Rwby Live Die

Keep your legs open, baby. That’s it… eyes on me.” One had his hand around my throat. Another had his mouth between my thighs. The third… God help me, he was the one who whispered the filth that made me forget my name. Three of them. All at once. Tearing me apart like I belonged to them. And the truth is—I did. Because I gave them my body the night I lost everything else. The night I got fired. The night my boyfriend left me for my best friend. The night I nearly ended it all. But I’d been kind to a stranger once. Gave him my umbrella in the rain. Smiled at him even when my world was falling apart. That man? He found me drunk and desperate on the edge of ruin… and offered me something darker than a second chance. To be theirs. All three of theirs. Not a girlfriend. Not a wife. A plaything. A prize. A pet. Now I wake up in silk sheets. I don’t work. I don’t pay bills. I only exist to please them. And Daddy doesn’t like when I cry. He likes when I beg.

It's been five years since I started trying to win over Zachary Pierce. I even went so far as to have a child through IVF, hoping it would finally make him care. But no matter what I do, I can never reach 100 percent affection from him. It always stays at 99 percent. Sometimes it even drops lower. One day, exhausted and aching, I go looking for him. As I reach his room, I hear laughter coming from inside. "She still hasn't figured out the egg wasn't even hers. The moment the baby was born, Zach's affection score for her dropped to zero." "So what if she finds out? She should be grateful that her face looks so much like Yvonne's. Honestly, I'm done entertaining her. It's exhausting." At that moment, everything clicks. All the hope I've held onto, every sacrifice I've made, they were all just a joke. I turn away and say to the system, "End this for me. Send me to another world."

Lorsque le criminel m’a attaquée et tuée, mon père, expert en détection criminelle, et ma mère, médecine légiste en chef, accompagnaient ma sœur Lyne qui participait à un match de tennis. Le criminel, qui avait été arrêté par mon père, cherchait à se venger de lui. Il m’avait coupé la langue avant de s’emparer de mon téléphone portable. Il a composé le numéro de mon père, il a répondu d’un ton glacial avant de raccrocher : « Quoi qu’il se passe avec toi, le match de ta sœur Lyne aujourd’hui est le plus important ! » Un rire ironique s’est échappé des lèvres de ce criminel : « Je pensais qu’ils préféraient leur fille biologique, mais il semble que j’avais tort. Apparemment, j’aurai dû kidnapper ta sœur Lyne. » Sur les lieux de l’accident, mes parents étaient secoués par l’horreur du corps retrouvé. Ils se sont figés, leur esprit n’arrivant pas à assimiler l’image macabre devant eux. Mais jamais, ils n’avaient imaginé que cette victime difforme et torturée, pouvait être leur propre fille.

“Are you trying to punish me? I…I don't know how many times I can apologize even if it wasn't my fault that I almost—” “I never asked you to. You do whatever you want, Niya, and I really don't care. Neither should you bother with what I do.” “You're hurt. You're hurt, Alex, and you're acting out. Don't worry we could talk this through. This isn't you.” I try to reach him again but he shoots me a deadly glare that pierces through my skin like a dagger. “Sure it is. You've just never seen me like this. You don't know what I look like when I'm not in love with you,” his brows grow together. “Now we’ve had enough of your drama. You'll find the papers and enjoy the party or use the fucking door.” He pulls away and my eyes cloud again. My ears and heart find it hard to process what is actually going on. The looks on their faces tell me it is awfully too late—I have already lost everything. “Niya, careful now,” my grandmother slowly tugs at my arm as if that will somehow make everything better. “We have guests. Don’t cause a scene.” A scene? I have literally just seen a whole movie, ma. ************* My name is Niya Kendrick. I’m 25, an author who once believed she had the perfect life. But how quickly can everything I love be stripped away in the blink of an eye? Or worse, what if the life, the family I’ve cherished has always been a blatant lie, a mere fragment of the truth? Now, I’m awake, and reality is far harsher than any dream.

Nine years into our marriage, Linda Chancers was constantly surrounded by admirers. She enjoyed captivating inexperienced young men, making them infatuated with her.I understood and accepted it while she took pleasure in it.We continued quietly like this for nine years. It wasn’t until the day I achieved success and left without looking back. That night, Linda smashed everything in the house and grabbed my collar, screaming, "So, all these years, you've never loved me!"Love?What I loved, what I wanted, was nothing more than status and wealth.

J'étais en phase terminale d'insuffisance rénale. Le rein le plus compatible qu'on ait enfin trouvé pour moi, mon mari Régis l'a offert à ma sœur Laurine. J'ai refusé la proposition du médecin d'attendre un autre donneur et suis sortie de l'hôpital. Dégoûtée par ces gens, j'ai compris qu'il était inutile de continuer à me battre. Alors j'ai légué à ma sœur toutes mes économies des années passées. Enfin, j'ai vu mes parents sourire. Régis s'épuisait chaque jour à prendre soin d'elle. Loin de m'irriter, je l'encourageais à être plus attentionné. Quand notre fils a demandé si ma sœur pouvait devenir sa maman, j'ai même acquiescé en souriant. Mais pourquoi, maintenant que tout leur a réussi, regrettaient-ils soudain ?

Une intrigue a abusé de l’innocence d’Isabelle Leroy, du jour au lendemain, elle a tout perdu, et a été forcée de quitter la maison…Six ans plus tard, elle est retournée avec ses trois petits enfants pour se venger. Pourtant, ce à quoi elle ne s’est attendue pas, c’était que les trois petits semblaient plus éveillés qu’elle. Ils ont trouvé leur père pour les aider. Un jour, ils l’ont même amené à la maison et ont dit fièrement : « Maman, nous avons amené notre papa ! » L’homme a observé les trois enfants qui lui ressemblaient et, soudain, il a tout compris.Il a bloqué Isabelle contre sa poitrine dans le coin, et a souri sournoisement : « On a déjà trois enfants, il est temps de commencer le processus de conception d’un autre enfant ! »Isabelle : « Pas question ! Va-t’en ! »

The day Eve Jones came back to town, Zac Gibson did not come home all night. The next day, I saw a post on her social media, showing a photo of two hands tightly intertwined, along with Zac’s peaceful, childlike sleeping face. When he finally came home, he threw divorce papers at me and said, "You’ve been standing in Eve’s place this whole time. Now that she’s back, it’s time for you to move on." It did not matter anymore. I was not going to live much longer anyway. Whoever wanted the title of "Mrs. Gibson" could have it. Later, I died. But Zac cried at my grave, kneeling, promising he would never hold anyone else’s hand again.

Le jour de mon mariage, mon fiancé a eu une liaison avec ma sœur Isabelle Bernard dans le salon de repos, et ils ont été surpris sur le fait. Je suis devenue la risée de tous, mais mon ami d'enfance Alex Thomas m'a demandé en mariage publiquement et m'a défendue. Après le mariage, il m'a obéi en tout. Malheureusement, notre vie sexuelle n'a jamais bien fonctionné. Ce n'était qu'après avoir fait une FIV cette année que je suis tombée enceinte. Après cela, il m'a choyée de toutes les manières possibles. J'ai cru qu'il était enfin mon véritable refuge. Jusqu'au jour où j'ai entendu sa conversation avec un ami. « Alex, tu es trop cruel. Léa Bernard est si gentille avec toi. Comment as-tu pu échanger les ovules pour que Léa porte l'enfant à la place d'Isabelle, simplement parce qu'Isabelle a peur d'accoucher ? » « Et l'enfant va naître dans deux mois. Qu'est-ce que tu comptes faire ? » Il s'est tu un instant et a poussé un soupir. « Une fois l'enfant né, je le remettrai à Isabelle pour réaliser son rêve de devenir mère. » « Quant à Léa, je lui dirai que l'enfant est mort. » « Je resterai avec elle pour le reste de sa vie. » Alors c'était donc ça. Toute la tendresse que je croyais sincère n'était destinée qu'à elle. Je suis allée prendre rendez-vous pour un avortement. Je n'ai plus voulu de cet enfant impur. Je n'ai plus voulu de ce mariage mensonger non plus.

En la etapa terminal de mi insuficiencia renal, mi esposo le dio a mi hermana menor el único riñón que se adaptaba a mí. Rechacé la propuesta del médico de seguir esperando por otro riñón y me di de alta anticipadamente. Después de tanto dolor y desilusión, ya no tenía fuerzas para seguir luchando. Le entregué a mi hermana menor toda la fortuna que había construido durante estos años y, por fin, pude ver a mis padres sonreírme. Mi esposo quería cuidarla día y noche sin descanso. Pero yo solo no me enojé, sino que le aconsejé que fuera muy atento con ella. Incluso, cuando mi hijo dijo que quería que mi hermana fuera su mamá, también asentí sonriendo. Todo salió como ellos querían... entonces, ¿por qué ahora se arrepentían?