Lahat ng Kabanata ng UN CONTRAT DE MARIAGE EN HERITAGE: Kabanata 111 - Kabanata 120

Deborah se battait contre la somnolence dans la voiture, submergée par un sentiment d’incertitude. Sa journée avait été fade, marquée par des résolutions qu’elle peinait à garder en mémoire. Elle devrait puiser en elle-même.Elle ne jeta même pas un regard dans la direction de Jonathanpendant le trajet en voiture.Même la nuit de noces, souvent imaginée avec enthousiasme, ne l’excitait pas vraiment. Même si la veille elle l’avait recherchée, elle se sentait un peu moins passionnée. Le souvenir du champagne, atténuant son élan, ne parvenait pas à dissiper le malaise.Ses paroles résonnaient dans son esprit, en particulier ce qu’il avait dit à Léa. Finalement, cela était difficile à accepter, même si elle se doutait que la fille avait probablement exagéré les mots par jalousie, mais elle n’y pouvait rien.En repensant à sa promesse de devenir une épouse exemplaire, elle laissa échapper un soupir tout en se demandant ce que cela impliquait réellement d’être une bonne épouse.Elle n’avait

Toujours aller dans le sens de l’agresseur pour l’amadouer et chercher une solution. Conseil de John quand elle était jeune. C’était bizarre qu’elle repense à ça, là, maintenant.— T’as envie de quoi, salope ?— Bah de toi, j’adore quand tu me traites de salope ! Ça m’excite grave !— C’est bon, Deborah, arrête tes conneries !Gronda Dean, l’homme le regarda et lui balança un autre coup dans le visage !— Ta gueule, ne sois pas jaloux, tu seras mort avant de te la faire à nouveau ! En plus, ta meuf, elle est chaude, ça m’excite aussi.— Ça aussi, c’est chaud. Ça aussi, ça t’excite, fils de pute !Lui cria-t-elle en lui balançant un coup de poêle dans la tête. L’homme, surpris, poussa un cri de douleur, elle continua à lui taper dessus avec la poêle brulante avec force et énergie, il recula et Jonathan tendit les jambes, l’homme buta dessus et tomba en arrière.— Prends l’arme !Lui cria Dean, tandis qu’elle se dirigeait vers l’agresseur pour lui remettre des coups sur la tête. Au fin

— Ça va ? demanda son père en s’approchant de sa fille.— Bah, continuation d’une journée de merde !— Jonathan m’a tout raconté, je suis fière de ma fille !Elle haussa les épaules.— Instinct de survie ! Il voulait aussi vous venir vous tuer !Sa mère pâlit et la reprit dans ses bras.— Je voulais lui tirer dans les couilles, mais Jonathan n’a pas voulu !Sa mère recula.— Comment tu parles ? Enfin, tu vas bien, on va aller faire une petite valise pour la nuit, prends pour Jonathan aussi, il nous rejoindra à la maison !Elle regarda son mari.— Oui, j’irai le chercher quand il sortira.Deborah soupira et se dirigea vers sa chambre, sa mère la suivit.Elle prépara sa valise, choisissant également des affaires pour lui. En allant au hasard dans la commode, sa mère s’était assise sur le lit et lui demanda soudainement :— Excuse-moi, ma chérie, je ne veux pas te vexer, mais je veux savoir !Sa mère semblait tourner autour du pot, puis se retourna. Qu’est-ce qu’elle voulait savoir ?— E

Sa sœur le détestait, en fait peu de personnes l’aimaient, c’était un homme hautain et très sexe ! Enfin, cette dernière partit, c’était son avis à elle, avis vérifié !Elle en rougit presque en repensant à lui, mais elle retourna vite à ses pensées d’origine, elle aurait fait quoi si elle avait dû lier son sort à cet homme.Deborah sourit de nouveau, elle aurait préféré que sa destinée soit liée à ce Luc, plutôt qu’à Jonathan ! Mais sa sœur avec sa morale à deux balles, elle aurait fait quoi, ce serait elle contentée de se dire qu’il était beau, riche, avait une bonne situation et plus encore...Merde à ce souvenir, elle se mit à rire toute seule, elle riait au milieu de ses larmes, qu’était-il devenu ce salaud qui lui avait promis tant pour ne rien lui donner !Elle réalisa aussi d’un coup que ses amours ne duraient jamais très longtemps !Luc et la roseraie de John !Bah oui, sa sœur, elle aurait agi comme elle !Voir pire !Si Laurène se permettait de lui faire une seule réflexio

Le taxi les déposa juste devant l’entrée. Deborah regarda sa petite voiture qui était toujours là. Elle suivit Jonathan l’intérieur de la maison.— Ça te dérangerait de me faire un truc à manger ? J’ai horreur de cuisiner, demanda Jonathan gentiment en l'aidant a retirer son manteau.Elle lui fit signe que oui de la tête et lui demanda :— Tu veux des œufs ?Il fit une drôle de tête et elle ne put s’empêcher de sourire. Elle se choqua elle-même de rire avec lui, alors qu’une demi-heure plus tôt...— Je vais prendre une douche chaude, parce que ta douche froide, je n’ai pas trop apprécié. Je n’ai même pas réussi à voir une goutte d’eau chaude !— Ah bon ?— Je suis sûr que tu le savais. Je vais même me prendre un bain !— Bah quand tu sors, tu me le dis alors pour ton encas !— T’as raison, je vais manger avant ! j'ai trop faim !Et au lieu de partir vers la salle de bain, il tourna dans la cuisine.Elle le rejoignit. Par terre, il y avait un peu de sang séché au niveau de la chaise.