Semua Bab Son Affaire Interdite : Le Regret du Mari Milliardaire: Bab 1 - Bab 10

Point de vue de Susan« Je pensais... », commença le chauffeur. « Je pensais qu'elle se battait pour toi ? »Je ne répondis pas, je ne pouvais même pas respirer, je regardais simplement Alex l'embrasser comme si elle était la seule chose qu'il désirait au monde.« S'il te plaît... dis-moi que ce n'est pas vrai. » Ma voix se brisa, réduite à un murmure.Rebecca s'est éloignée lentement d'Alex, les lèvres gonflées, un sourire satisfait sur le visage. Ce sourire m'a transpercé le cœur plus profondément qu'un couteau.« Oh, Susan. » Son ton était doux, presque compatissant. « Tu as toujours été naïve. J'ai tout fait pour te faire comprendre, pour t'ouvrir les yeux, pour te faire voir qu'Alex n'était pas fait pour toi. Mais toi... » Elle a éclaté d'un rire sec, penchant la tête comme si elle observait une enfant pathétique. « ... tu t'es accrochée à lui comme une mendiante affamée s'agrippant à des miettes. Aveuglée par ton propre désespoir. »Ma poitrine se creusa. « Tu...

Point de vue de SusanLa première chose que j'ai ressentie était une sensation de chaleur, puis je me suis étirée, m'attendant à sentir les draps rugueux familiers de mon lit. Mais lorsque mes doigts ont effleuré du satin, j'ai ouvert les yeux d'un coup.Ce n'était pas mon appartement.Le plafond au-dessus de moi était haut, peint en blanc avec des accents dorés. Puis le faible bruit d'un climatiseur a flotté dans la pièce, se mêlant à l'odeur d'eau de Cologne et de whisky. Mon cœur s'est mis à battre à tout rompre dans ma poitrine tandis que je me redressais, mon regard balayant la pièce.Un hôtel ?J'ai baissé les yeux vers mon corps et je me suis immédiatement figée.J'étais nue.Un cri étouffé s'est échappé de ma gorge et j'ai sauté du lit, emportant le drap avec moi comme s'il s'agissait d'une armure. Mes jambes ont fléchi, manquant de se dérober sous moi. « Mais qu'est-ce que... »« Calme-toi, tigresse », dit une voix douce derrière moi. « Tu n'es pas dans la jungle. »Je me

Point de vue de RichardJe la fixai, muet. Pendant une longue seconde, je crus avoir mal entendu, mais le regard calme de ma mère me confirma que non.« Tu l’épouses ? » demandai-je enfin, la voix basse et tremblante. « Dis-moi que tu plaisantes, maman. »« Ce n’est pas une blague », répondit-elle doucement. « Gerald et moi avons discuté. Les choses ont changé… il a changé. »Je ris, un rire creux et amer qui fit même sursauter Vanessa. « Changer ? Changer ? »Je répétai en arpentant la pièce. « Tu veux dire le même Gerald Walker qui t’a jetée comme un déchet ? Le même homme qui t’a laissée enceinte, à me nourrir tant bien que mal, pendant qu’il bâtissait son empire ? »« Richard… » commença-t-elle, mais je levai la main et ma voix s’éleva. « Non, maman, ne m’appelle pas Richard ! Tu ne peux pas rester là à me dire que tu épouses ce salaud comme s’il n’avait pas détruit nos vies ! »Vanessa gémit en se massant les tempes. « Oh, allez, Rick, arrête d’en faire tout un drame. Ce n’est p

Point de vue de SusanJ'ai décroché le téléphone, et dès que j'ai entendu sa voix dire : « Bonjour », mon cœur a fait un bond.Il y avait quelque chose dans cette voix, grave, calme, avec une pointe d'arrogance, qui m'a troublée. Je n'ai pas répondu tout de suite.« Allô ? » a-t-il répété, plus lentement cette fois, son ton empreint d'une assurance nonchalante qui a fait s'accélérer mon pouls.« Mmm », ai-je murmuré avant de pouvoir m'en empêcher. « Bonjour. »« Ah », a-t-il dit d'une voix grave, « Comment vous appelez-vous ? » a-t-il demandé.« Je m'appelle Susan », ai-je répondu sèchement, espérant qu'il ne me demanderait pas mon nom de famille.« Vraiment ? C'est un joli nom pour une jolie femme. »J'ai cligné des yeux, partagée entre la surprise et l'irritation. « Vous parlez comme si vous m'aviez déjà vue. »« À votre voix », a-t-il répliqué d'un ton suave, « je m'en doute déjà. » J’expirai lentement, réprimant l’envie de lever les yeux au ciel. « C’est comme ça que vous f

Point de vue de Susan« Il pense que certaines affaires ne devraient pas commencer par de la paperasse », dit-elle, le regard à la fois bienveillant et prudent.« Il veut d'abord vous comprendre. Et… » Elle marqua une pause. « Il veut entendre votre version des faits directement de votre bouche avant que quoi que ce soit ne soit finalisé. »J'expirai lentement, mon pouls s'accélérant à nouveau. L'idée de me retrouver face à Richard Morrison, quel qu'il soit, m'intriguait autant qu'elle m'effrayait.La secrétaire poursuivit : « Mais il m'a demandé de préparer immédiatement la plainte pour violence conjugale. Vous pouvez l'emporter avec vous, et à son arrivée, il s'occupera personnellement du divorce. »J'acquiesçai, essayant d'assimiler toutes les informations. « Alors, la plainte est prête ? »Elle esquissa un sourire et commença à ranger quelques feuilles dans un dossier. « Presque. Il me reste juste à imprimer la déclaration et à ajouter vos coordonnées. Monsieur Richard souhaite qu