LOGINEt puisque Xavier était un homme très puissant en matière de richesse, tout ce qu’il dit est toujours maintenu. Étant allé demander la permission au directeur de l’école où j’enseignais, j’ai arrêtée la pédagogie en pleine année scolaire. Arrivée sous son toit, il a promis de me trouver un autre emplacement à l’année qui allait suivre. Mais à cause de la grossesse d’Elcha qui a intervenu, je n’ai pas pu commencer à l’année qui a immédiatement suivi, sauf à l’année qui a suivi plus tard.
Avec Xavier, je ne manquais absolument de rien ; je dis rien. Il y a de l’argent et on fait la vie comme bon nous semble. Reconnu sous le titre "Procureur", tout le monde lui accordait le respect. À la cérémonie de la sortie d’Elcha quand elle avait deux semaines, on avait reçu une importante d’invités.
Xavier, étant très tôt devenu père, était très content et m’accordait beaucoup son attention. Il était tellement friqué que les jeunes filles de la ville lui couraient après. Certes ! Xavier ne prêtait aucune importance à leurs simagrées. Il m’aimait et c’était tout. En weekend, on allait en balade en voiture. J’étais assise à sa droite et roulant doucement, il me faisait découvrir le beau paysage des grandes villes. On parlait avec joie et émotions. Elcha, assise sur mes jambes, observait le beau paysage, elle aussi. Dans mon quartier, tout le monde admirait notre couple. Les femmes qui subissaient le pire sous le toit de leur époux coulaient les larmes toutes les fois qu’elles nous voyaient. Derrière leurs pleurs, je voyais se cacher une immense douleur. Mais c’est comme on dit que « Jamais, la femme n’est satisfaite ».
Qui pourrait imaginer que malgré cette grâce divine que Dieu m’a accordée, j’oserais tromper un jour Xavier ?
Eh oui, malgré tout ce qu’il me fait. Malgré l’argent de poche qu’il me donnait après mon salaire dans la nouvelle école où j’enseignais, qui pourrait croire une seconde que je pourrais commencer par prendre des positions extraordinaires avec Guy, le répétiteur de ma fille ?
Eh oui ! Tout a chamboulé depuis que mon époux et moi avons constaté que notre fille devenait moins brillante à l’école. Dans ses huit premières classes, tout allait bien. Mais le désarroi a fini par s’installer lorsque l’année dernière, nous avons été surpris, Xavier et moi, des notes d’Elcha. Et puisqu’aucun bon parent au monde ne peut laisser son enfant échouer dans la vie, nous avons très rapidement pris une décision ; celle de lui employer dans les prochains jours, un répétiteur. Bien sûr, nous lui en avons trouvé un. Avec l’effort de ce dernier, Elcha a pu s’améliorer un tout petit peu mais ce n’était pas encore ce qu’on recherchait. Xavier et moi nous sommes encore concerté et nous avons retenu qu’on devrait lui changer de répétiteur. L’idée était venue de moi et Xavier, comme d’habitude, l’a juste validée. J’ai rapidement lancé sur les réseaux sociaux, la recherche d’un répétiteur très performant. Et sans dire long, j’en ai trouvé dans les moins de six heures de temps. Lui ayant envoyé les coordonnées de ma résidence suivi de mon numéro de téléphone. Guy, dans les prochaines heures qui ont suivi, est venu me voir avec sa belle moto.
Oui, il faut que je l’avoue ! Guy, ne sachant rien de son statut social, m’a séduit par son charme. Avec ses verres fumés calés sur le nez, j’ai perdu le moral. Bien sapé, j’ai entrouvert la bouche pour baver et heureusement, la salive ne m’était point sortie.
– Bon…Bonjour monsieur…, balbutiai-je.
– Bon…Bonjour ? Mais il est dix-huit heures déjà, madame ! Sinon, comment allez-vous ?
– Oh, ça va ! Et vous ?
– Je vais très bien ! Mais s’il vous plaît madame, pourriez-vous me tutoyer ?
– Euh…d’acc…d’accord ! Venez avec moi…
– Pourtant vous avez promis de me tutoyer tout à l’heure…
– Oh, désolée ! Suis-moi !
Le mignon gars abandonna sa grosse moto et me suivit.
– Ne vas-tu pas faire entrer dans la cour ta moto ?
– Oh, non ! Personne ne pourra la toucher, me répondit-il.
L’étranger était non seulement mignon mais il était aussi courageux.
En avant, je l’amenai dans le grand salon où suivait la télévision, ma fille.
– Elcha, va m’apporter un bidon d’eau dans le réfrigérateur.
– D’accord, maman ! Bonne arrivée monsieur.
– Oui, merci ! répondit l’étranger.
– Assieds-toi s’il te plaît et commence à te présenter en attendant que ma fille ne vienne.
– Merci madame ! Sinon, on m’appelle Guy Delfon. J’ai 31 ans. Je suis enseignant dans les spécialités suivantes : Mathématiques ; Physique ; SVT.
– Wouah ! Enchantée de faire votre connaissance…
– Ta connaissance…
– Oh, toutes mes excuses ! Je suis ravie de faire ta connaissance ! C’est exactement dans ces trois spécialités que ma fille ne se retrouve pas. Si tu peux l’aider à s’en sortir dès maintenant avant la prochaine rentrée scolaire, ça me ferai énormément plaisir…
– Ne vous inquiétez pas, madame ; vous ne serez pas déçue de m’avoir aux côtés de votre fille. Je suis prêt à lui fournir mon savoir-faire !
Marchant, la tête baissée, je me posais des questions au plus profond de moi ; des questions qui n’auraient peut-être jamais de réponse. Les cours, cela fait plusieurs jours que je n’y allais plus. Je ne sais pas si c’étaient les grosses fesses et gros seins de Florence qui m’empêchaient d’aller au cours. Or, c’est la seule raison qui me laissait une place sous le toit de mon oncle.Pendant deux heures de temps, je me suis donné du plaisir à me promener ; non, à vadrouiller. Le crépuscule, cédant place à l’obscurité, rendait tout le ciel noir.Revenu à la maison, j’ai vu mon oncle et son épouse au salon. À leurs côtés, s’était assise Charlotte. À mon entrée dans la chambre, je me suis approché de mon oncle et l’ai salué avec tout le respect du monde. J’avais le cœur qui battait parce que, voyant sa fille préférée à ses côtés, je ne sais pas si elle avait peut-être oublié les billets que je lui avais remis.– Oui, fiston, comment vas-tu ? m’a-t-il répondu avec sourire.– Je vais bien,
Voyant ma vie foutue, je me suis plongé en larmes. Dans cette circonstance, je savais que seules mes larmes pouvaient me sauver si et seulement, cette fille était de bon cœur.Voyant ma vie s’écrouler, je me suis fondu en larmes.– S’il te plaît Charlotte, je te jure que je ne reprendrai plus jamais !– Désolé, Daniel ! Aucune goutte de tes larmes ne me fera changer de décision, crois-moi !Sous mes yeux, Charlotte s’est levée et s’est dirigée vers la porte. Tête basse, je laissais couler les larmes en quantité.Charlotte, en quelques minutes, est partie de ma chambre, me laissant dans l’inquiétude et la tristesse.Quelques minutes après son départ, est revenue Florence.– Qu’est-ce qu’elle a dit…– S’il te plaît, va-t-en ! Je suis déjà en danger…– Ne dis pas ça ! J’ai la solution…– Quelle solution ? Rien ne peut arranger cette situation…– Ne dis pas n’importe quoi ! Tiens ces trois billets de dix mille francs et va rapidement dans sa chambre. Remets-lui les billets et promets-lui
Et puisqu’il n’y a jamais de conclusion sans expérience, j’ai gardé dans ma tête que j’allais essayer pour voir.J’ai levé mon regard vers la pendule murale et là, il sonnait quinze heures trente minutes.Parce que j’avais trop faim, je n’ai pas tardé à vider mon assiette. Florence, s’approchant de moi, a saisi les assiettes sans attendre une seconde et s’est dirigée vers la porte.Soulevant la bouteille, j’ai tourné la partie notice et ai commencé à lire les maladies que le produit était appelé à guérir. Parmi les troubles, il y avait bel et bien, l’éjaculation précoce.Trouvant cette maladie à la cinquième position, j’ai arrêté la lecture. Je n’ai même plus cherché loin. Je l’ai ensuite ouvert pour découvrir l’intérieur et là, l’odeur de la boisson de la boisson locale, communément appelée "Sodabi" a embaumé mes narines.Je reculais la tête soudain lorsqu’une silhouette, toutes nue, est entrée de nouveau dans ma chambre.Et puisque le corps nu de Charlotte ne m’était plus étranger,
Pendant une vingtaine de minutes, Florence avait célébré ma bite. Tournant mon regard à l’adresse de la pendule, midi était à l’approche.– Mince ! me suis-je écrié.Prise de peur, Florence arrête la pipe et me fixe.– Qu’y a-t-il ?– Regarde ! Le temps nous a surpris.Réalisant la vérité, elle a ouvert la bouche.– Dans ce cas, allons sur les divans au salon. Comme ça, lorsque la sonnerie sonnera, nous allons vite nous ranger et aller ouvrir.– Belle idée ! ai-je dit.Je la relève et…– Ramasse-moi et emmène-moi au salon comme une reine.Qui suis-je pour éviter de faire cela ?La ramassant comme une ordure, je l’ai emmenée au salon. M’approchant des meubles, je l’ai déposée calmement comme un œuf sur l’un des divan. Mon pénis, très rapidement, a repris sa forme dure. Il fallait le réchauffer. Et puisque le temps filait et Florence comprenait déjà quelque chose, elle s’est jetée là-dessus et à commencé à le chauffer avec sa bouche, sa langue et sa salive. Ses deux seins suspendus dans
Fermant calmement les yeux, je me suis mis à jouer dans ma tête la vidéo de ce moment impeccable ; ce moment chaleureux.Les yeux fermés, je voyais mon gros pénis en suspense dans la bouche de ma cousine. Et comme si je suis dorénavant accro au sexe de Florence, l’envie de la dévorer a commencé à me posséder.Fermant les yeux, je revivais la belle histoire comme si elle était en cours.***J’ouvre les yeux et je vois devant moi, ma cousine.Comme si je venais de me réveiller d’une transe, je frotte les yeux pour mieux voir et devant moi, était bien debout, Florence. Les souvenirs, comme une pluie, inondèrent mon crâne, me rappelant que ma cousine avait promis de revenir à dix heures.– Euh…il est déjà dix heures ? ai-je demandé.– Depuis ! Tu es certainement fatigué !– Trop ! Je vais me reposer un peu…– Non s’il te plaît, ne me fais pas ça ! Papa et maman y compris ma sœur vont revenir tout à l’heure.– Je sais, mais je suis fatigué !– S’il te plaît, viens me défoncer et à la fin,
Seule dans notre lit, on se parlait amicalement. On se touchait aussi de temps en temps. Ne nous suffisant pas, Florence s’est approchée de moi et est montée sur moi. Ses seins, en un coup, m’ont affaibli. Tout de suite, le joli corps de ma cousine a commencé par réveiller mon pénis qui, même en nous entendant parler depuis quelques minutes, ne réagissait pas.Soulevant la tête, il a commencé par cogner les jambes de Florence.– J’aime ce que me fait ta queue, a-t-elle murmuré calmement dans mes oreilles.Sa douce voix, tout de suite, a inséré une envie inimaginable dans mon corps et la serrant contre moi, les caresses commencèrent. Les bouches collées, le suçage des langues et des lèvres s’enchaînèrent. Ses seins en suspense dans mes mains, se faisaient maniés avec soin et précautions.Laissant de temps en temps ses seins, j’attrapais par derrière ses fesses que je maniais comme un boulanger manie le blé avant qu’il ne devienne la pâte.« Ah, vas-y ! Je suis toute à toi ! Tue-moi et







