Ishq E Laa Novel Qaisra Hayat

Cinq années de mariage. Pour Claire Laurent, tout cela n'était qu'un monologue. Elle croyait qu'en serrant les dents, pour son enfant, elle pourrait supporter encore un peu. Peut-être qu'un jour, les choses changeraient. Mais quand la femme qu'Adrien Delcourt aimait autrefois est revenue, tout s'est effondré. Toute sa douceur, toute son attention, il les a données à cette autre femme. Alors, quelque chose en elle s'est brisé. Même son enfant préférait appeler l'autre « maman » plutôt que de rester près d'elle. À ce moment-là, Claire a compris qu'il n'y avait plus rien à sauver. Elle ne voulait plus ni mari ni enfant. Un simple papier a suffi pour tout terminer : leur divorce. Elle est partie les mains vides, abandonnant même la garde de son fils. Après cela, elle se consacrait à son travail. Les prétendants se multipliaient autour d'elle. Et c'est là qu'elle a réalisé combien ces années de patience avaient été ridicules. Mais parmi tous ces hommes qui tentaient de la séduire, il y en avait un qui ne supportait pas de la voir courtisée : Adrien, son ex-mari, froid et dominateur. Il s'est approché d'elle, l'a coincée contre le mur, sans lui laisser d'échappatoire. Claire a souri légèrement : « Monsieur Delcourt, nous sommes déjà divorcés. » Il a effleuré sa gorge du bout des doigts, un sourire froid aux lèvres : « Divorcés ? Tu es sûre que j'ai signé ? »

Meu marido juiz, Domício Negrão, decidiu por conta própria doar um dos meus rins para sua eterna paixão, Anabela Monteiro, que sofria de insuficiência renal. Eu tentei explicar: eu também tenho falência renal. Se eu perdesse mais um rim, eu morreria. Mas ele gritou comigo com desprezo: — Belinha tá morrendo, e você ainda tem coragem de sentir ciúme?! Onde está sua compaixão? Por ordem dele, fui levada ao hospital, obrigada a doar meu rim. E foi lá, sozinha, esquecida num canto frio do hospital... que eu morri.

En quête d’un nouveau départ, Sonia Yayock s’installe à Willowridge, sans imaginer que sa vie basculera avec la rencontre de Laila Voss, femme fascinante à la tête d’un cercle secret. Dans ce monde de luxe, de désir et de trahison, chaque sourire cache une arme et chaque regard promet un danger. Attirée par la passion et piégée par le mystère, Sonia découvre que certaines invitations coûtent plus qu’un cœur brisé. Entre amour interdit et pouvoir, Le Cercle des Maîtresses explore les frontières du plaisir, du contrôle et du risque de tout perdre pour une seule tentation.

Mariés depuis sept ans, Gabriel Fournier avait toujours été froid et distant envers Élise Roche, tandis qu'elle, inlassablement, lui souriait. Parce qu'elle l'aimait profondément. Parce qu'elle croyait qu'un jour, elle réussirait à réchauffer son cœur. Mais ce qu'elle a obtenu en retour, c'est qu'il est tombé éperdument amoureux d'une autre femme, lui offrant toute son attention et sa tendresse. Malgré tout, elle a continué à s'accrocher à leur mariage. Jusqu'au jour de son anniversaire. Après un long voyage pour le retrouver à l'étranger avec leur fille, elle a découvert qu'il était parti avec l'enfant accompagner cette autre femme, la laissant seule face à sa solitude. À cet instant, elle a enfin abandonné tout espoir. Voir la petite fille qu'elle a élevée appeler une autre femme « maman» ne lui a plus rien fait. Elle a donc rédigé l'accord de divorce, renoncé à la garde de l'enfant et s'en est allée sans un regard en arrière. Désormais, leur vie ne la concernait plus. Elle attendait simplement que les papiers du divorce soient finalisés. Abandonnant son rôle d'épouse, elle s'est consacrée entièrement à sa carrière. Celle que tout le monde méprisait autrefois a bâti en un clin d'œil un empire de plusieurs milliards. Mais alors qu'elle attendait son acte de divorce, celui-ci n'est jamais arrivé. Pire encore, l'homme qui ne voulait plus rentrer chez eux a commencé à le faire de plus en plus souvent, se montrant chaque jour plus proche et possessif. Lorsqu'il a appris qu'elle voulait divorcer, cet homme autrefois noble et indifférent l'a bloquée contre un mur et a déclaré d'un ton catégorique : « Divorcer ? Ça n'arrivera jamais.»

— Malu, eu te amarei para sempre! — Eduardo rugiu em desespero com a voz carregada de desejo. No instante em que estavam prestes a alcançar o clímax, o celular dele começou a vibrar insistentemente. Em um momento como aquele, é claro que ele não deu importância. Mas logo a tela se acendeu e, no momento, que ele reconheceu o nome escrito na notificação, seus movimentos pararam de repente. Maria Luíza ouviu-o atender: — Alô? — Edu, você sabia que a Jordana... — No silêncio da noite, a voz do outro lado soou nítida. — Fale mais baixo, o momento não é conveniente. — Eduardo interrompeu em árabe, num tom contido. — O resultado dos exames saiu. — Do outro lado, a pessoa também passou a falar árabe, mas a voz continuava alta. — Jordana está com câncer terminal, e só tem um mês de vida! Ela quer ser sua esposa. Você pode realizar o último desejo dela antes que ela morra? — O quê? — O rosto de Eduardo mudou drasticamente. — Espera por mim! — Malu, surgiu uma urgência. — Ele se voltou para Maria após desligar o telefone. — Eu preciso sair um instante. Fique em casa descansando, eu volto logo. Sem esperar pela resposta dela, Eduardo levantou-se, lavou-se rapidamente, trocou de roupa e saiu sem olhar para trás. Logo em seguida, o celular de Maria vibrou. A tela iluminada mostrava a mensagem de Jordana Torres: [Maria, você perdeu. Eu já te disse antes que o Eduardo é meu.] E logo acima, tinha uma mensagem enviada por ela três dias antes: [Se eu tivesse câncer, você acha que Eduardo te deixaria para vir atrás de mim? Eu aposto que sim.] O olhar de Maria ergueu-se lentamente desviando a tela do celular até a porta do quarto, ainda aberta. Eduardo não sabia, mas ela já dominava o idioma árabe há tempos, e tinha entendido cada palavra daquela conversa. Depois de muito tempo em silêncio, um sorriso amargo se desenhou em seu rosto. — É... eu perdi...

I am Angel Lim. An avid fan of a popular novel called, 'The Angel They Adored'. It was a reverse harem story where countless men fell in love with the heroine. It's a great masterpiece but I always hated it whenever the greatest villainess harrases her. Yes. That's what I thought before reading the last chapter of the novel. It was the dying moment of princess Ledecia and for the first time, she reminisced her life. "Why did I even exist in the first place if all in my life I'll be in pain?" Those are the last words she utters before dying. And It was very painful. *Knock knock* I paused my thoughts when I heard a loud knock coming from the front door of my apartment. "I'm coming" "Delivery from lily's shop ma'am" I opened my door as I slowly approached the man standing before me. "Oh sorry? But I didn't---" realizing what he said, I immediately tried to said that I didn't order anything but my words were interrupted by a sudden pain. A sharp thing, pierced through my stomach I groaned as I see the blood flowing from my chest. How unfortunate. I wish I had treasured my life more. In the middle of losing conciousness, my honest feeling came out If I'll have the chance to live once again, I'll live free and happy. But then when I opened my eyes, I was transported into Princess Ledecia's body - a villainess from my favorite novel!

« Tu es encore là ?» « J'en ai encore besoin.» « Il peut quand même venir se la prendre tout seul sa drogue.» Troian Beliwill x Zayn Malik ©Copyright [chapitres courts!]

Alors laissez moi vous raconter mon parcours...nos différents parcours. Différentes personnes avec Différents modes de vie vous narrent leur histoire à Bamako.

Moi, Marwa une jeune femme au dur caractère forgé par la cité vivant au cœur d'une famille détruite a cause de la mort d'un de leurs membres ... Va-t-elle changer ? Qui est mort ? Qui va venir bouleverser ses pensées ? Va-t-elle finir avec ? Sa famille, va-t-elle s'unir pour surmonter les épreuves ou se détruire encore plus ? Vous voulez comprendre et avoir réponses a vos questions ? Venez lire les épreuves de la vie de Marwa ... ThugLove ? Pas vraiment, je ne sais pas ... A vous de juger.

Quando eu estava sendo despedaçada viva, usei minhas últimas forças para ligar para o meu irmão. No instante em que minha consciência quase se apagava, ele atendeu o telefone, mas sua voz estava cheia de impaciência: — De novo? O que foi agora? — Mano… me salva… Antes que eu terminasse a frase, ele me interrompeu friamente: — Você arranja problema todo dia? No fim do mês é a festa de formatura da Marina. Se você não aparecer, eu mesmo te mato! E desligou sem hesitar. A dor me consumiu até eu fechar os olhos para sempre. As lágrimas ainda escorriam pelo canto do meu rosto. Mano, você não precisa me matar. Eu já estou morta.