Tous les chapitres de : Chapitre 711 - Chapitre 720

DRACOSes crocs se sont allongés, mordillant mes lèvres avec urgence.Ses ongles ont griffé mon cou, cherchant l’endroit où s’enfoncer pour ouvrir la plaie.J’ai été prêt à laisser cela arriver, bon sang, je n’ai pas pu laisser ces souvenirs continuer à me contrôler.J’ai tellement voulu la nourrir. Je lui aurais donné tout ce dont elle avait besoin. Seulement moi…« Fais-le… fais-le, Vicky… » J’ai marqué une pause et saisi l’arrière de son cou, pressant nos fronts l’un contre l’autre.« Prends dans ma veine… »« Non, non, je n’en ai pas besoin », a-t-elle commencé à secouer la tête, tendue, essayant de cacher sa soif.« Fais-le, bon sang ! Tu es à moi, ma femelle, personne d’autre. Je veux ça… je veux te donner ma vie… prends-la… »Nous nous sommes fixés pendant ce qui a semblé une éternité, toujours unis, mon membre enfoui profondément en elle.J’ai incliné mon cou sur le côté, déglutissant difficilement, sans jamais rompre le contact visuel — me rappelant que ces magnifique

VICTORIALes battements dans ma poitrine ont failli me trahir.Devais-je lui dire la vérité ? Je n’ai pas su… J’ai encore senti que je ne pouvais pas lui faire entièrement confiance.Et s’il m’enfermait dans la tour de sa forteresse pour m’empêcher de m’échapper ?« Je… eh bien… »« Attends… chut. » Avant que je ne gâche tout, il s’est tendu et a pressé son doigt sur mes lèvres.Son regard froncé s’est tourné vers les rideaux séparant la chambre de la pièce extérieure.« Quelque chose s’est passé. Mon Bêta me cherche, et il sait sacrément bien qu’il ne doit pas m’interrompre », son expression sévère en disait long — un problème.« Vas-y, vas-y, Draco, ça va », ai-je commencé à glisser hors de lui, mais il m’a ramenée vers lui et m’a embrassée.Il semblait douloureusement difficile pour lui de partir.« Bon sang, maintenant, j'ai encore moins envie de partir. Quelqu’un a intérêt à être mort », a-t-il marmonné, se levant enfin du lit.Il a marché, dans toute sa glorieuse nudité

VICTORIAJ’ai relevé ma poitrine, qui menaçait de déborder du décolleté carré.J’ai resserré la taille comprimée dans le corset.J’ai été prête à laisser tout le monde sans voix… et un certain loup en admiration.Je me suis dirigée vers la porte et ai scruté le couloir — personne ne montait la garde.Bientôt, ils placeraient des espions sur moi, mais j’ai supposé qu’ils ne me considéraient pas encore comme une menace.Comme si j’étais la maîtresse de cette maudite forteresse, j’ai avancé dans le couloir et ai invoqué mes pouvoirs pour me déplacer comme une brume.À travers les passages, j’ai cherché l’odeur délicieuse de mon compagnon.Tout le monde était concentré sur l’événement de ce soir.Pendant que je me baignais, Draco m’avait rendu visite — il s’avère que sa chambre est reliée à la mienne par une porte.Il semblait submergé par ses devoirs.Je n’ai pas voulu lui ajouter du fardeau ou apparaître avec des plaintes.J’ai pu gérer ces harpies moi-même, mais ce soir, j’ai

VICTORIACet homme a accueilli tout le monde comme s’il était le maître des lieux et, de manière inattendue, a proposé un toast au Seigneur.Les projecteurs se sont à nouveau tournés vers nous.Dracomir, visiblement tendu, s’est avancé devant moi pour me protéger complètement des regards.Des applaudissements et même des acclamations bruyantes ont retenti en son nom.Un imbécile l’a même félicité d'avoir massacré les vampires rebelles aux frontières.L’excitation de la foule a grandi, mais la tension rigide dans son dos m’a indiqué qu’il était mal à l’aise, probablement inquiet que je sois contrariée.J’ai tendu la main et j’ai doucement caressé son flanc là où personne ne pouvait voir.J’ai senti un frisson parcourir son corps sous mes doigts.« Ça va, mon amour… je ne suis pas fâchée pour ça », ai-je murmuré à travers le lien temporaire que nous avions formé.Son amour et ses caresses mentales m’ont atteint quelques secondes plus tard.Cela a suffi pour que je ne regrette pa

VICTORIAJ’ai enfoui mon visage contre son cou, inhalant son odeur sauvage, léchant les gouttes de sueur, sentant le pouls des veines sous ma langue.Mes jambes se sont verrouillées autour de sa taille, mes fesses rebondissant de haut en bas pendant que je savourais cette étreinte rapide et sauvage.Ses griffes se sont enfoncées dans mes hanches, et cette lance épaisse s’est enfoncée profondément entre mes replis.Mon monde entier a tremblé sous les grognements graves et sauvages qui résonnaient directement dans mon oreille.Les rideaux ont oscillé de plus en plus violemment, les poussées de Draco me martelant frénétiquement.J’ai à peine retenu les cris d’extase.L’excitation de l’interdit, l’adrénaline de le faire en secret, de faire l’amour en public… cela rend toujours tout meilleur, fait jouir plus vite.Au milieu de notre frénésie, mes yeux embués de désir ont capté un éclat au-delà des lourds rideaux.Une ombre se tenait là, nous observant, écoutant nos gémissements de p