All Chapters of Le play boy sans cœur : Chapter 61 - Chapter 70

Chapitre 62Point de vue d’ElenieLa lumière douce du matin pénétrait par les grandes fenêtres, caressant les murs et les meubles avec une chaleur réconfortante. La table, encore décorée avec la vaisselle héritée de ma mère, brillait comme pour accueillir un événement extraordinaire. Et, en effet, l’atmosphère était extraordinaire. Autour d’elle, il y avait une joie palpable, presque contagieuse. Mon père et ma belle-mère semblaient littéralement rayonnants, comme si c’était eux qui attendaient ces enfants, et non pas Ferdinand et moi.Je les observai, mon cœur débordant d’émotion. Mon père, avec ce sourire rare qui illuminait son visage habituellement sérieux, échangeait des regards complices avec Béthanie. Tout cela me rendait à la fois heureuse et légèrement intimidée. Voir leurs yeux briller de cette manière me rappelait combien la famille est un pilier dans notre vie, un refuge auquel on revient toujours.Mon regard croisa celui de Ferdinand. Dans un simple échange silencieux, no

Chapitre 64Point de vue d'Elenie Quand le doigt de mon homme se plonge en moi je soupire d'aise ,mon dieu que ça m'a manqué,ça m'a vraiment manqué,il se mit à faire des vas et viens en moi tout en faisant attention à nos enfants ,j'aime trop ce homme,je ne suis que soupire surtout quand il ajoute un deuxième doigt,j'en voulait plus ,son sexe était devant moi bien en érection,son visage était remplir par le désir ,il résiste ,je le vois bien et je me demande pourquoi.Je lui caresse le visage du revers de la main pendant qu'il m'embrasse la goureusement ,tout doucement je tend ma main pour caresser son sexe qui était déjà bien dur ,je le mettait dans tout ses états.- Bébé ne fais pas ça s'il te plaît dit t'il en languissant.Je souris et lui tire doucement les cheveux,il est tellement craquant.- Je te donne du plaisir comme tu le fais .Il fit un petit sourire et me chuchote à l'oreille.- Je sais mon cœur mais tu risques de m'amener à te faire l'amour.Je voulais lui répondre mais

Chapitre 66Point de vue de FerdinandLe jet privé filait au-dessus de l’océan, ses moteurs émettant un bourdonnement régulier qui semblait ponctuer le calme de notre voyage. Elenie était blottie contre moi, sa tête posée sur mon épaule, et je ne pouvais détacher mes yeux d’elle. Chaque détail de son visage, le souffle calme et régulier de sa respiration, ses mains posées sur les miennes… tout me fascinait. Je pianotais sur mon ordinateur, concentré sur le projet industriel que nous allions lancer à Montréal, mais mon esprit revenait sans cesse à elle.— Qu’est-ce que tu veux faire là-bas exactement ? demanda-t-elle doucement, mordillant sa pomme, les yeux pétillants de curiosité.Je tournai l’écran vers elle, montrant les plans et schémas des futures usines, des bâtiments administratifs et des infrastructures.— Voilà, expliquai-je. Ici, le siège administratif et le centre de contrôle. Là, l’usine principale avec ses chaînes de production automatisées. Et ici, le bâtiment pour la mai

Chapitre 68Point de vue d’Elenie*Le soleil du matin baignait Montréal d’une lumière douce et dorée. Je m’étais habillée simplement, mais avec ce petit soin que l’amour inspire : une robe légère couleur crème, nouée à la taille, accompagnée de mes sandales préférées. Mes cheveux, lâchés en cascade sur mes épaules, flottaient au gré du vent, et j’avais relevé quelques mèches derrière mes oreilles pour dégager mon visage. Je me sentais belle, libre, heureuse.À mes côtés, Ferdinand avançait, éclatant de charme dans sa chemise ouverte sur un torse hâlé et son pantalon blanc qui soulignait sa prestance. L’air marin jouait avec ses cheveux, et je ne pouvais m’empêcher de le détailler du regard. Il dégageait une sensualité tranquille, une élégance naturelle. Chaque fois qu’il me regardait, un frisson me parcourait — ce regard capable de me faire oublier le monde.Nous marchions le long du fleuve, la main dans la main, profitant du calme de la ville. L’eau miroitait sous les rayons du soleil

Chapitre 70Point de vue d’ElenieLes larmes glissaient encore sur mes joues, chaudes, incontrôlables, comme si mon cœur débordait d’un trop-plein d’émotions. Mes mains tremblaient légèrement, et pourtant mes doigts restaient figés, immobiles, comme paralysés par la beauté qui scintillait désormais entre eux.La bague… Mon Dieu, la bague.Elle était délicate, mais majestueuse. Un anneau d’or rose, finement travaillé, subtilement poli, qui reflétait la lumière des chandelles comme un soleil miniature. Au centre trônait un diamant ovale, pur et éclatant, capturant chaque reflet, chaque souffle lumineux pour le renvoyer avec grâce. Autour du diamant principal, de minuscules pierres formaient un halo délicat, comme une couronne d’étoiles autour d’une lune lumineuse. Chaque facette brillait avec une intensité hypnotisante. C’était féminin, élégant, raffiné, romantique… exactement ce que j’aurais rêvé sans jamais l’avouer.C’était la plus belle bague que je n’avais jamais vue de ma vie.Je