DianeMes mains s’agrippent à ses épaules, à ses bras, sentant les muscles se contracter sous la peau lisse et humide. Ses mains à lui parcourent mon dos, mes hanches, avec une impatience fébrile, remontent pour défaire d’un geste impatient l’agrafe de mon soutien-gorge. Le tissu de soie noire tombe. La serviette à sa taille lâche prise, glisse, forme un tas humide à nos pieds. Mes derniers vêtements , la culotte fine , sont arrachés, écartés par ses mains tremblantes de fébrilité.Il n’y a plus de garde du corps, plus d’enfant gâtée. Plus de faiblesse ou d’erreur à regretter. Il n’y a que cette tension explosive, accumulée depuis des jours, des regards volés, des mots blessants, des silences lourds de sous-entendus, qui trouve enfin son issue, son exutoire violent et magnifique, dans un choc de chair nue, de souffles haletants qui s’échangent, de gémissements étouffés qui résonnent contre la peau mouillée, le carrelage froid.— Tu vois ? je halète contre sa bouche, mes doigts s’enfon
Last Updated : 2025-12-11 Read more