Elle a levé la tête et a regardé le ciel, gardant cette posture pendant un long moment.Roland a regardé dans sa direction et n’a rien vu, sauf un ciel sombre. Le temps était mauvais depuis un certain temps.Après avoir remarqué que quelque chose n’allait pas, il s’est dirigé vers elle.Elle était assise sur la balançoire sans la moindre réaction.Un peu plus tard, elle s’est levée, s’est retournée, et s’est rendue à la villa. Roland était tellement inquiet qu’il la suivait tout le temps.Elle s’est assise sur le canapé, a allumé la télévision, et a regardé l’émission télévisée, teint pâle et terne.Julie a éteint la télévision autour de quatre heures du matin, a enlevé les chaussures, et s’est allongée sur le canapé. En un clin d’œil, elle s’est endormie, tandis que Roland, s’appuyant contre la porte, fumait.Lorsqu’il a vu Julie endormie, il a jeté le reste de la cigarette sur le sol et l’a horizontalement serrée dans bras avant de monter à l’étage.Au moment où il l’a portée dans
Roland a fait asseoir Julie, a pris le couvert, et a mangé une bouchée de pain, en disant : « Regarde bien ! Puisque je peux le manger, il signifiera qu’il n’est pas toxique ! » Julie ne comprenait pas pourquoi il se comportait ainsi. Il voulait toujours qu’elle meure tôt, pourquoi s’occupait-il d’elle maintenant ? Les pâtisseries, les bonbons et les pains lui avaient été enlevés, et maintenant il lui apportait encore le petit-déjeuner.Julie n’a pu s’empêcher de se demander : « Qu’est ce qui ne va pas avec lui ? Il n’a jamais fait de telles choses avant. » Sans savoir si elle avait trop faim, elle n’avait pas du tout d’appétit, elle avait même envie de vomir.Sans trop d’émotions sur le visage, elle a croisé les bras et a vu le couvert qui avait été utilisé par lui, se disant : « Même si ce n’est pas toxique, je ne mangerai pas la nourriture qu’il a apportée. »Parce qu’elle connaissait très bien le caractère de Roland, quoi qu’il fasse, il avait toujours une idée derrière la t
Elle ne pouvait toujours pas s’échapper de Roland pour le reste de sa vie. À ce moment-là, la porte des toilettes s’est ouverte. Julie a levé la tête et a vu le regard agressif de Roland. « Pourquoi n’etait-il pas encore parti ? », a-t-elle murmuré. Roland a remarqué le bandeau violet qui avait été jeté dans la poubelle et voulait exploser en injures, mais il s’est maîtrisé. « Tu sors toi-même ou je t’aide à le faire ? » a-t-il demandé. À ces mots, Julie est sortie des toilettes sans rien dire. « Prends le médicament », a-t-il dit. Deux pilules étaient mises sur la table, une tasse d’eau à côté. Lorsqu’elle était très agitée ou déçue, elle en prenait une de plus. Elle a jeté un coup d’œil à sa montre, découvrant que c’était juste l’heure de prendre le médicament. « Merci », a-t-elle répondu. Tout en prenant le médicament, elle a pris une gorgée d’eau, celle-ci n’étant ni froide ni chaude. « Sors d’ici ! Laisse-moi tranquille ! » a dit Julie. « Tu t’es replié
Le tableau a été étalé sur la table, le numéro qui y figurait était celui de Julie.Chrétien a touché le tableau et a demandé : « Elle est la gagnante de cette compétition ? »Tant qu’il voyait quelque chose concernant Julie, il se calmerait.Lucas lui a répondu : « C’est l’organisateur qui nous l’a donné, voulant savoir ce que vous pensez. »En fait, Lucas avait su que Julie aurait certainement participé à ce concours depuis longtemps, celle-ci aimait bien peindre et pouvait même faire le poids face à des peintres professionnels. « Elle sait que le concours est organisé par notre entreprise ? », a demandé Chrétien. Lucas lui a répondu : « Personne n’est au courant, probablement elle non plus. » « D’accord, tu peux sortir maintenant », a dit Chrétien. « D’accord, monsieur », a répondu Lucas. Après avoir dit cela, Lucas est sorti et a fermé la porte du bureau derrière lui. Chrétien a observé tous les détails de ce tableau et a deviné que la raison pour laquelle elle ne l’
De toute façon, elle était la seule dans la maison maintenant, son père était parti pour l’étranger, et sa mère était décédée, elle pensait donc qu’elle n’avait plus besoin de serviteurs pour s’occuper d’elle. Lorsqu’elle a contourné Roland pour monter à l’étage, celui-ci lui a saisi la main, en disant : « Perrine a eu un accident de voiture, et elle est à l’hôpital maintenant. »À ces mots, Julie avait encore l’air très calme et lui a répondu : « Je vois, et je lui souhaite un prompt rétablissement ! Mais je n’irai pas la voir. »Depuis tant d’année, Julie considérait tout le temps Perrine comme sa mère, mais après avoir su qu’elle avait été droguée par celle-ci pendant une dizaines d’années, elle était trop triste, si bien qu’elle ne pouvait pas accepter un tel fait. Elle ne voulait plus la revoir, car elle serait encore plus triste.En plus de cela, elle était encore submergée par d’autres choses, même si elle tenait pour le moment, elle savait qu’elle s’effondrerait tôt ou tard.
Si quelque chose arrivait à Julie, celle-ci ne penserait qu’à s’échapper. En fait, elle se sentait tellement impuissante qu’elle se détestait de ne pouvoir rien faire. Personne ne lui dirait quoi faire, elle ne pouvait que battre en retraite comme une tortue timide. Du coup, non seulement Inès la sous-estimait, même les gens de Roland se moquaient d’elle. C’était dans cet environnement qu’elle avait grandi, subissant tout en silence, incapable de changer. Julie, qui serrait l’oreiller dans ses bars, a baissé la tête pour éviter le regard lubrique de Roland. Au moment où elle était sur le point de partir avec son oreiller, Roland s’est immédiatement avancé et l’a arrêtée, lui saisissant le bras et l’entraînant dans la salle de bain. Julie s’est battue de toute ses forces, mais n’arrivait pas à empêcher qu’il lui enlève ses vêtements. Elle a été forcée à révéler ses seins. « Ne me touche pas, s’il te plaît ! », s’est écriée Julie en lui grattant le visage et en lui jetant le p
Sans savoir pourquoi, Julie voulait bien connaitre sa réponse.Mais Roland lui a séché les cheveux et n’avait pas l’intention de lui répondre, toute la pièce était silencieuse. Les cheveux de Julie étaient à la fois épais et longs, il n’était donc pas facile de les sécher. À peu près une heure plus tard, la plupart de ses cheveux ont été séchés, Julie s’est allongée sur lit et a fermé les yeux.Il était minuit.Voyant la chambre sale et désordonnée, Roland a décidé d’emmener Julie dans sa chambre, il est sorti de la chambre en la portant horizontalement dans ses bras. Julie n’a rien dit, le laissant faire ce qu’il voulait, parce qu’elle savait très bien qu’elle n’arriverait pas à l’arrêter, quoi qu’elle fasse. Lorsqu’il est descendu par les escaliers avec Julie, il a juste rencontré Céline, qui s’apprêtait à monter à l’étage.« Oh là là, qu’est-ce qui s’est passé ? Pourquoi ont-ils l’air aussi intime ? », s’est demandé Céline, mais elle a tout de même fait de son mieux pour garder so
Cela dit, il a forcé Julie à boire la soupe de poulet. Dans la seconde suivante, Julie avait mal à l’estomac. Elle s’est redressée dans son lit, et a vomi. Ce qu’elle a vomi, c’était l’acide gastrique, parce qu’elle n’avait pas mangé pendant toute la journée.Après cela, sa bouche était remplie d’une saveur amère.Sentant cette odeur dégoûtante, Julie a soulevé la couverture, voulant sortir du lit.Roland a deviné ce qu’elle irait faire, et l’a horizontalement portée dans ses bras jusqu’aux toilettes.Julie s’est accroupie et a continué à vomir, sentant que tout son estomac sortait de son corps.Sans savoir combien de temps s’était écoulé, elle a respiré de plus en plus lourdement et ne pouvait même pas se lever. Roland s’est empressé de la relever, mais peu de temps après, elle a soudainement perdu conscience.« Julie ! », a crié Roland.Mais Julie n’avait aucune réaction. Roland n’osait pas gaspiller le temps et l’a immédiatement envoyée à l’hôpital.À l’hôpital de Paix.Roland a e