Semua Bab Renaissance et Vengeance - Quand Mademoiselle Mercier dit non: Bab 151 - Bab 160

À cette pensée, le sourire de Sophie s'est crispé : « Je... je ne sais pas non plus. Je me disais simplement qu'Élodie est une adulte, elle ne peut pas avoir disparu comme ça. »Voyant que Sophie ne savait pas où se trouvait Élodie, Victor a dit : « Il est tard. Je vais demander à un chauffeur de l'entreprise de te raccompagner. »« Victor ! »Voyant Victor si pressé de partir, Sophie a hésité un moment : « Tu es... inquiet pour elle ? »« Quoi qu'il en soit, elle est ma fiancée, elle représente l'image de notre entreprise. Et puis, si quelque chose lui arrivait, je ne saurais pas comment l'expliquer à ma grand-mère. »Sur ces mots, Victor est monté dans sa voiture sans rien dire de plus à Sophie.L'expression de Sophie était complexe.Était-ce vraiment pour cette raison ?Ou bien... avait-il vraiment commencé à avoir des sentiments pour Élodie ?Sophie n'a pas exprimé ces pensées à voix haute.Quoi qu'il en soit, elle devait trouver un moyen d'empêcher Victor de tomber amour

Voyant qu'Élodie ne résistait pas du tout, mais semblait plutôt coopérer, l'homme s'est rapidement approché d'elle.Élodie a protesté avec une moue boudeuse : « Eh ! Pourquoi es-tu si brutal ? Je suis gênée d'être observée. Et si... nous allions derrière pour nous amuser un peu ? »Le regard langoureux d'Élodie avait complètement envoûté les trois hommes, qui ne pensaient même plus à se méfier.L'homme a rapidement répondu : « D'accord, d'accord ! Allons derrière ! »« Pour aller derrière, ne devrais-tu pas détacher les cordes à mes pieds ? Sinon, je ne pourrai pas bien bouger. »Voyant l'hésitation des hommes, Élodie a ajouté : « Voyons, mes mains sont toujours attachées, non ? Tu as peur que je m'enfuie ? Et puis, vous êtes trois grands gaillards, même si je voulais m'enfuir, je n'irais pas bien loin. »Trouvant son raisonnement logique, l'homme a rapidement détaché les cordes autour des chevilles d'Élodie.À ce moment, une lueur de satisfaction a traversé son regard.Une foi

Colette avait toujours dit à Thomas que s'il avait un jour des problèmes, il devait se réclamer de la famille Moreau.En entendant cela, Alain a laissé échapper un ricanement méprisant et a serré encore plus fort.« Arrêtez. »Non loin de là, la voix de Victor est parvenue aux oreilles d'Élodie.En se retournant, elle a effectivement vu Victor qui s'avançait vers eux.Victor a dit froidement : « Les affaires de la famille Moreau ne nécessitent pas votre intervention, M. Duval. »En entendant cela, Xavier n'a rien répliqué. Il a simplement fait un signe, et Alain s'est immédiatement retiré.Thomas pensait que Victor était venu à son secours. Mais avant même qu'il n'ait pu s'en réjouir, Paul s'est avancé et lui a asséné un violent coup de poing.Les deux amis de Thomas n'avaient jamais été confrontés à une telle situation. Terrifiés, ils ont tenté de s'enfuir.Les hommes de Victor les ont rapidement rattrapés.Xavier a lâché le bras d'Élodie et l'a poussée vers Victor : « Occup

Paul, au volant, s'est également figé. Juste avant de monter dans la voiture, Xavier avait délibérément jeté un regard dans leur direction, comme pour les narguer.Le visage de Victor s'est encore plus assombri. Paul a commencé : « Monsieur... peut-être devrions-nous... »« On s'en va ! »Victor a tranché sèchement : « Désormais, les affaires d'Élodie Mercier ne me concernent plus du tout ! »Voyant Victor dans cet état de colère, Paul a ravalé les mots qu'il voulait prononcer pour défendre Élodie.À ce moment-là, Élodie était déjà montée dans la voiture de Xavier. Celui-ci avait enlevé sa veste et l'avait posée sur les épaules d'Élodie.Élodie s'est enveloppée dans le vêtement : « Merci, Monsieur Duval. Je la laverai dès mon retour et vous la rendrai demain. »« Jetez-la simplement, je n'ai pas l'habitude de porter des vêtements sales. »« ... »Élodie a adressé un sourire à Xavier sans rien ajouter.Xavier a dit d'un ton détaché : « Tout à l'heure, Victor Moreau t'a vue mon

Voyant qu'Élodie se souvenait si précisément des perles, Colette s'est tapé le front : « Quelle étourdie je fais ! Ne même pas me rappeler de ces perles... Effectivement, je crois bien qu'elles existaient, mais j'ai oublié où je les ai rangées. Ne t'inquiète pas, Élodie, je te les ferai parvenir d'ici quelques jours. »« Tous les bijoux sont là, sauf cette paire de perles... Colette... tu ne les aurais pas vendues, par hasard ? »À ces mots, Colette a eu du mal à garder contenance.Élodie était au courant : Colette avait autrefois perdu beaucoup d'argent au jeu. À court de liquidités et contrainte de rester à la table de jeu, elle avait mis en gage les perles orientales qu'elle portait aux oreilles ce jour-là. N'ayant jamais réussi à se refaire, elle ne les avait jamais récupérées.Craignant qu'Élodie n'apprenne qu'elle avait gagé les perles pour jouer, Colette s'est empressée de dire : « Tu plaisantes ! Comment aurais-je pu vendre tes perles ? C'est un legs de ta mère pour toi. »