All Chapters of Alpha Lorenzo, mon plus grand ennemi!: Chapter 1 - Chapter 10

Du point de vue de MirandaLa foule tomba soudain dans un silence complet. Tous les regards se tournèrent vers Vincenzo, attendant curieusement ce qu’il allait dire.« Vous êtes tous en train de faire une erreur, » déclara-t-il. « Vous connaissez pourtant son caractère, non ? Comment quelqu’un d’aussi aimant et attentionné pourrait-il avoir le cœur de tuer un enfant ? »Lorenzo ne semblait pas apprécier l’intervention de Vincenzo. Il grogna d’un ton menaçant. « Ton avis n’est pas le bienvenu ici. Elle a commis un crime, et elle doit payer de sa vie ! » Il se tourna vers le voyant. « Fais-le ! »« Je t’interdis de le faire ! » gronda Vincenzo. Ses yeux s’assombrirent soudainement, passant du vert au brun, comme si son loup luttait pour prendre le contrôle. Depuis que je connaissais Vincenzo, je ne l’avais jamais vu aussi en colère.« Tu défies ton Alpha ? » demanda Lorenzo sur un ton provocateur.Vincenzo ricana. « Alpha ? Tu es bien trop corrompu pour être Alpha, Lorenzo. »Comme s’il

Du point de vue de MirandaComme un cerf figé par les phares d’une voiture, mes yeux s’écarquillèrent de choc et je me figeai au moment où la porte s’ouvrit brusquement.Oh non, je ne peux pas me faire attraper, murmurais-je en balayant la pièce du regard à la recherche d’une cachette.« Miranda ? » entendis-je la voix de Vincenzo derrière moi.Je me retournai pour m’assurer que c’était bien lui. Une fois confirmée, je poussai un soupir de soulagement, mais par crainte d’être découverts, je lui fis signe de verrouiller la porte. Il hocha la tête, la verrouilla rapidement, puis s’approcha de moi.« J’ai verrouillé la porte de l’intérieur. Comment as-tu pu entrer ? » demandai-je, surprise qu’il ait réussi à l’ouvrir.« La serrure est cassée. J’y ai touché il y a quelques jours, » répondit-il.« Oh. »Il s’arrêta devant moi, inclinant légèrement la tête en regardant le dossier dans ma main avec un léger froncement de sourcils. Je le cachai rapidement derrière mon dos.« Qu’est-ce que tu

Du point de vue de MirandaPanique. Tout mon corps tremblait de panique, mais je fis de mon mieux pour rester calme.Des tas de questions envahissaient mon esprit alors que je me tenais devant Lorenzo. Nous avait-il vus, Vincenzo et moi ? Quel mensonge pourrais-je inventer qui soit crédible à cet instant précis ?« Pourquoi tu ne dis rien ? » Sa voix tonna, me faisant sursauter légèrement.Je me raclai doucement la gorge et décidai de dire la première chose qui me viendrait à l’esprit... en priant que ça n’aggrave pas la situation.« Calme-toi, chéri. On s’est juste croisés sur le chemin du retour, et il a décidé de me raccompagner, » mentis-je avec aisance.« Ce n’est pas l’impression que ça donne. »« Et qu’est-ce que ça donne alors ? » demandai-je, gardant ma voix stable et ferme.Il plissa les yeux. « Tu as une liaison avec lui ? »Ma bouche s’ouvrit de stupeur devant une question aussi ridicule.« Tu t’entends parler ? C’est mon beau-frère, » marquai-je une pause. « Même si tu ne

Point de vue du narrateur> Le lendemain matin – Demeure de l’Alpha ’ai pas assez dormi. »Elle tendit la main avec somnolence pour l’éteindre, mais cinq minutes plus tard, le bruit revint de plus belle. Frustrée, elle se redressa.Et à ce moment précis, son téléphone émit un bip et une notification apparut.« Tout est contre moi ce matin ! » siffla-t-elle. Elle attrapa tout de même son téléphone et poussa un cri en voyant un message de Vincenzo. Puis elle se souvint de sa mission.Craignant que Lorenzo ne voie le message, elle le supprima rapidement. Mais en se tournant, elle constata qu’il n’était pas de son côté du lit.« Oh non ! Ne me dis pas qu’il est déjà trop tard, » paniqua-t-elle. Sa main se posa sur l’endroit vide, et elle haleta en constatant qu’il était froid—preuve qu’il était réveillé depuis un moment.« Qu’est-ce qui ne va pas chez toi, Miranda ? Pourqu

Du point de vue de MirandaMon cœur battait à tout rompre alors que nous approchions du manoir de Vincenzo. Je priais en silence pour qu’il ne dise ni ne fasse quoi que ce soit qui puisse nous trahir — je n’arrivais pas à calmer ma panique, même s’il m’avait promis de me protéger.J’aurais aimé admirer le manoir de Vincenzo à notre arrivée, mais le regard froid de Lorenzo m’en empêcha. Il me fixait d’un air méfiant depuis que nous avions quitté la cellule. Il essayait de deviner si j’étais liée à l’évasion du prisonnier.« Que faisons-nous ici ? Ce n’est pas la maison du Bêta Vincenzo ? » demandai-je, tentant de dissimuler ma nervosité.Il ignora ma question et fit signe à l’un des gardes de sonner à la porte. Le garde obéit et appuya sur la sonnette sur ordre de Lorenzo. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrit brusquement, révélant Vincenzo, un tablier autour du cou et de la farine sur le visage, comme s’il avait été occupé en cuisine.Il sembla surpris en nous voyant — surtou