Semua Bab La Saga des frères Pelizzarri : Bab 31 - Bab 40

Clara se regarda une fois de plus dans le miroir et se trouva absolument sublime. Elle ne croyait pas être la jeune femme dans le miroir. Elle entra dans l'ascenseur et arriva en bas en quelques minutes. Elle trouva un Lorenzo en costume trois pièces cousus sur mesure. Il était élégant et très beau. Elle devra avoir l'œil sur toutes les femmes de la soirée.- Dis donc Amore Mio, avec cette robe tu vas éblouir la soirée, rappelle moi aussi de charger mon arme parce que je suis prêt à tuer n'importe qui voudrait t'approcher, siffla-t-il.Il lui tandis la main et Clara l'attrapa. Ils sortirent tous les deux. Lorenzo tenait à conduire lui même .- Combien de temps va prendre cette soirée ? Demanda Clara.- Tout dépend de toi Tesoro, je n'ai pas envie de m'éterniser là bas, si tu ne te sens pas à l'aise tu me le dis et on quitte les lieux, et en plus je préfère te voir chez moi et nue de préférence.Clara rougit comme d'habitude et détourna le regard.

- Qu'est ce que cet idiot de Paolo t'a dit ? Demanda Lorenzo afin de briser ce lourd silence qui s'était installé entre eux.Clara souffla et se tourna vers lui, il avait toujours cet air impassible.- Il m'a dit que tu devrais me parler de la dynastie des Pellizarri. Répondit-t-elle.Lorenzo n'ajouta rien et gara la voiture. Clara remarqua qu'ils étaient dans un endroit inconnu. Il vint lui ouvrir la portière et elle sortit. Il l'emmena à l'intérieur du bâtiment.- Je vais te parler de moi, lâcha -t-il.Le bâtiment était rempli d'hommes tous armés. Ils lui faisait froid dans les dos, Clara s'agripa à Lorenzo pour ne pas tomber. Il l'emmena dans un bureau rempli d'arme de tout genre, des petits et des grands calibres.- Bienvenue dans mon monde Amore Mio.Il la fit asseoir et en fit autant.- Je suis Lorenzo Antonio De Luca Pellizarri, le fils aîné de l'un des plus grands mafieux de l'Europe, Roberto Pellizarri. Je suis descendant d'une

Lorenzo s'avança lentement. Il avait les vêtements tâchés de sang mais là n'était pas son problème. Il voulait en finir avec Paolo une bonne fois pour toutes.- Tu m'as arraché une femme une fois mais ça ne sera pas possible une seconde fois.Il tira sur les hommes qui étaient présents avec Paolo. Ils étaient Juste trois. Il venait d'en abattre vingt sept. Il avait le regard plein de rage et une seule erreur de la part de Paolo, il le déchiquetait sans état d'âme.- Ne cherche pas parce que je les ai tous exterminé un après un. Tu es seul maintenant Paolo Rossi.Lorenzo s'approcha de lui toujours l'arme braqué sur lui.- Il m'a fallu dix bonnes années pour enfin comprendre que l'ordure qui avait arraché la vie de ma petite Lydia était en réalité son cousin.Paolo émit un rire sadique et haussa les épaules.- Elle t'a préféré à moi alors j'ai grâce à ton père réussi à l'éliminer.- C'était ta cousine enfin, je ne comprends pas comment tu

Veronica entra dans son appartement et put enfin respirer. Toutes ses journées étaient épuisantes, elle les passait soit en cours ou à son petit boulot de Bibliothécaire pendant son temps libre . Boulot qui lui permettait de payer ses études. Certes sa mère lui envoyait de l'argent mais c'était pas suffisant puisqu'elle devait non seulement payer le loyer mais aussi les factures et plusieurs autres charges. Sa mère avait un boulot qui lui permettait à peine de survivre, elle ne voulait en aucun la surcharger avec ses soucis. - Pile à l'heure pour le dîner, lui lança Kelly. Véronica la regarda avec un regard soupçonneux. Kelly ne savait pas faire la cuisine, elle était issue d'une famille nantie, son père était un directeur de société tandis que sa mère était médecin. Kelly était leur seule fille et ils l'avaient rendue paresseuse à tel point qu'elle ne savait même pas comment commençait la cuisson d'un plat. Ils avaient voulu changer les choses mais Kelly était déjà habitué au tr

L'inconnu la regardait avec une lieur énigmatique. Il s'émanait de lui une aura dangereuse. Véronica dut cligner les yeux plusieurs fois pour se rassurer qu'elle ne rêvait pas et qu'elle était vraiment éveillée. Cet homme devant elle était la beauté en personne, il avait les mâchoires volontaires. De larges épaules et un torse imposant mis en valeur par ce manteau en fourrure qu'il portait. Il avait de magnifiques yeux bleus, des muscles à vous faire pâlir et une taille impressionnante. Il devait mesurer au moins un metre quatre vingt dix ou quinze.- Je vois que la vue vous plaît, fit remarquer l'inconnu.Arrogant, nota Véronica. Il avait un semblant de sourire, un sourire magnifique mais énigmatique.- Que puis-je faire pour vous ? Demanda-t-elle avec un semblant de sérénité.Lucas inspecta le lieu de fond en comble et se demanda ce qu'il pouvait acheter. Il était venu ici sur un coup de tête et n'avait rien prévu à l'avance. Il se remit à réfléchir