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Around the seventh month of my pregnancy, I overheard a conversation between my mate, Zane Andrews, and Ciara Phillips, the she-wolf I had taken in out of compassion after her family was brutally slaughtered by rogues. In a sultry, flirtatious tone, Ciara purred, “Zane, my love, if your wife discovers that the fertilized egg I planted in her womb isn’t truly hers by blood, she’ll be devastated—perhaps to the point of despairing suicide, don’t you think?” Zane snorted, his voice dripping with disdain at the mention of me. “It’ll work for us if she simply dies from heartbreak. Damn it. I can’t shake the worry that she might sever our bond and leave me with nothing. Let’s keep this under wraps until our child inherits all her assets. Only then will we reveal the bombshell, plunging her into darkness.” Ciara giggled, praising Zane for his cunning. My claws itched to lash out, but I held back, knowing the time for confrontation wasn’t yet. My heart sank as their betrayal cut deep. Years ago, I had defied my pack elders’ warnings about Ciara being a potential threat, taking her in and grooming her into our pack's doctor, funding her education out of sheer empathy. Now, I regretted every moment of my kindness. To think that my mate, who had once begged for my protection for his fragile pack, had the audacity to betray me. If not for my support, his pathetic pack would have crumbled long ago, leaving him nursing his wounds in a dark corner, fretting over survival. After a long moment of contemplation, I made my decision. I would feign ignorance to their schemes and play along by giving birth to Ciara’s baby. Two decades passed. Ciara’s child grew up, bearing the name Simon Andrews. Aware of their treachery, I still transferred all my assets to him. Once the paperwork was completed, Ciara boldly approached me in front of the entire pack, a maternity DNA test in hand. With a smug smile, she declared, “Leia Holland, look at this! I am Simon’s biological mother. Leave h

Georgia, ma meilleure amie, et moi, nous sommes tombées amoureuses en même temps des deux fils de la famille Tellier, et, dans le même élan, nous nous sommes retrouvées enceintes. Georgia a fait tout un drame dès qu’elle est tombée amoureuse, ne cessant de crier sur tous les toits qu’un moine avait renoncé à sa vie religieuse pour l’épouser. Quant à moi, j’évitais de parler de mon copain, le fils aîné d’une grande famille puissante de la capitale, au point que tout le monde croyait que j’étais encore célibataire. Un jour, par hasard, Georgia est tombée sur mon rapport de grossesse. Furieuse, elle s’est précipitée dans mon dortoir avec ses amies toutes aussi menaçantes que des gangsters. Dans une explosion de rage incontrôlable, elle a lancé des excréments sur mon lit. Elle a craché : « Je te considère comme ma meilleure amie et toi, tu essaies de séduire mon mari ? » Sur les réseaux sociaux, elle a lancé des rumeurs à mon sujet, m’accusant d’être une femme sans scrupules, qui adorait se fourrer entre les amoureux. Mais ce n’était pas tout : elle avait aussi drogué ma soupe tonique, dans une tentative insidieuse de provoquer une fausse couche. Je n’ai pas supporté cela et j’ai jeté la soupe sur sa tête, la laissant se répandre sur elle. Je lui ai déclaré froidement : « Écoute, Marius n’est pas le seul fils de la famille Tellier ! » En apprenant cela, Robin, mon mari assez puissant pour régner sur toute la capitale, a enroulé ses bras autour de ma taille et m’a dit avec une expression glaciale : « Ma chérie, les rumeurs disent que tu étais la maîtresse de mon petit frère ? »