaucoup donner du mal pour lui, en effet Miguel se déplace dans la chambre. Il se rend compte qu’elle est réellement modeste pour ne pas dire en mauvais état. Sans compter qu’elle est assez minuscule. À peine si le lit peut prendre une personne, un petit bureau simple et une petite chaise dans un coin. Aucun placard, il remarque que les vêtements du garçon sont encore dans des mallettes. Miguel dans sa tête : Je commence à comprendre pourquoi il à dit que sa vie à été un enfer ici. Je n’ai même pas besoin d’en savoir plus pour me rendre compte que ces gens ont tout fait pour se débarrasser de lui La femme continue à dire des méchancetés et calomnies sur Mario à mesure que Miguel observe et prend des notes dans un petit calpin qu’il a dans les mains. Son mari, le père de Mario apparaît, ainsi que le fils de la femme. Celui qui prétend avoir été agressé par Mario Pedro : Vous avez déjà vu mon fils ? Comment se porte-t-il ? Pedro est un homme qui se laisse complètement manipuler par sa femme. Il préfère la croire plutôt que défendre son fils, alors qu'il s’est qu’il est innocent Miguel : Vous devriez aller lui rendre visite si vous voulez le savoir Miguel regarde de la tête au pied Eric, le fils de Elisabeth en disant cela Eric : Vous perdez votre temps à chercher de quoi prouver l’innocence de ce Bâtard. Sa place est en prison pour ce qu’il m’a fait Miguel préfère l’ignorerIls vont rester un bon moment dans la cuisine à discuter, jusqu'à ce que le gâteau soit cuit et qu’ils le goûtent tous. Mario est monté prendre une douche dans sa chambre, avant d’aller attendre Miguel qui n’allait pas tarder à rentrer, dans la sienne Miguel ne tarde pas à rentrer. Il est tout content de trouver le garçon allongé sur son lit Miguel dans sa tête : Qu’est-ce qu'il est mignon…L’homme est assis au bord de lit et caresse le visage du garçon tendrement. Mario s’était assoupie, il se réveille dès qu'il avait senti le contact de la main de l’homme sur sa peau Miguel : Miguel, tu es là !.Mario : Oui, je suis là, mon ange Miguel se baisse pour lui faire un bisou sur la bouche Miguel : Si tu veux, tu peux continuer à te reposer. Je vais prendre une douche avant qu’on descende retrouver les autres pour manger Mario : Non, je n’ai plus envie de dormir Mario se tire un peu en disant cela, tout en se redressant pour s’asseoir. Il passe tout de suite ses deux bras autour du
Miguel : Avec plaisir, Léo. Tu devras retourner en prison pour signer ton acte de libération. Gavi ira t'attendra avec ta mère devant la prison et dès lundi, tu commences à travailler chez moi Léo : Quoi ? Vous…vous…me donner même un travail ?Léo va de surprise en surprise, sa réaction fait rire tout le monde Mario : La sœur de Miguel à besoin d'une personne pour l’aider dans son jardin. Tu pourras lui donner un coup de main et ..Léo : Bien sûr que je pourrais. Non vraiment, merci beaucoup, je ne sais vraiment pas quoi dire…jeGavi : Tu n'as rien à dire, mon gars. Juste fais tout pour rester dans le droit chemin et ne te mets plus dans les embrouilles Léo : Ah ça, je vous en fait la promesse Les gardiens ne tardent pas à venir chercher Léo pour le ramener à la prison pour signer son acte de libération et récupérer les affaires qu’il avait là-bas.Sa mère arrive juste avant son départ, elle était déjà très contente de le voir et elle remercie les avocats encore et encore d’avoir
Dans la salle d’audience. Le président demande à tout le monde de se mettre debout pour le retour du juge. La cour s'était retirée après la plaidoirie de Miguel pour essayer de les convaincre que ce sont les circonstances de la vie qui ont poussé le jeune homme à commettre ce genre d’erreur et qu'au fond, il n’était qu’une victime de plus du système Mario : Ah, c’est toujours aussi stressant d’être ici Gavi : Tu as raison, Mario. Un tribunal, c’est stressant, même si on n’est pas coupable. C’est une question d’habitude je croisPendant ce temps, devant. Léo aussi est stressé.Léo : Vous avez vraiment bien travaillé sur mon dossier, maître Araujo. Vous avez été convaincant, en tout cas, pour moi. Reste à voir si eux aussi, on été convaincu Miguel : Ne t'inquiètes pas, Léo. Il faut avoir confiance Miguel est debout près de Léo, toujours aussi sûr de lui, dans une posture droite. Le juge rentre dans la pièce. Tout le monde se rassoit, sauf Miguel et Léo qui restent débout pour écoute
Le lendemain. Ils sont déjà près pour partir au tribunal. Mais avant, ils prennent le petit déjeuner en famille, en compagnie de Diana et sa fille Diana : Je n’ai même pas besoin de demander si vous avez bien dormi. Ça ce voit à des kilomètres que c’est le cas La jeune femme dit cela sur un ton amusé, ils sont déjà assis autour de la table et ont commencé à prendre leur petit dej Son commentaire fait sourire Miguel et Mario. Miguel : Tu as raison, nous avons très bien dormi. Et toi, ma princesse, as-tu bien dormi ?Miguel s’adresse à Dana, sa nièce qui semble très concentré dans son bol de céréales Dana : Oui, tonton. J’ai trop bien dormi et j’ai hâte de retrouver mes copines tout à l'heure au centre Ce matin, Diana accompagne sa fille dans un centre d’activités sportives et éducatives où celle-ci doit retrouver ses copines de classe pour passer la matinée. C’est la dernière semaine des vacances, Diana tient à ce qu’elle s’amuse comme les enfants de son âge, même si cela l’oblig
L’homme dit cela tout en retournant le garçon pour que celui-ci lui donne face et en soulevant son menton avec sa main. Mario répond avec un sourire timide en disant Mario : Tu es là personne en qui j'ai le plus confiance au monde, Miguel Le coeur de l’homme s’est mis à battre à mille à l'heure quand le garçon lui dit cela Miguel dans sa tête : J’ai tellement de chance de l’avoir dans ma vie Mario l’embrasse avant même qu'il puisse dire quoique ce soit, Miguel se laisse aller volontier dans les lèvres de son petit ange Mario : Je t’aime tellement, Miguel…Mario recule un peu pour dire cela avec sa petite voix douce. Miguel caresse son visage avant de lui répondre aussi Miguel : Je t’aime encore plus, mon ange L’homme commence à embrasser le garçon après avoir dit cela, un baisé beaucoup plus plus intense, avec plus de conviction Mario se retourne un peu plus et se redresse aussi pour bien se positionner sur lui et commence à laisser sa main se balader sur le corps de Miguel, à
Mario : C’était un très beau film. J’ai beaucoup aimé Mario et Miguel sont sur le lit, l’un dans les bras de l'autre. Ils viennent de regarder un film en audiodescription à la télévision qui est dans la chambre de Miguel. Les amoureux ont décidé de dormir ensemble tout le temps maintenant, même si Mario garde toujours ces affaires dans l’autre chambre, car c'est plus pratique pour sa condition Miguel : Je suis content que cela t'es plus, mon ange. Moi aussi, j'ai beaucoup aimé Les deux sont en sous-vêtements, pour aller dormir. Demain, c’est le jour de l’audience pour Léo. Miguel à réussi à en en obtenir un rapidement, après avoir eu le feu vert pour devenir l’avocat du jeune homme Mario : T’es sur que cela ne te dérangerait pas si je t’accompagne à l’audience ? Je ne veux pas te…Mario demande cela sur un ton un peu hésitant. Le garçon veut aller soutenir son ami demain au tribunal, alors, il à demander à Miguel s’il pouvait venir et l’homme a accepté Miguel : Bien-sûr que non,