บททั้งหมดของ Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: บทที่ 171 - บทที่ 180

ZAREK« Mmmm... »Un gémissement désespéré s'est échappé de ma gorge tandis que je luttais contre la force invisible qui me maintenait suspendu dans les airs. J'essayais de parler, mais c'était impossible.Malgré la terreur instinctive qui s'infiltrait dans mon âme, la rage embrumait mon esprit, m'empêchant de réfléchir clairement.« Tu veux détruire tout ce que j'ai créé. Tu penses qu'il est injuste que les Selenias doivent se sacrifier pour mes erreurs. Crois-tu vraiment que je prends plaisir à envoyer mes filles préférées vers la mort ? »Les traits de ma sœur se sont déformés tandis que ces mots sortaient de ses lèvres, mais ce n'était pas elle qui parlait.« Ce n'est pas le moment, Zarek. Les conditions ne sont pas réunies. Même si tu massacrais chaque créature que j'ai façonnée pour les transformer en tes serviteurs, tu ne pourrais jamais vaincre Umbros. Mon temps ici est limité. Je suis fatiguée moi aussi, mon fils. »Elle s'est approchée et a effleuré ma joue. Ses doigts

CÉLINEZarek avait dû les laisser, et la vérité, c'était que le désir de le voir grandissait de plus en plus fort dans mon cœur.Je me suis habillée et me suis observée dans le miroir. Le corset serré affinait ma taille et soulevait ma poitrine dans le décolleté carré. Les manches légèrement tombantes dévoilaient mes épaules à moitié nues. La robe aérienne et magnifique tombait avec grâce jusqu'au sol.« Vous devriez défaire votre tresse et porter vos cheveux libres, en les attachant simplement avec un ruban. »J'ai été surprise d'entendre la voix timide de Camilla, n'étant pas habituée à ce qu'elle m'adresse la parole.J'ai suivi son conseil – de toute évidence, elle avait plus de style que moi. À vrai dire, j'avais toujours été un peu garçon manqué, mais maintenant, je voulais être belle pour lui.J'ai attaché le ras-du-cou en dentelle noire autour de mon cou et me suis regardée dans le miroir, satisfaite.« Tu as bien fait », ai-je dit, essayant d'adoucir notre relation, avan

CÉLINEUn cri rauque s'est échappé de mes lèvres entrouvertes. Mes cils ont tremblé tandis que mes ongles s'enfonçaient dans ses épaules puissantes, cherchant désespérément à m'ancrer à quelque chose.Des bruits humides et érotiques se mêlaient à mes gémissements et au halètement de sa bouche qui dévorait mon intimité.Sa langue glissait entre mes pétales, de haut en bas, son nez frôlant constamment mon clitoris sensible, qu'il suçait et léchait jusqu'à ce que je commence à agiter des hanches contre lui.Ses doigts ont écarté les lèvres de mon sexe, et sa longue langue vampirique s'est mise à me dévorer, me pénétrant profondément — dedans, dehors, dedans, dehors...« Aah... Zarek », son nom s'est échappé de ma poitrine, le désir coupable brûlant en moi.J'ai gémi sans retenue quand deux doigts ont rejoint la pénétration, s'enfonçant dans mes replis en bas, s'écartant à l'intérieur de moi, mon clitoris aspiré et torturé par le bout de sa langue.La salive coulait le long de mes cuisses,

CÉLINEJe me regardais dans le miroir, savourant le liquide cramoisi tandis qu'il léchait ma nuque, juste à l'endroit où la marque de ses dents reposait désormais.Et même si ce n'était pas comme chez les loups, Mía était plus que satisfaite.Mais alors que ma gorge avalait ce sang enivrant et que je ressentais la connexion intime de notre lien, quelque chose manquait encore.Quelque chose clochait... il n'avait pas encore joui.Comment ? Après avoir fait l'amour de cette façon, comment pouvait-il être encore dur en moi ? Est-ce que je... ne le satisfaisais pas en tant que femme ?« Idiote », a-t-il ri contre mon oreille. « Ne pense jamais ça, pas même une seconde. Tu n'as aucune idée à quel point je me suis retenu. Mais si tu t'inquiètes tant, viens... sers-toi. »Il a répondu à mes pensées tout en se retirant de moi, me faisant soupirer sous l'effet du vide soudain.Je me suis retournée pour le voir assis sur le lit, jambes pliées et écartées, mains appuyées derrière lui, che

VALÉRIESon regard a glissé sur moi avant de s'attarder sur mon ventre légèrement arrondi.« Prince Zarek, nous devons absolument discuter de tout. Pour le bien de ma famille, je suis prêt à reconsidérer entièrement notre perception des races », a déclaré Alain Turpin en s'avançant face à lui avec assurance.J'étais fière qu'il ait enfin décidé de mettre sa haine de côté.« D'accord, mais d'abord, petit-déjeuner. Mangeons ensemble, puis nous parlerons », a proposé Zarek en nous guidant vers une immense salle à manger.J'y ai dévoré un petit-déjeuner exquis d'œufs et de bacon. Mon estomac était devenu un véritable gouffre sans fond, et ce malgré le fait que je buvais déjà le sang d'Alain comme une alcoolique devant un tonneau de bière.Quelque temps plus tard, nous nous sommes installés dans un salon confortable. Chaque couple s'est détendu sur des canapés moelleux devant un feu crépitant, entourés de boissons et de pâtisseries dans une ambiance décontractée.Je m'attendais à ce