Owl House Au

The hearse with the strange door came to a halt in front of the entrance. The sound of balls bouncing on the floor could be heard. There were children who cried in the middle of the night. Several footsteps, almost as if running around the corridor. Turning on and off the lights. Every time the wind blows, there are low whispers. At night, several hands roam around the body. "Who are they?" "Shh, they're our friends."

A 24-year-old girl is fresh from break up so she goes to her homeland to spend time with her family. After a while back in her parents' house, her mother tells her that there is a famous bar in the city where people tends to have fun. Her mother invites her to visit the said place and find a man whom she can start a new with. The latter agrees. The next day, they go to the said bar and find out that it is inside a hotel called, The Passion House. Everything inside the hotel is extravagant and there, she figures that her mother has been given a voucher for two inside the best bar in the city and the only way inside a bar is through a dream. Little do they know that an adventure awaits them at the entrance.

For Elize, there's nothing more important than her family. Even it means accepting the unfair treatment of upperclassmen living inside the White Palace - a place like paradise because of overwhelming wealth and luxury unlike her home, the Black Market which is for lower-class and middle-class people like her. That's why getting a chance to work in White Palace is already a blessing to live a good life. But Elize knew that working under an upperclass would mean tragedy as it would mean that you will serve a family class full of arrogant elites, boasting all the money and superiority they have. But a real problem came when her brother was seen with the family crest of an elite class. To save him from a heavy punishment because of his crime, Elize decided that the fate of her brother would be hers, taking all the accusations and blame by herself. She was sentenced to serve directly as a servant under the ruling family in the White Castle for her whole life and without any compensation. Meeting the supreme family, House of Aelton, and working under them is something that Elize would never think of as a blessing. But now this is her new life. Serving the ruling family and the sole heir and prince of the kingdom, Prince Dale Aelton of Lionnale.

Blood Sisters of the Michael family. The most powerful bloodline of dark witches, one of them sets out to ruin the world by bringing back their father who is a servant of an evil known as the darkness, while the others seek to stop her. Welcome to Weston Hills. A world of Witches and everything in-between.

After nine years in the army, Asher Fitzgerald returns to Two Bear Meadow—a decorated sniper, a rancher, and the town’s quiet hero. But the war didn’t end when he came home. Haunted by PTSD and the brutal memories of captivity, Asher struggles to live beyond survival. The open fields of Montana mirror his isolation, and the ghosts of his past stalk every quiet night. When Asher falls in love, he falls hard. For a while, he dares to dream again—to build, to belong, to believe. But as despair and nightmares reclaim their hold, he’s forced to face the truth: before he can love anyone, he must first forgive himself. Desperate to heal, Asher finally seeks help, beginning a painful journey through therapy and self-reckoning. Along the way, life takes an unexpected turn—two foster boys enter his care, awakening a fragile new sense of purpose. Asher learns that strength isn’t just about enduring—it’s about choosing to live. The Lansing House is a moving story of redemption, resilience, and the courage to find peace after war. It’s about learning to let go of control, embrace vulnerability, and fight—not for survival, but for happiness.

Un groupe d'amis, en quête d'une pause loin de la routine quotidienne, loue une maison isolée au bord d’un lac mystérieux pour un séjour de quelques jours. Au début, l’endroit semble paisible et parfait pour la détente, mais peu à peu, des phénomènes étranges viennent troubler leur tranquillité. Une présence maléfique, liée au sombre passé de la maison et du lac, se dévoile progressivement, jouant avec leurs peurs et leurs secrets les plus enfouis.Jour après jour, l’atmosphère devient plus oppressante, leurs tensions personnelles s’intensifient, et les amis se retrouvent pris au piège d’une spirale de terreur. Tandis qu'ils tentent de comprendre ce qui leur arrive et de trouver un moyen de s’échapper, les vérités sur les tragédies passées et le lien sinistre qu'elles partagent avec la maison viennent à la lumière.Leur amitié, mise à rude épreuve, sera le seul espoir pour survivre… mais tous ne quitteront pas cet endroit indemnes. Alors que l'ombre du lac continue de planer sur eux, la frontière entre le réel et l'horreur devient de plus en plus floue.

"Let's play a game, let's find out if you live or die." Skilled with the ability to Astral Project, Jason finds himself trying to escape a mansion filled with demonic entities while also trying to save his bestfriend. Only the dead survive where the days are shorter and the nights are longer.

Au-delà des Vagues Aya, une jeune ivoirienne de 22 ans, n’a plus rien à perdre quand elle embarque clandestinement pour l’Italie. Fuyant la pauvreté, un mariage forcé et les cicatrices d’un passé trop lourd, elle traverse l’Afrique du Nord et brave la mer Méditerranée. Le voyage est un cauchemar : violence, faim, peur constante. Mais elle survit. Et c’est déjà une victoire. Arrivée à Naples, sans papiers ni repères, elle erre entre foyers d’accueil et petits boulots précaires. Jusqu’au jour où son chemin croise celui de Salvatore Neri, un homme d’affaires aussi influent que mystérieux. Il a tout : l’argent, le pouvoir, une vie réglée au millimètre. Elle n’a rien… sauf son regard brûlant de vie. Contre toute attente, il l’aide. D’abord par pitié. Puis par fascination. Et très vite, par amour. Aya se méfie. Trop beau pour être vrai. Elle a trop souffert pour croire aux contes de fées. Mais Salvatore, lui aussi, cache ses propres blessures. Leur relation devient un refuge, un feu fragile qu’ils doivent protéger du monde extérieur… et de leurs propres démons. Entre les préjugés, les obstacles administratifs, les différences de classe et les fantômes du passé, leur amour tiendra-t-il ?

Apprenant que j'étais enceinte, Corine, la bien-aimée de mon mari Hervé, a délibérément mis le feu pour me brûler vive. Plutôt que de crier à l’aide, j’ai pris Agnès, ma belle-mère, qui s'étouffait et s'évanouissait, et j’ai lutté pour survivre. Dans ma vie précédente, j’ai crié désespérément au milieu des flammes, et mon mari a fait appel à des secours pour nous sauver, Agnès et moi, en priorité. Corine, poussée par la jalousie et voulant tester l'amour que mon mari lui portait, s’est précipitée dans les flammes, s’est brûlée sur tout le corps et est morte. Après sa mort, Hervé a affirmé que c’était elle qui avait volontairement mis le feu et méritait sa fin, puis s’est occupé de moi, encore sous le choc, comme un mari soumis. Mais après la naissance de notre enfant, il a utilisé la tablette de Corine pour écraser notre fille à mort. Il m’a crié : « La mort de Corine est la faute de vous deux ! Allez en enfer expier vos péchés. » Désespérée, je l’ai entraîné dans ma chute, mais lorsque j’ai rouvert les yeux, comme par miracle, je me suis retrouvée de nouveau dans le feu.

Mes parents, parmi les plus riches du pays, jouissent d’une réputation nationale en tant que philanthropes renommés. Pourtant, toute dépense de plus de cinq euros devait faire l’objet d’une demande formelle auprès d’eux. Quand le médecin m’a appris que mon cancer était en phase terminale, j’ai rassemblé tout mon courage pour leur demander 100 euros. Résultat : trois heures d’humiliation. « À ton âge, tu veux vraiment me faire croire à un cancer ? Trouve une excuse plus crédible pour demander de l’argent. » « Tu sais qu’avec 100 euros, des enfants dans les régions pauvres pourraient survivre longtemps ? Même ta sœur adoptive est plus raisonnable que toi. » À bout de force, traînant mon corps malade, j’ai marché plusieurs kilomètres pour retourner dans mon sous-sol étroit et sale. Et sur le chemin, sur un écran géant d’un centre commercial, je les ai vus : mes parents, souriants, dépensant une fortune pour offrir Disneyland à ma sœur adoptive. Les larmes que je retenais depuis longtemps se sont mises à couler. 100 euros ne suffisaient même pas pour une séance de chimiothérapie. Je voulais seulement acheter une tenue neuve pour partir dignement.