LOGINDans les bras de l’ennemi Elena Moretti, fille d’une puissante famille mafieuse sicilienne, est envoyée à Rome comme monnaie d’échange dans une négociation de paix fragile entre les familles rivales Moretti et Esposito. Plongée dans un monde luxueux mais oppressant, elle devient captive dans la somptueuse villa d’Adriano Esposito, héritier mystérieux et dangereux d’une autre lignée mafieuse. Entre eux, le jeu du pouvoir est intense, chargé d’une tension électrique et charnelle. Elena refuse d’être une simple pionne, défiant Adriano avec fierté et audace, même si leur attirance mutuelle rend le combat plus complexe et dangereux. Sous la surveillance constante de la famille ennemie, Elena navigue entre défiance et désir, déterminée à ne pas perdre son indépendance dans cette guerre froide où chaque regard, chaque silence pèse lourd. La nuit, loin du regard des autres, leur duel silencieux s’intensifie, mêlant provocation, menace et une faim inavouée. Dans ce pacte de sang, la paix promise se mêle à un chaos intérieur brûlant, où la frontière entre ennemis et amants devient terriblement floue.
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Résumé de Dans les bras de l’ennemiElena Moretti, fille d’une puissante famille mafieuse sicilienne, est envoyée à Rome comme monnaie d’échange dans une négociation de paix fragile entre les familles rivales Moretti et Esposito. Plongée dans un monde luxueux mais oppressant, elle devient captive dans la somptueuse villa d’Adriano Esposito, héritier mystérieux et dangereux d’une autre lignée mafieuse.
Entre eux, le jeu du pouvoir est intense, chargé d’une tension électrique et charnelle. Elena refuse d’être une simple pionne, défiant Adriano avec fierté et audace, même si leur attirance mutuelle rend le combat plus complexe et dangereux. Sous la surveillance constante de la famille ennemie, Elena navigue entre défiance et désir, déterminée à ne pas perdre son indépendance dans cette guerre froide où chaque regard, chaque silence pèse lourd.
La nuit, loin du regard des autres, leur duel silencieux s’intensifie, mêlant provocation, menace et une faim inavouée. Dans ce pacte de sang, la paix promise se mêle à un chaos intérieur brûlant, où la frontière entre ennemis et amants devient terriblement floue.
Les talons d’Elena claquent sur le marbre de la villa romaine, aussi aiguisés que sa colère contenue.
Deux gardes la suivent à distance. Elle n’a pas besoin d’eux. Si elle voulait fuir, ce n’est pas eux qui l’arrêteraient. Mais elle ne fuit pas. Pas encore.La chaleur de la capitale colle à sa peau comme un gant d’oppression. Elle aurait préféré rester à Palerme, loin de cette farce. Une négociation de paix entre deux familles qui s’entretuent depuis trente ans ? Une mascarade. Et elle en est la monnaie d’échange.
— Elena, reste calme, lui avait dit son père. Sois belle, sois polie, et surtout, obéis.
Elle n’avait rien répondu. Elle avait seulement fixé ce patriarche froid qui croyait encore pouvoir la manipuler.
Dans le grand salon, tout est silence et luxe discret. Canapés en cuir sombre, rideaux de velours bleu nuit, cristal taillé sur la table basse. Et un homme.
Il se lève à son entrée.
Adriano Esposito.
Il est plus jeune qu’elle ne l’imaginait. Trente ans, peut-être. L’air d’un prince noir sorti d’un cauchemar : cheveux sombres, mâchoire sculptée, chemise blanche retroussée aux avant-bras, révélant une montre en or massif et un tatouage discret remontant le long du poignet.
Ses yeux la déshabillent sans la moindre pudeur.
— Signorina Moretti, murmure-t-il en italien, sa voix grave comme un murmure de menace. On m’avait dit que vous étiez… redoutable.
Elle soutient son regard. Fière. Provocante.
— Et moi, on m’avait dit que vous étiez mort.
Un sourire glisse sur ses lèvres. Lent. Prédateur.
— Je le suis peut-être. Mais ce soir, je suis assez vivant pour vous offrir un verre. Vin ? Whisky ? Ou vous préférez mordre dès le premier échange ?
Elle s’avance. Lentement. Jusqu’à pouvoir sentir son parfum : ambre, cuir, pouvoir.
— J’ai pas soif. J’ai juste envie de savoir pourquoi vous m’avez fait venir ici.
— La paix, Elena. La paix ou le chaos. On a le choix.
Elle ricane.
— Ce n’est pas à moi qu’il faut dire ça. C’est à mon père.
— Non. C’est à toi. Parce que c’est toi qu’il a envoyée. Et parce que c’est toi que je veux entendre dire “oui”.
Il se rapproche. D’un pas. Puis deux.
Elle ne recule pas.
Un frisson la traverse, malgré elle. Elle se déteste de sentir son cœur accélérer. Pas à cause de la peur. Non. À cause de cette tension fébrile. Cette énergie animale qui pulse entre eux, dense, trouble, magnétique.
— Et si je dis non ? souffle-t-elle.
Il penche la tête. Son regard descend lentement sur sa bouche.
— Alors, on négociera autrement.
Le silence se tend, brutal.
Elle devrait claquer la porte. Hurler qu’elle n’est pas un pion. Qu’elle ne se couche pas devant un ennemi.
Mais au lieu de ça, elle s’approche encore.
Ses doigts frôlent l’accoudoir du canapé, comme si elle cherchait un point d’ancrage. Il ne la touche pas. Il n’a pas besoin. Son regard la touche déjà.
— Vous croyez m’impressionner ? lâche-t-elle dans un souffle.
— Non. Je crois que vous êtes déjà impressionnée. Et que vous me détestez autant que vous avez envie de me goûter.
Elle le giflerait. S’il avait tort.
Mais il a raison.
Et ça, c’est plus dangereux que toutes les armes qu’il pourrait brandir.
Parfait. Voici le Chapitre 2 de Dans les bras de l’ennemi. Il est long, charnel, tendu un jeu de domination feutrée, de regards trop brûlants, de silences trop lourds. Rien n’explose encore… mais tout menace d’imploser.Quelques mois ont passé.La villa, autrefois théâtre de luttes et de trahisons, s’est métamorphosée.Les murs portent encore les cicatrices du passé, mais l’air y est plus léger, presque paisible.Les jardins ont retrouvé leurs couleurs — le vert des feuilles, le parfum des roses, le murmure de la fontaine.Le chaos a laissé place à la vie.Elena marche lentement dans l’allée bordée de fleurs, sa main glissée dans celle d’Adriano.Leur pas est synchronisé, comme si le temps avait fini par s’accorder à leur rythme.Chaque pierre, chaque arbre semble témoigner de ce qu’ils ont traversé.Le vent joue dans les cheveux d’Elena, portant avec lui les échos lointains d’une guerre qu’ils ont gagnée, mais à quel prix.Elle s’arrête un instant, regarde le ciel clair, puis murmure d’une voix hésitante :— Tu crois qu’on y arrivera ?Adriano tourne la tête vers elle, un léger sourire aux lèvres.Son regard n’a plus la dureté d’autrefois, seulement la sérénité de celui qui a tout donné et tout reco
Le soleil se lève lentement sur une ville encore marquée par les cicatrices de la guerre.Les toits fumants portent encore les traces du chaos, mais dans la villa d’Adriano, l’air a changé.Il est plus léger, comme lavé par la promesse d’un nouveau départ.L’odeur du café se mêle à celle du bois brûlé, et pour la première fois depuis des mois, le silence n’est pas une menace.Le dernier assaut contre Riccardo a tout balayé.Son empire, bâti sur la peur et la trahison, s’est effondré sous le poids des alliances retrouvées.Les noms qu’on murmurait dans l’ombre ont disparu, les comptes se sont réglés, et la guerre s’est éteinte, non pas dans un cri, mais dans un souffle.Adriano se tient sur la terrasse, le regard perdu vers la ligne d’horizon.Sous ses yeux, la ville renaît lentement — les ouvriers réparent, les passants reprennent confiance, les sirènes se taisent.Ses mains, marquées par les batailles, tremblent légèrement.Il n’a pas peur, il se réhabitue à la paix.Elena le rejoint
L’aube se lève dans un fracas silencieux.Au loin, le grondement des moteurs déchire le calme apparent de la villa.Des silhouettes sombres se découpent dans la poussière, des véhicules noirs s’alignent sur l’allée pavée.Les Lombardi arrivent.Leur arrivée a la précision d’une armée en marche.Costumes impeccables, regards froids, mains gantées.Leurs hommes se déploient avec discipline, comme s’ils prenaient possession d’un territoire conquis.Elena les observe depuis la terrasse, les bras croisés.Son instinct se crispe. Chaque pas, chaque geste de ces alliés improvisés respire la menace.— Ils viennent pour nous aider, murmure Matteo en s’approchant d’elle.Mais surtout pour prendre leur part du gâteau.Elena esquisse un sourire amer sans quitter la scène des yeux.— Les alliances fondées sur la peur finissent toujours dans le sang.Dans la cour, Adriano s’avance pour accueillir le patriarche des Lombardi : Don Vittorio, un homme massif, au regard perçant comme une lame.Leurs mai
La nuit a avalé la villa, étouffant les dernières braises du jour sous un manteau d’ombre et de silence.Dans le grand bureau, les lampes diffusent une lumière dorée sur les cartes, les dossiers, les visages tendus.Le monde extérieur bruisse encore du chaos de la veille, mais ici, un calme étrange règne — le calme des décisions qui changent tout.Un messager vient de partir, laissant derrière lui une simple enveloppe noire scellée à la cire rouge.Le sceau porte un symbole : un lion couronné.Le clan Lombardi.Adriano fixe la lettre posée sur la table, les coudes appuyés, les doigts joints.Son regard est sombre, presque hanté.— Le clan Lombardi nous propose une trêve, dit-il enfin, sa voix grave résonnant dans la pièce.Une alliance pour abattre Riccardo.Matteo, toujours pâle de sa blessure, fronce les sourcils.— Une trêve avec eux ? C’est signer un pacte avec le diable.Ils changent de camp au gré du vent. Aujourd’hui ils nous tendent la main, demain ils nous plantent un couteau
Le jour se lève à peine sur la ville, une lueur pâle glissant entre les stores tirés de la salle de réunion.L’air y est lourd, saturé de tension et d’électricité contenue.Personne ne parle.On entend seulement le tic-tac régulier d’une horloge murale, comme un compte à rebours vers l’inévitable.Adriano est debout, immobile, les mains posées sur la table en verre.Ses yeux noirs fixent la porte fermée, impassibles, mais brûlants de colère froide.Chaque respiration est mesurée, chaque geste calculé.Ce matin, il ne négociera pas. Il tranchera.Lorsque la porte s’ouvre, le silence se brise.Riccardo entre, précédé par le bruit sec de ses bottes sur le marbre.Son sourire est celui d’un homme sûr de sa puissance, habitué à ce que la peur fasse le travail à sa place.Derrière lui, deux de ses lieutenants le suivent, arrogants, mains dans les poches, comme s’ils entraient chez eux.Les hommes des deux clans se tiennent à distance, en ligne, tendus comme des arcs prêts à rompre.Chacun s
La villa respire sous un calme trompeur.Le vent du soir glisse entre les colonnes de marbre, porte avec lui l’écho lointain des vagues, et pourtant, tout semble suspendu.Sous les dorures et le silence feutré, la tension couve comme un feu sous la cendre.Chaque regard devient soupçon, chaque mot menace.Adriano réunit son conseil restreint dans le grand salon.Les chandeliers jettent une lumière tremblante sur les visages fermés.Autour de la table, les plus proches, les plus dangereux, ceux dont la fidélité se mesure en silence.Elena, debout derrière Adriano, observe, les bras croisés, le cœur prêt à éclater.— Riccardo nous a frappés fort, commence Adriano d’une voix calme, mais chaque syllabe porte la promesse d’une vengeance.Il a détruit nos entrepôts, corrompu nos routes, tenté d’atteindre ce que j’ai de plus cher.Ses yeux glissent vers Elena, sans insister, mais le message est clair.— Mais il a commis une erreur, poursuit-il.En s’attaquant à elle, il s’est exposé.Un murm
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