# Elle_Est_Mienne – Une femme, deux mondes, un destin brisé par l’invisible. Nora, jeune femme d’une beauté envoûtante et d’une foi inébranlable, porte en elle les stigmates d’un passé tragique. Arrachée à sa mère dès l’enfance, elle grandit sous le joug d’une tante cruelle, dans une maison où l’amour est un mot interdit. Mais malgré les épreuves, Nora garde sa douceur, sa pudeur… et son secret. À chaque fois qu’elle tente d’aimer, la mort s’invite. Ses époux tombent l’un après l’autre, victimes d’un prétendant invisible et jaloux : un djinn puissant, qui l’a marquée comme sienne. Prisonnière d’un amour surnaturel, Nora vit dans la peur et la solitude, refusant tout homme, se résignant à la volonté de l’invisible. Jusqu’au jour où revient le fils de son oustaz, un jeune homme pieux, respectueux et empreint de lumière, revenu d’Arabie Saoudite après des années d’études du Coran. Avec lui, Nora sent naître une espérance qu’elle croyait morte. Mais l’amour d’un homme peut-il vaincre la possessivité d’un être venu d’un autre monde ? La foi suffira-t-elle à briser les chaînes d’un amour maudit ? Et si son "mari de nuit" refusait de la laisser partir ? Découvrez l’histoire bouleversante de Nora, entre souffrance, passion et combat spirituel. Un récit où les flammes de la haine côtoient les douceurs de l’amour interdit… et où chaque battement de cœur peut être le dernier.
Lihat lebih banyakLe paysage s’éveille lentement, baigné d’un mélange de brume et de lumière. Le ciel, à la fois nuageux et bleu, laisse filtrer les premières lueurs d’un soleil paresseux. Sur les flancs du mont Kakoulima, les arbres verdissent, plus denses et luxuriants que jamais. Les cascades dévalent la montagne dans un tumulte puissant, se mêlant aux marigots comme des veines d’argent sur un corps vivant.
Coyah, cette ville à la fois majestueuse et discrète, s’étire à l’ouest de la Guinée Conakry, à une cinquantaine de kilomètres de la capitale. Chaude, humide, débordante de vie et de contrastes, elle semble tissée entre les montagnes et la mer. Les bâtisses mêlent tradition et modernité : maisons en banco et villas en béton, mosquées aux minarets élancés, églises aux vitraux colorés, écoles vibrantes et bâtiments officiels qui veillent sur la ville comme des sentinelles immobiles.
La brise de décembre souffle doucement, chargée de l’haleine sèche de l’harmattan. Dans le quartier calme de Coyah Centre, une maison se dresse, fière et isolée sur une falaise. C’est celle des Diallo. Une demeure carrelée de blanc, ornée de vitres teintées et ceinte d’une haute clôture. Cinq chambres, un vaste salon aux fauteuils verts à dossier haut, une étagère débordante de corans, des murs blancs rehaussés de vert. Le carrelage scintille. L’intérieur respire l’ordre, la foi et la rigueur.
Dans l’une de ces chambres, une silhouette fine se redresse lentement. Nora. Elle écarte la couverture blanche de coton et pose ses pieds nus sur le sol froid. Son lit, sculpté avec finesse, semble sortir d’un conte peul. Ses longs cheveux noirs glissent jusqu’à ses reins. Son visage, typique de Dalaba, porte la noblesse tranquille des hauts plateaux : grands yeux tombants, nez aquilin, lèvres pleines, peau claire et luisante.
Sans un mot, elle entre dans la salle de bain attenante. L’eau tiède coule, puis les gestes rituels prennent le relais. Ablutions. Robe longue, hijab soigneusement ajusté. Elle déroule son tapis de prière, fait face à la Qibla et lève les mains. L'appel d’Allah s’élève dans le silence de l’aube. Puis, assise près de son lit, elle ouvre le Coran à la sourate 47. Sa voix basse, rythmée et posée, s’élève dans l’intimité du matin.
Mais au salon, une voix brise cette paix.
— Cette paresseuse est toujours au lit ! NORA !
Fatima. La tante. Une femme imposante, élancée malgré ses rondeurs, le visage ovale, des yeux rieurs et inquisiteurs à la fois. Sa peau, aussi claire que celle de Nora, brille dans la lumière dorée. Elle s’installe dans le fauteuil et boit une gorgée d’eau avant de reprendre.
— Nora ! Tu dors encore ?
— Oui, ma tante, répond la voix calme de la jeune fille, mêlée d’une légère appréhension.
« Mon Dieu », pense-t-elle. « Encore éveillée, elle ne me laissera jamais terminer une page. »
Elle range précipitamment son tapis, referme son Coran avec douceur, puis ouvre la porte qui grince légèrement. Nora traverse le salon, la tête baissée.
— Bonjour ma tante.
— Combien de fois t’ai-je dit de te lever tôt ? gronde Fatima.
— J’étais réveillée… Je lisais juste…
— Je lisais ! répète sa tante en l’imitant d’un ton moqueur. Allez, le soleil n’attend pas.
— D’accord, ma tante.
Une voix joyeuse dévale l’escalier.
— Je viens avec toi !
C’est Khadija, surnommée affectueusement Lulu. Elle attrape la rampe noire et descend les marches, son sourire éclatant illuminant son visage brun. Ses cheveux crépus glissent sur ses épaules, sa robe longue lui donne une allure gracieuse.
— Lulu ! s’exclame Nora avec tendresse.
— Combien de fois t’ai-je dit de ne pas appeler ma fille ainsi ? lance Fatima sèchement. Son nom est Khadija !
Nora baisse les yeux, mordillant sa lèvre.
— Désolée, ma tante.
— Maman, j’aime quand elle m’appelle Lulu, proteste Khadija.
— Tu retournes dans ta chambre et tu prends un bain, tout de suite.
— Mais maman...
— Lu… je veux dire Khadija, écoute-la. Vas-y, dit doucement Nora.
Khadija fait la moue, les bras croisés, mais obéit. Puis Nora se dirige vers la cuisine, au fond du couloir. Elle n’a pas encore franchi le seuil qu’une voix grave la fait sursauter.
— Je n’aime pas quand tu travailles.
Elle se fige. Son cœur s’emballe. Ses yeux balayent la cuisine. Personne. Et pourtant… elle sent une présence. Une chose qui ne vient pas de ce monde.
— Oh, n’aie pas peur, dit à nouveau la voix.
Et il apparaît.
Un être aux contours flous, presque translucide. Grand, magnifique, inquiétant. Ses vêtements sombres flottent autour de lui. Ses yeux verts brillent d’une lumière surnaturelle, son visage est d’une beauté troublante, presque irréelle. Il ne semble pas appartenir à l’humanité.
Nora recule, paniquée.
— Il est le Très-Haut, le Plus Grand, murmure-t-elle d’une voix tremblante.
Elle récite le verset 255 de la sourate Al-Baqara. L’air vibre. Le djinn porte les mains à ses oreilles, grimace, recule.
— Arrête, arrête ! hurle-t-il, furieux. Pourquoi fais-tu ça ?
— Ne t’approche pas de moi, Lyés, lance Nora, le regard fixe.
Il fait un pas en arrière, ses yeux toujours rivés sur elle.
— Tu me rejettes toujours. Mais je reviendrai. Accepte-moi, et je te donnerai tout ce que tu désires.
La jeune fille ferme les yeux. Sa voix se fait plus ferme, plus ancrée :
« Je cherche la protection du Seigneur des hommes,
Le Souverain des hommes, Dieu des hommes, contre le mal du mauvais conseiller, furtif, qui souffle le mal dans la poitrine des hommes, qu’il soit un djinn ou un être humain. »Lyés recule encore. Une lueur de rage passe dans ses yeux avant qu’il ne disparaisse, comme aspiré par l’ombre d’un mur.
Seule dans la cuisine, Nora tremble encore. Mais son cœur est calme. Elle sait que ce n’est que le début.
Elle lit, la voix tremblante mais ferme, les versets de la 114e sourate du Coran. Les mots sacrés glissent de ses lèvres comme une prière de feu. Son cœur bat si fort qu’elle a l’impression qu’il résonne dans toute la pièce. Elle a beau s’être habituée à sa présence, cette terreur sourde ne l’a jamais quittée. Il est là. Encore.
En face d’elle, Lyés, le jeune homme aux traits presque irréels, la regarde. Une larme glisse le long de sa joue. Il semble bouleversé, mais Nora ne s’arrête pas. Plus elle récite, plus sa voix s’affermit.
— Tu n’es pas fatigué de ruiner ma vie ? lance-t-elle d’une voix tranchante.
Lyés esquisse un sourire glacial. Ses yeux d’un noir insondable brillent d’une étrange intensité.
— Je protège juste ce qui m’appartient. Je ne partage pas, Nora. Je ne peux pas t’approcher aujourd’hui… mais je peux te surveiller.
— Je ne t’appartiens pas, réplique-t-elle avec fureur.
Le sourire de Lyés s’élargit. Il s’avance lentement, chaque mouvement dégageant une élégance presque inhumaine.
— Je sais que tu aimes les hommes aux cheveux longs. Regarde, je les laisse pousser pour toi. Joli, non ? Je suis le plus bel homme de la terre, avoue-le.
Et il dit vrai. Sa beauté est envoûtante, presque surnaturelle. Mais cela s’explique : il n’est pas un homme. Il est un djinn. Un être d’un autre monde, dangereux, insaisissable. Pourtant, il revient toujours vers elle. Mais pourquoi ? Que veut-il réellement ? De l’amour… ou le contrôle ?
— Je suis le futur roi de ma tribu, Nora. Et toi, tu es ma reine.
Elle le fixe, le cœur glacé.
— Lyés… pourquoi ne choisis-tu pas une autre voie ? Rejoins l’Islam. Cherche le bien. Ne vois-tu pas qu’il est encore temps ?
Il éclate de rire, un rire profond, inquiétant.
— Je suis un dieu sur cette terre, Nora. Pourquoi voudrais-tu que je me prosterne ?
À cet instant, un bruissement derrière elle la fait sursauter. La vieille Fatima vient d’entrer dans la cuisine. Elle s’arrête net, fronçant les sourcils en voyant sa nièce parler seule, les yeux fixés sur un point invisible.
— À qui tu parles, ma fille ? demande-t-elle, méfiante.
Nora tourne vivement la tête, déstabilisée.
— Euh… à… à personne, tata, répond-elle en bégayant.
Fatima regarde autour d’elle, mais ne voit rien. Le silence dans la cuisine semble s’épaissir. Elle cligne des yeux, puis reprend d’un ton bourru :
— Tu as fini de cuisiner au moins ?
Nora va répondre non, confuse, mais son regard tombe sur la marmite électrique… pleine. Elle écarquille les yeux. Elle est certaine de n’avoir encore rien préparé. La nourriture fume comme si elle venait tout juste d’être servie. Elle déglutit difficilement.
Et alors, elle le voit : Lyés tourne autour de sa tante, la regardant de haut en bas avec une attention inquiétante. Nora sent la panique l’envahir.
— Va nettoyer la table, dépêche-toi, ordonne Fatima en s’éloignant.
— Oui, tout de suite.
Mais dans son mouvement, la vieille dame heurte Lyés. Il s’immobilise. Son regard se durcit, noir de colère. Nora sent son sang se glacer. Elle le connaît assez pour savoir qu’il ne pardonne jamais.
— Lyés… s’il te plaît, elle ne t’a pas vu. Ne lui fais rien. Pardonne-lui. Je t’en supplie.
Il la fixe longuement, ses pupilles brillant d’un éclat étrange, puis souffle doucement :
— Je ne pardonne jamais… mais si c’est toi qui le demandes, alors… je le fais pour toi.
Et il disparaît, comme s’il n’avait jamais été là, avalé par les murs, l’air, le silence.
Nora reste figée, le cœur battant. Elle sait que ce n’est qu’un répit. Il reviendra. Toujours.
La jeune Nora se calme peu à peu quand elle vit Lyés arriver de loin, elle savait que sa colère contre Zeineb peut la mettre en danger, elle leve les yeux pour éviter de pleurer. Nacim s'approche et la l'enveloppe dans ses bras pour la calmer. — Maman pourquoi tu fais ça ? Demande Nacim. — Tais-toi Nacim, je ne t'ai pas interdit de voir cette fille ? Demande sa mère. Khadija qui est en colère ne peut plus supporter de rester là une minute de plus. Elle tire Nora par le poignet alors que celle-ci est sencore sous le choc et dit : — Allez on rentre ma soeur. Dit-elle. Main droite contre sa joue, elle n'arrive toujours pas à croire qu'elle l'a giflé devant tout le monde. Khadija appelle un taxi et l'aide à monter, avant que le taxi ne bouge Nora voit Nacim courir vers elles, il veut nous empêcher de partir. Nora demande au chauffeur de démarrer très vite car elle ne veut plus lui dire un mot, il bouge et elle pose sa tête contre l'épaule de sa petite soeur et pleure. — Ne pleure pa
— Bon sang, ça m'énerve j'ai envie de la tuer de mes propres mains. Fatima a dit en serrant les dents dans une immense colère. Nora escorte Khadija jusqu'à la chambre de sa mère. Elles s'assoient par terre. Nora lui gagne un sourire et caresse sa joue. Les deux se regardent intensément, la jeune Nora s'en veut d'avoir traité Khadija comme elle l'avait fait hier, mais c'est le passé maintenant, il faut désormais se concentrer sur le présent, elle ouvre la nourriture, elle sait que Khadija n'a rien mangé depuis hier, elle peut le voir dans ses yeux. — Tu vas manger avec moi maintenant. Dit Nora. — Non. Khadija lui lance des coups secs en levant les yeux au ciel et en croisant les bras. — Eh mais pourquoi ? Nora demande en même temps qu'elle essaie de croiser son regard. — Je ne t'ai pas encore pardonné. Elle fait la moue après cette phrase. — Oh, je vois. Pardonne-moi alors, je m'excuse. Nora s'excuse. — Non — S'il vous plait. Nora lui supplie. — Je te pardonne mais à une condi
Elle s'est allongée dans son lit. L'oreiller contre son visage, elle éclate en sanglots cette fois c'est dur à supporter et difficile à croire que sa tante puisse lui faire ça. Est-ce que Khadija serait de la partie ? Elle n'a pas eu le temps de chercher la réponse à cette question, car elle a senti une main sur ses épaules. Elle lève la tête accompagné de ses yeux mouillés de larmes et voit Khadija devant elle avec un plat de nourriture dans les mains. — Ma sœur, qu'est-ce qui t'arrive ? Dit Khadija après avoir posé le plat sur la commode. Elle touche sa joue alors qu'elle est très surprise de voir Nora pleurer. Celle-ci la regarde intensément sans manquer de se souvenir que Khadija trouvait Nasim beau. Serait-elle aussi amoureuse de lui ? Nora se demande, soudain sa colère prend le dessus, elle retire la main de sa jeune cousine sur ma joue et la pousse. — Hey, mais ma soeur... Khadija voulait dire en s'approchant encore de moi — Ne t'approche pas de moi. Dit Nora, puis elle aj
— Quoi, j'ai bien entendu ? Dit Zeineb. —Oui. Aboubakir répond, puis il ajoute : nous allons fêter le mariage de Nora et Nacim. — Hors de question, c'est hors de question. Dit Zeineb avec colère et elle dit : cette fille ne peut pas épouser mon fils. Elle ne peut pas être ma belle fille. — Zeineb, tu... Aboubakir essaie de dire quelque chose. — Tu veux la mort de notre fils ? Cette fille est une tueuse... Dit la mère de Nacim. — MAMAN ! Nacim crie contre elle. — Oui, cette fille a tué tous les hommes qui l'ont épousée jusqu'à maintenant... Elle redit encore.Cela ne s'arrête pas là. Elle continue d'ouvrir toutes les blessures de Nora, celle-ci la regarde alors qu'elle la critique et l'insulte devant tout le monde. Les larmes de la jeune Nora coulent, elle regarde Nacim qui ne supporte plus les paroles de sa mère et pleure encore plus. A-t-elle vraiment besoin de la traiter comme elle le fait en ce moment ? Nora sait qu'elle a une maladie qui n'est pas très explicative mais, est
Nacim s'accroupit à côté d'elle, la regarde avec les yeux grandement ouverts pendant que la peur de la perdre le ronge de l'intérieur, son cœur bat à tout rompre, en cet Nora a les yeux fermés et il donnerait n'importe quoi pour voir ses yeux ouverts, sont visage triangulaire, ses les lèvres entrouverte sur lesquelles le sang coule aussi. Il la secoue pour la réveiller. —NORA ! Nacim appelle.Elle ne bouge pas, ne parle pas, ni ne réagit, le jeune Nacim va devenir fou. Il court de toutes ses forces, longe le hall et se trouve dans le salon, ensuite il court vers sa droite pour ouvrir et entrer dans la chambre de son père, prend les clés de la voiture de celui-ci sur la commode, car les freins de sa voiture sont cassés et ressors en courant, soudain, il glisse sur les carreaux et tombe par terre sur la terrasse. — Nacim, attention. Dit son père. — Nacim, fais attention mon fils. Dit aussi sa mère. Il se fait une entorse à la main, mais sans la calculer, il pe relève très vite, ni
Elle s'effondre et font en larmes si seulement vous saviez combien elle l'aime, elle l'aime à tel point qu'elle ne peux vivre sans lui cependant, une chose est sûre, elle ne peux pas mettre sa vie en danger bien qu'elle a envie qu'il soit son Halal ( ce qui est permis) en même temps, son amour pour lui ne la permet pas de mettre sa vie en danger. Elle demande à Allah l'aidee moi à surmonter cette situation. Elle continuait de pleurer quand elle se lève brusquement du lit et fais l'ablution, elle prie en pleurant, demandant de l'aide à Dieu tout puissant, lui seul peut la sortir de là car lui même il a dit dans le coran Sourate 40 verset 60 ( invoquez-Moi et je vous répondrai ). Enfermé dans sa chambre, elle continue de prier pendant quelques jours, en même temps, elle a des pensées négatives et dévalorisantes,un sentiment de désespoir —.... : Nora ma chérie C'est sa mère, elle n'a pas cessé de frapper à sa porte durant ces jours dans l'espoir que Nora la laisse entrer mais jusque-
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