Chapitre 6
LE POINT DE VUE DE LÉO
— Oh bébé, oh bébé, oh bébééééé.
—Putain Je ne suis pas ton bébé, arrête .
Ces gémissements m’envoient des ondes dans tout le corps, me motivant à aller plus fort. Elle bouge ses hanches sur ma langue et c’est là que je comprends directement que cette nana est une patate, une vraie pétasse, et moi j’adore les grandes pétasses.
J’ai retiré mon doigt légèrement et j’ai vu ses lèvres s’affaisser puis j’ai une fois encore enfoncé la fraise. Cette fois je la pénétrais avec le bout de la fraise. Je ressors mon doigt et je la goûte. Il y avait le jus de sa chatte dessus et ça sentait terriblement bon. J’enfonce encore une fois la fraise pour ressortir un peu du jus de sa chatte et je lèche complètement tout le jus qui en ressort. Puis maintenant je lui tend le doigt qu'elle suce à son tour.
Ensuite elle me supplie de la prendre sauvagement :
— vas-y maintenant, prends-moi sauvagement.
Je retire ma bite de mon caleçon et je la pose sur sa chatte comme un coup de marteau. Je tape fort sur sa chatte et elle referme ses cuisses mais je les écarte à nouveau. Je passe le bout de ma bite sur sa féminité, histoire d’avertir sa petite chatte que je m’apprête à la déchirer.
Elle envoie sa main forçant ma bite à la pénétrer mais j’écarte à nouveau sa main.
Je la regarde, haletante, les cuisses encore tremblantes d’attente. Mes mains maintiennent fermement ses hanches pendant que je dirige ma queue contre son entrée chaude et gonflée. Je pousse lentement au début, juste la tête, et son corps se cambre aussitôt.
— Ohhh bébéééé…
—Pour une fois,je ne suis pas ton bébé. Compris ?
—Oui , compris ahhh .
Ses gémissements m’enivrent. Je la pénètre plus profondément, sentant sa chatte m’engloutir avec une chaleur moite qui me rend fou. Ses ongles se plantent dans les draps, son souffle court, et je commence à donner des coups de reins, d’abord lents, puis de plus en plus rapides.
Le bruit de nos corps qui claquent résonne dans la chambre. Elle gémit, elle crie, ses jambes s’écartent encore plus comme pour m’offrir toute sa profondeur. Je la prends sauvagement, sans retenue, la faisant vibrer sous mes coups de bassin.
— Ouiii, déchire-moi , plus fort, plus fort !
Je grogne, grisé par ses supplications. Mes mains glissent sur sa taille, puis je lui claque les fesses, les laissant rouges sous l’impact. Elle hurle de plaisir, son corps tremble, et ça me rend encore plus brutal.
Je la retourne d’un geste sec, allongée sur le dos, ses seins bondissant à chaque mouvement. J’écarte ses jambes et je la pénètre à nouveau d’un seul coup. Elle pousse un cri, ses yeux se ferment, ses mains agrippent mes épaules. Je plonge en elle avec rage et désir, chaque va-et-vient me rapprochant de l’explosion.
Son ventre se contracte, elle halète, sa voix se brise entre mes baisers et ses cris :
— Ohhh putain , je vais jouir, je vais jouir !
—Vas-y laisse toi aller , jouis pour moi.
Je sens sa chatte se resserrer violemment autour de ma bite, ses gémissements se changent en hurlements de plaisir. Je continue de la pilonner, haletant, le corps en sueur, jusqu’à sentir ma propre jouissance me submerger.
Je grogne à l’oreille, mes reins claquent une dernière fois contre elle, et je jouis puissamment, me vidant au plus profond de sa chatte. Nos corps se crispent ensemble dans un orgasme sauvage, incontrôlable, qui nous arrache toute notre énergie.
Puis je m’écroule sur elle, haletant, nos souffles se mêlant, le cœur battant à l’unisson. Ses gémissements se calment, remplacés par un sourire épuisé, et je murmure encore, la gorge brûlante :
— putain …
Je reste allongé sur elle, ma respiration saccadée contre son cou, mes mains toujours accrochées à ses hanches comme si j’avais peur qu’elle disparaisse. Son corps est brûlant sous le mien, encore parcouru de frissons. Je relève doucement la tête et je plonge mon regard dans ses yeux à moitié fermés, noyés de plaisir. Elle sourit, un sourire fatigué mais terriblement satisfait.
Je passe ma langue sur ses lèvres, je l’embrasse lentement cette fois, savourant son goût, bien loin de la brutalité de nos instants précédents. Ma bite est encore en elle, palpitante, et je sens ses muscles intimes me serrer comme pour m’empêcher de partir.
Elle gémit encore, incapable de répondre. Je caresse ses seins, ses tétons encore durs sous mes doigts, et je comprends que malgré l’orgasme violent qu’elle vient d’avoir, son corps en redemande déjà.
Je me redresse lentement, ma queue toujours bien enfouie dans sa chatte humide. Je la regarde, étalée sous moi, soumise et offerte.
Un nouveau coup de reins sec la fait crier, ses jambes s’enroulent autour de ma taille comme pour m’attacher à elle. Et moi, haletant, je reprends le rythme… décidé à lui montrer que la nuit est encore longue.
Je sens son corps encore trembler sous moi, mais je n’ai aucune intention de lui laisser de répit. Mes mains agrippent ses cuisses, je les écarte brutalement et je repars, plus profond, plus violent. Le claquement sec de ma queue contre sa chatte trempée résonne dans la chambre, mêlé à ses cris aigus qui me font bander encore plus fort.
— Ohhhh putain vas-y, t'arrête pas, arrête surtout pas !
Je grogne, mes reins claquent encore et encore, comme si je voulais la déchirer en deux. Chaque coup de bassin fait jaillir un gémissement nouveau, ses ongles labourent mes épaules, ses seins bondissent sous mes assauts. Je vais vite, sauvage, bestial, et je la vois perdre totalement le contrôle.
— Plus fort ! Plus fooort ! Ouiiii défonce-moi !
Ses mots sont de l’essence sur mon feu. Je la soulève d’un geste, la renverse sur le ventre, et je l’attrape par la taille pour la prendre en levrette. Je tape mes hanches contre ses fesses rebondies, mes mains claquent dessus avec violence, laissant des marques rouges. Elle hurle de plaisir, sa voix se brise :
— OHHH mon DIEU,
Ces mots me traversent comme un éclair. Un sourire féroce étire mes lèvres. J’attrape sa nuque, je l’écrase contre le matelas et je continue de la pilonner sans relâche, mes gémissements se mêlant aux siens.
Sa chatte se resserre si fort autour de ma bite que je sens l’orgasme la dévaster encore une fois. Et moi, fou de rage et de plaisir, je continue de l’enchaîner, décidé à lui graver à jamais dans la peau ce nom qu’elle vient de me donner.
Je la tiens fermement, la nuque plaquée contre le matelas, mes reins frappant sans relâche contre ses fesses. Son corps entier tremble sous moi, sa voix n’est plus qu’une suite de cris brisés et de supplications haletantes.
— Ouiiii ! Mon dieu , baise-moi ! Déchire-moi !
Ces mots me rendent fou. Mon souffle devient bestial, chaque coup de bassin plus violent que le précédent. Sa chatte m’engloutit avec une force incroyable, chaude, serrée, dégoulinante de désir. Je sens ses contractions m’enserrer comme un poing vivant, m’arrachant des grognements rauques.
—ahgh Putain ! Murmurai-je
Je frappe plus fort, plus vite, mes mains marquant ses hanches, ses fesses rougies par mes claques. Son corps se cambre, ses jambes tremblent, et d’un cri strident, elle explose. Sa chatte se contracte de partout, ses spasmes me lacèrent de plaisir, et je la sens jouir sauvagement, incontrôlable, comme si elle se vidait entièrement sur ma queue.
Cette étreinte brûlante m’emporte à mon tour. Mes reins claquent une dernière fois, ma bite gonfle et je jouis violemment en elle, me vidant par vagues puissantes au plus profond de sa chatte convulsée.
— Oh putaaaain…
Mon corps tout entier se contracte, , je la pénètre encore pendant que mon sperme la remplit. Elle crie, sa voix brisée.
— Mon dieu… wahou…
Je m’effondre sur elle, épuisé, en sueur, le souffle court. Nos corps tremblent encore, liés par ce déferlement animal. Ma bite pulse encore en elle, prisonnière de ses dernières contractions, et je sais qu’à ce moment précis… elle m’appartient complètement.
Ses
doigts serrent les draps, son sourire épuisé se dessine malgré sa respiration saccadée.
Chapitre 7 LE POINT DE VUE D'ISABELLA Le déjeuner de famille aurait pu être un tableau d’élégance romaine : argenterie polie, soleil filtré par les rideaux de soie, vin blanc dans des verres gravés au blason des Romano.Mais pour moi, c’était surtout une mise en scène, un théâtre où je jouais un rôle que je n’avais jamais choisi.Je reposai ma fourchette avec un petit bruit sec, parfaitement calculé. Je savais déjà que le sujet viendrait mon père n’avait pas cette patience italienne que les journaux aiment tant à lui prêter.Et il vint.— Isabella, dit mon père, le regard posé sur moi comme sur une acquisition mal rangée, il est temps que nous parlions de ton futur.Je levai à peine les yeux, feignant l’ennui le plus distingué.— Mon futur ? Mon cher père, si c’est encore une question de mariage, je t’arrête tout de suite.Il plissa le front, signe qu’il était prêt à s’imposer, mais je poursuivis avant qu’il n’ouvre la bouche.— Cinq mois, Isabella. Cinq mois avant ton mariage avec
Chapitre 6 LE POINT DE VUE DE LÉO — Oh bébé, oh bébé, oh bébééééé.—Putain Je ne suis pas ton bébé, arrête .Ces gémissements m’envoient des ondes dans tout le corps, me motivant à aller plus fort. Elle bouge ses hanches sur ma langue et c’est là que je comprends directement que cette nana est une patate, une vraie pétasse, et moi j’adore les grandes pétasses.J’ai retiré mon doigt légèrement et j’ai vu ses lèvres s’affaisser puis j’ai une fois encore enfoncé la fraise. Cette fois je la pénétrais avec le bout de la fraise. Je ressors mon doigt et je la goûte. Il y avait le jus de sa chatte dessus et ça sentait terriblement bon. J’enfonce encore une fois la fraise pour ressortir un peu du jus de sa chatte et je lèche complètement tout le jus qui en ressort. Puis maintenant je lui tend le doigt qu'elle suce à son tour.Ensuite elle me supplie de la prendre sauvagement :— vas-y maintenant, prends-moi sauvagement.Je retire ma bite de mon caleçon et je la pose sur sa chatte comme un co
Chapitre 5 LE POINT DE VUE DE LÉONARDO Je rentre dans ma chambre comme on revient d’une guerre perdue : lourd, sale de pluie, les épaules encore tendues. La porte claque derrière moi avec ce bruit sec qui dit qu’il n’y aura pas de discussion. La chambre est celle que j’ai toujours eue trop grande pour un homme seul, trop petite pour le poids du silence qui l’habite. Je jette la veste sur une chaise, les gouttes trouent l’air autour de moi comme des petites questions sans réponse.Je m’avance vers la console où repose la bouteille. J’ai toujours gardé ce flacon pour les moments où le monde devient trop net : un whisky dur, sans fioritures. Je verse. Le liquide coule, ambré, et je soulève le verre. Deux gorgées, et la chaleur monte comme un mensonge confortable. Trois. Le métal du liquide ralentit les bords du monde.Puis quelque chose cède. C’est d’abord un souffle, puis un hoquet, puis des sanglots trop gros pour un homme qui s’est promis de ne jamais pleurer en public. Mes mains t
Chapitre 4LE POINT DE VUE DE LÉONARDO — Qui c’était, au juste ? demandai-je à Matteo, tandis qu’on s’éloignait du vitrage où elle venait de disparaître.Il souffla, comme si le nom qu’il allait prononcer pesait plus lourd qu’un sac de pierres.— Isabella Romano, répondit-il. La fille de Don Romano. L’ennemi — du moins celui qu’on dit être l’ennemi de ton père.— Ah, fis-je simplement. Je comprends maintenant.Il y eut un silence chargé. Puis, d’un ton qui voulait masquer toute agitation, j’ajoutai :— Très bien. Allons faire ce pourquoi nous sommes venus.Matteo hocha la tête, soulagé peut-être que j’évitais de m’enferrer dans autre chose. Nous suivîmes l’employé jusqu’à la salle VIP masculine un sanctuaire feutré où la lumière se pliait et où l’on pouvait croire, pendant un moment, que rien d’important ne se passait.Le massage fut un rituel mécanique et apaisant : mains expertes qui glissaient, pressions calculées qui dénouaient des nœuds que je n’avais pas su nommer depuis des an
Chapitre 3Les couloirs étaient silencieux, tapissés de bois sombre, éclairés par des lumières dorées qui semblaient flotter. On passait devant plusieurs portes closes, derrière lesquelles filtraient parfois un rire étouffé, un soupir, ou simplement le bruit léger de l’eau.— Il y a deux sections VIP, précisa l’homme en marchant. Une pour les femmes, une pour les hommes.Je hochai la tête sans répondre. Puis, au détour d’un couloir, mon regard fut happé.Derrière une large vitre dépoli, légèrement transparente, une salle s’offrait à moitié à la vue.Une femme était allongée sur une table, nue sous une serviette blanche. Ses hanches rondes épousaient la lumière, ses bras détendus pendaient de chaque côté, ses cheveux bruns glissant sur le rebord.Deux masseuses travaillaient lentement sur son dos, méthodiques, précises.Je m’arrêtai net.Matteo fit quelques pas avant de se retourner, me suivant du regard.Je ne dis rien. Je regardais simplement.Ce n’était pas de la curiosité vulgaire
Chapitre 2LE POINT DE VUE DE LÉO Je me tenais encore sous la pluie, la villa derrière nous s’éloignant comme une respiration qu’on retient trop longtemps, quand je me tournai vers Matteo.— Fais-moi découvrir un club, dis-je. J’ai besoin de changer d’air.Il me fixa, étonné, puis lassé, comme s’il devinait que je cherchais à noyer autre chose que la pluie.— Tu devrais rester, Leo. Tu devrais être là, à l’enterrement. C’est ton père.Je sentis la remarque comme un poids déplacé sur ma poitrine. Je l’admis tout haut, parce que Matteo avait ce droit de le dire et parce que, malgré tout, il avait souvent raison.— Je te respecte, Matteo. Tu as raison. Mais non. Je ne veux pas assister à ça. Je l’ai déjà vu.Il fronça les sourcils.— Comment ça, tu l’as déjà vu ?— Je l’ai déjà vu, répondis-je. Les rites, les poses, les consolations hypocrites… J’ai vécu ça toute ma vie. Aujourd’hui, je veux autre chose. Juste un endroit où on m’oublie pour une heure.Je marquai une pause, jaugeant sa r