Semua Bab M. Leroy, désolé, votre femme est décédée: Bab 641 - Bab 650

Le grand-père de Louis, bien qu'il se montre sévère, veillait avec une sollicitude dissimulée sur son petit-fils. Il lui avait caché la vérité, lui disant seulement que son père était accaparé par son travail, trop occupé pour rentrer à la maison. À cette époque, Louis, dans son innocence, croyait q

Ce jour-là, Céleste affichait un changement notable par rapport à son allure habituelle. Elle s'était légèrement maquillée, avait habilement enroulé ses cheveux et revêtait un élégant manteau de laine bleu lac. Ses boucles d'oreilles en saphir scintillaient à la lumière, accentuant la blancheur de s

Il était évident qu'Aristide avait épuisé toutes les ressources à sa disposition et avait réussi à rallier à sa cause une part substantielle des hauts gradés. Il était demeuré profondément convaincu de la défaite inévitable de Louis. Comment les choses en étaient-elles venues à ce point critique ?

Dans le garage souterrain, le visage d'Aristide était empreint d'une profonde gravité. L'écran de son téléphone affichait un numéro virtuel. Il a répondu d'une voix glaciale : « Si tu es là pour te divertir, je te conseille de rester silencieux. »« Je suis ici pour te parler d'une affaire sérieuse.

La première réaction de Céleste n’était pas la colère ; mais plutôt une perplexité profonde. Elle se demandait que pourquoi Louis ne pourrait s'entourer que de gens de telle valeur ? Et qu’en était-il de cette femme, qui, bien qu'elle lui ressemble un peu, semblait pourtant d’une nature étrange, dér