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Nous avons péché
Last Updated:
2025-07-27 23:35:13
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MA VIRGINITÉ VENDUE AU SEIGNEUR DE LA MAFIA Nous avons péché
Chapitre 18 :Nous avons péchéPoint de vue : EliasElle dort, là, contre moi. Sa respiration douce, chaude, fait vibrer ma poitrine. Mon bras est passé autour de ses épaules nues, et sa peau contre la mienne me donne l’impression d’être suspendu entre rêve et réalité. Alaya. La femme de mon boss. Et pourtant… la mienne cette nuit.Je sais que je devrais partir. Qu’un mot, un regard, une caméra, suffirait à signer mon arrêt de mort. Mais je n’y arrive pas. Je la regarde et je suis incapable de bouger.Sa jambe glisse lentement sur la mienne, dans un demi-sommeil, et je sens son pied remonter contre mon mollet, doucement. Elle ne dit rien, mais elle sait. Elle sait que je suis encore éveillé. Que je brûle pour elle.Et puis, sa voix s’élève dans le noir, rauque, à peine un souffle :— Elias...Un frisson me parcourt.— Oui ?Elle ne répond pas tout de suite. Elle se retourne simplement, me fait face. Et son regard, malgré la pénombre, est clair comme l’eau. Elle pose sa main sur mon tor
MA VIRGINITÉ VENDUE AU SEIGNEUR DE LA MAFIA Dans le noir avec elle
Chapitre 17 : Dans le noir, avec elleLE POINT DE VUE D'ELIAS Je referme doucement la porte de sa chambre derrière moi. Dans mes bras, elle semble légère, presque fragile. Pourtant, Alaya est tout sauf faible. Elle a encaissé le choc, l’attaque, les tirs, le sang… mais c’est le silence après la tempête qui l’a fauchée. Un choc nerveux. Et ça, même les plus endurcis y succombent parfois.Je la dépose doucement sur le lit. Son visage est calme maintenant, presque paisible, comme si elle dormait depuis des heures. Ses cheveux noirs s'étalent sur l'oreiller comme un halo d'encre, et je suis obligé de détourner les yeux. Je n’ai pas le droit de la regarder ainsi. Pas moi. Pas le garde du corps de son mari.Je me baisse lentement pour lui retirer ses chaussures. Un claquement discret à la boucle, un soupir de ses lèvres. Je me fige. Mais elle ne se réveille pas. Juste un rêve peut-être. Ou un murmure.Je me redresse, prêt à partir. Mon cœur bat plus fort que je ne l’admets. J’ai besoin d’a
MA VIRGINITÉ VENDUE AU SEIGNEUR DE LA MAFIA Trouble dans la salle d'attente
CHAPITRE 16 : Trouble dans la salle d’attenteLE POINT DE VUE DE VUE D'ELIAS Je suis resté à la porte de la salle de soins, bien droit, les bras croisés sur ma poitrine, en essayant de garder l'esprit clair. La lumière tamisée de l’institut, le parfum d’huiles essentielles flottant dans l’air et les murmures étouffés des masseuses rendaient l’atmosphère presque irréelle.Elle était entrée quelques minutes plus tôt, avec ce pas léger et cette assurance nonchalante qui me faisait toujours quelque chose. Alaya.Quand elle est sortie de la chambre d’hôpital tout à l’heure, j’ai essayé de ne rien laisser paraître. Mon visage devait rester neutre, professionnel, comme toujours. Mais son parfum m’a suivi jusqu’ici. ou était-ce simplement elle ?Je me suis installé sur le petit fauteuil dans le coin, gardant la porte dans mon champ de vision. À travers la vitre dépolie, je distinguais vaguement les ombres mouvantes à l’intérieur. Elle se faisait masser. Sans doute nue ou presque. Mon esprit
MA VIRGINITÉ VENDUE AU SEIGNEUR DE LA MAFIA Le poids du silence
Chapitre 15: Le poids des silencesLE POINT DE VUE D'ELIAS— Madame, je vous prierais d’attacher votre ceinture.Elle a tourné les yeux vers moi, un brin amusée, et a attaché la ceinture lentement, ses doigts effleurant la boucle avec une lenteur presque... sensuelle. Elle n’a rien dit, mais ce silence-là parlait plus fort que n’importe quelle phrase.Pendant tout le trajet, j’ai lutté pour ne pas fixer son profil parfait, ses lèvres brillantes, sa nuque dégagée. Elle avait l’air ailleurs. Son regard flottait à travers la vitre, mais son corps, lui, dégageait une chaleur irrésistible. Elle croisait et décroisait les jambes, caressait distraitement son cou ou son bras. Rien de volontaire peut-être… mais c’était une véritable torture.Je me répétais intérieurement : Elle est mariée. À ton boss. Si Santino sentait juste une étincelle dans ton regard, il t’enterrerait vivant dans le coffre de cette voiture.Nous arrivons enfin à l’hôpital. Je coupe le moteur et descends immédiatement. Le
MA VIRGINITÉ VENDUE AU SEIGNEUR DE LA MAFIA J'affronte le destin
Chapitre 14 : J'affronte le destin LE POINT DE VUE D'ALAYA Dès que la porte s’est refermée derrière lui, j’ai soufflé longuement. Mes jambes flageolaient encore, mais j’étais debout. Vivante. En colère.La première chose qui m’est venue à l’esprit, c’est maman. Je devais aller la voir. Lui parler. Entendre sa voix. Toucher sa main. M’assurer qu’elle allait bien.J’ai foncé sous la douche. L’eau chaude a ruisselé sur ma peau, chassant mes frissons. Je me suis frottée avec rage, comme pour effacer les mots de Santino de mon corps. Puis je suis sortie, j’ai essuyé la buée sur le miroir, et mon reflet m’a fixée. Les yeux d’Alaya n’étaient plus les mêmes. Ce n’étaient plus ceux d’une fille fragile et brisée. C’était les yeux d’une femme qui reprenait lentement le contrôle.J’ai ouvert l’énorme dressing. Une lumière s’est allumée automatiquement. Des robes de luxe, soigneusement alignées. Des talons qui coûtaient sûrement plus cher qu’un an de loyer pour ma mère à l’époque. Des sacs griff
MA VIRGINITÉ VENDUE AU SEIGNEUR DE LA MAFIA Le déjeuner des loups
Chapitre 13 : Le déjeuner des loupsJe m’étais réveillée avec un poids sur la poitrine. Pas un de ceux qu’on peut nommer. C’était comme si l’air lui-même, dans ce manoir, était saturé de menaces silencieuses.Le manoir était beau, oui. Grandiose. Mais rien n’était plus terrifiant qu’une prison dorée. Et aujourd’hui, j’allais devoir m’asseoir à la même table que mon geôlier.La salle à manger était immense. Le plafond décoré de fresques italiennes anciennes, des lustres en cristal suspendus comme des bijoux, et une longue table en bois sombre, assez grande pour accueillir vingt convives. Mais ce matin, nous n’étions que quatre.Moi. Santino. Son frère, Luca.Et une poignée de gardes, debout, fusils croisés sur la poitrine, le regard vide mais prêt à bondir.Je me suis assise en silence, dans une robe que je n'avais pas choisie, maquillée comme une poupée qu’on exhibe. Devant moi, une assiette parfaitement dressée. Mais je n’avais pas faim. J’avais mal à la gorge. Aux yeux. Au cœur.San
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