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Hey, salut toi đ . La forme ? Alors.... Je te remercie d'ĂȘtre lĂ et de voyager dans mon monde. La premiĂšre partie de l'aventure entre Ămilie et Vittorio vient de prendre fin. Es-tu prĂȘt(e) pour la suite ? Je parie que oui. Alors... attache bien ta ceinture car ça va pĂ©ter. Gros bisous đ..... Aah, j'ai failli oublier đ . Si vraiment tu aimes ma plume, alors je te prie de me soutenir. Un magnifique commentaire, vote ou tout ce que tu voudras, remplira mon cĆur d'Ă©crivaine. Merci beaucoup. Ă bientĂŽt ----------------------------------------------
Vittorio tout comme Sarah, ne pense quâĂ eux-mĂȘmes, Ă leurs sentiments et Ă leur peur de me perdre. Mais⊠Et moi dans tout ça ? Quâen est-il de ma peur, Ă moi ? La peur de ne plus pouvoir ĂȘtre heureuse. La peur de ne plus pouvoir vivre une histoire dâamour aussi passionnante et brĂ»lante. La peur de me perdre. Et oui. En acceptant la vie que mâimpose Vittorio, loin de lui, je perdrai, non seulement lui, mais je me perdrai Ă©galement. â Je te comprends, Sarah. Mais toi, me comprends-tu ? demandai-je en remuant les doigts. Je lâaime. Jâaime Vittorio. â Tant que ça, Ămilie ? tu nâas passĂ© que quelques mois avec lui. Câest peut-ĂȘtre une simple passade, lâadrĂ©naline de la situation. Ăa va te passer comme avec tous les autres, dit-elle. â Vittorio nâest pas, tous les autres. Tu penses que je me serais offerte Ă lui, si ce nâĂ©tait pas du sĂ©rieux ? demandai-je en la scrutant. â Oui jâavais oubliĂ© ce dĂ©tail. Tu as raison. Mais bon, a
Je fermai les paupiĂšres un instant, essayant de contenir mes larmes mais câen Ă©tait trop. Je fondis dans les bras de Sarah.â Je me sens si seul sans lui, Sarah. Comment a-t-il pu me faire ça ? â Je suis sĂ»r quâil regrette tout ce quâil a fait. MalgrĂ© toutes ses ignominies, il tâa toujours aimĂ©, ma chĂ©rie.â Il Ă©tait la seule chose de concret, de vrai qui me sois arrivĂ©e durant ces derniers mois, dis-je en pleurs.â Euh, lĂ je suis flou. Je pensais que tu faisais allusion Ă ton pĂšre, rĂ©pliqua Sarah en me regardant.Dâun revers de main, jâessuyai mes larmes et lâinvitai Ă sâasseoir prĂšs de moi, sur le lit.â Je faisais allusion Ă Vittorio, lâhomme qui mâavait kidnappĂ©, dis-je.â Quoi ? Comment ça ? je ne comprends rien du tout lĂ .Je pris une profonde respiration avant de commencer Ă conter mon histoire de ces six derniers mois. Au fur et Ă mesure que je narrais les faits, je pouvais dĂ©crypter les diffĂ©rentes expressions qui sâaffichaient sur le visag
Comment je me sens ? Jâavais tout simplement envie dâhurler, de pleurer comme je ne lâavais jamais fait. Pas parce que je nâai plus dâargent mais parce que ma vie est devenue une triste chanson. â Sarah, dis Ă ton chauffeur de me conduire chez moi, dis-je. â Mais, il nây aucun moyen pour que tu puisses y entrer. Câest⊠â Sarah⊠lâinterrompis-je dâun ton sec. â Ok. Nick, nous allons faire un saut Ă cette adresse avant de rentrer, annonça-t-elle Ă son chauffeur en lui montrant lâadresse sur son tĂ©lĂ©phone. Il acquiesça et nous prĂźmes la direction de mon ancienne demeure. AprĂšs un quart dâheure, le vĂ©hicule stationna devant la rĂ©sidence Moretti. Enfin, ancienne rĂ©sidence. Je sortis de la voiture, les mains dans les poches de mon pull-over et je mâarrĂȘtai devant le portail. Je levai les yeux pour contempler la vue de cette maison qui mâa abritĂ© durant toutes ces annĂ©es. Les moments oĂč je sautais sur mon lit, quand je pleurais lâabsence de ma mĂšre, les rires et les disputes
La rĂ©ceptionniste me communiqua le nom de lâhĂŽtel que je partageai aussitĂŽt avec Sarah. Je raccrochai quelques minutes aprĂšs et me dirigeai Ă nouveau dans la chambre. Je vis ma valise, posĂ©e dans un coin de la chambre. Je la rĂ©cupĂ©rai et dĂ©guerpit de lâhĂŽtel sans me faire prier. La voiture de Sarah ne tarda pas longtemps avant de stationner devant lâentrĂ©e de lâhĂŽtel oĂč je lâattendais patiemment. Lorsque son regard croisa le mien, en sortant de la voiture, elle se jeta dans mes bras, le visage en larmes.â Ămilie, tu mâas tellement manquĂ©, murmura-t-elle en me serrant.Ă cette allure, je sens quâelle va mâĂ©touffer.â Tu mâas manquĂ© aussi, sĆurette, rĂ©pondis-je en cĂąlinant son dos.Enfin, elle me libĂ©ra de son Ă©treinte, quelques instants aprĂšs.â Putain, oĂč est-ce que tâĂ©tais ? Est-ce quâils tâont fait du mal ? Comment es-tu revenue, tu tâes Ă©chappĂ©e ?Je comprends que Sarah soit si inquiĂšte et attentionnĂ©e envers moi mais ne pourrait-elle pas mâĂ©pargner de son interrogatoire en ce
----- Ămilie -----Quand mes paupiĂšres se sont ouvertes, le plafond blanc et immaculĂ© au-dessus de moi mâa tout de suite frappĂ©e par sa froideur. Pas de murs familiers, pas dâodeur rassurante. Seulement un silence glacial, interrompu par le bruit du climatiseur. Mon cĆur se mit Ă battre Ă tout rompre. OĂč Ă©tais-je ? Je me redressai lentement, chaque mouvement rĂ©veillant une douleur sourde dans mon corps. Ma tĂȘte tournait encore, comme si jâĂ©mergeais dâun long sommeil forcĂ©, ce qui en rĂ©alitĂ©, Ă©tait le cas. Mon regard balaya la piĂšce. Les murs neutres, les meubles minimalistes, et la grande baie vitrĂ©e qui laissait entrer la lumiĂšre dâun soleil Ă©tranger. Une chambre dâhĂŽtel. Je sus immĂ©diatement que je nâĂ©tais plus au BrĂ©sil. La vue sur les collines verdoyantes me le confirmait : jâĂ©tais en Colombie. La rĂ©alitĂ© me heurta comme une gifle. Il mâa renvoyĂ©e. Vittorio. Le souffle me manqua Ă cette pensĂ©e. Mes mains tremblĂšrent en me souvenant de son regar
---------------------------------------------- Hey, salut toi đ . La forme ? Alors.... Je te remercie d'ĂȘtre lĂ et de voyager dans mon monde. La premiĂšre partie de l'aventure entre Ămilie et Vittorio vient de prendre fin. Es-tu prĂȘt(e) pour la suite ? Je parie que oui. Alors... attache bien ta ceinture car ça va pĂ©ter. Gros bisous đ..... Aah, j'ai failli oublier đ . Si vraiment tu aimes ma plume, alors je te prie de me soutenir. Un magnifique commentaire, vote ou tout ce que tu voudras, remplira mon cĆur d'Ă©crivaine. Merci beaucoup. Ă bientĂŽt ----------------------------------------------








