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With her desires to experience something new, Ice steps into a different world where nothing is impossible. She gets happy while riding a car of her life until the car went off the tracks...

Alejandro Brothers Series #1: Pretending to be My Stepsister to Marry the Billionaire Ako si Lileanne Monteverde, and I pretend to be my stepsister Marga to marry the billionaire. Ginawa ko ito hindi dahil gusto kong agawin ang buhay niya, kundi dahil kailangan ko ng pera para sa tuition fee ko. Wala na akong ama, at hindi man lang ako binigyan ng parte sa naiwan niyang ari-arian. Kaya kahit labag sa loob ko, tinanggap ko ang alok ni Marga kapalit ng malaking halaga — isang kasunduang magpanggap ako bilang siya, upang makilala ang lalaking nakatakda niyang pakasalan. Until I slowly fall in love with the billionaire, Ziven Alejandro... Hindi ko inakalang sa likod ng pangalan, yaman, at seryosong tindig ay may lalaking marunong makinig, umunawa, at magpahalaga. Mas lalo akong nalito nang maramdaman kong masarap palang mahalin — kahit alam kong hindi ako dapat masangkot. Paano kung ang puso ko’y pumili sa gitna ng kasinungalingan? At kung malalaman ni Ziven Ang katutuhanan, na nagpapanggap lang ako? Tatanggapin at mamahalin niya pa rin ba ako?

"Here are the leftovers for you, hurry up and finish them!" Marcel glanced at the plates filled with scattered rice, chicken bones with a little meat still attached, and vegetable soup with only the soup left. "Eat on the floor, as usual." Marcel looked down and looked at his wife, Shirley. "You have the nerve to tell me to finish your brothers' leftovers?" asked Marcel in a protesting tone, as he frowned reluctantly at the plates. The oppression Marcel experienced made him want to end his life by downing his parents' formula. However, instead of dying, he was transformed into a powerful being! Will his wife's family apologize?

Paano kung isang araw, you became the billionaires wife? Yung akala mong pulubi ay mas mayaman pala sayo? Klaihuse Farrel Velasco, a billionaire ceo also known as the cold hearted bachelor business tycoon in the asia who don't care at people around him. A man who don't believe in love, because of his past. He pretend to be a beggar to find a wife because his parents wants him to be arranged marriage by someone he doesn't love and know at the first place. Sinabi niya sa parents niya na meron siyang girlfriend at mahal na mahal niya ito at siya lang ang babaeng papakasalan niya even though it's not true, he just said that to make his parents stop but unfortunately his parents want to meet the girl as soon as possible. Pero alam niya sa sarili niya na wala siyang maipakilala dahil hindi niya naisip na hihilingin 'yun ng magulang niya that's why he came up to the idea to pretend as a beggar to find a woman with a good and kind hearted heart in just a week. He asked his parents to give him a week to talk to his girlfriend kuno kung papayag ba siya pero hindi 'yun totoo. The truth is, he will find a woman who's fit to be his fake wife na maihaharap niya sa parents niya. Pero paano kong mahirapan siyang maka hanap ng babaeng ayon sa gusto niya sa loob lamang ng isang linggo? Will he succeed o tatanggapin nalang niya ang kapalaran niya na maikasal sa babaeng hindi niya mahal o gusto man lang? Aayon kaya sakaniya ang panahon at tadhana? Makaka hanap kaya siya ng babaeng magiging asawa niya sa loob lamang ng isang linggo?

My husband, Mark Thompson, and I went hiking. After eating some wild berries I picked, he was poisoned and died. When I got home, a woman named Sarah Miller and her son, Tommy Miller, showed up at my door. It turned out Mark had given them our house and car. On top of that, he owed them a huge amount of money. I ended up giving them all the savings I had. To care for my sick mother-in-law, Judith Thompson, I worked three jobs. I was surviving on basic meals like bread and butter. After years of exhausting work, I collapsed in the hospital. Judith told the doctors to stop my treatment. Just as I was about to die, Mark walked into the ward with Sarah and Tommy in his arms. He tossed five dollars at me. “Thanks for taking care of my mom all these years.” That was when I realized Mark had faked his death just to be with Sarah and their love child. When I opened my eyes again, I was back to the day we went hiking together.

It was about time because my dad got a new girlfriend and said he wanted us to have a meal together to introduce the new woman into our lives. On the day we met, my college roommate saw my chat background, which had a photo of me and my dad, along with a series of transfer records. She lost her mind. She enlisted the support of our other roommates, who rarely paid me any attention and began to attack me, insisting that I was a side chick who deserved to die. I did not expect that my roommate would soon become my stepmom. Before I could explain, she accused me of trying to seduce my dad behind her back, shouting, "Shameless side chick! Going behind my back to seduce my boyfriend! All those times you said you were out studying?! Who knows if you were just meeting up with him?" I was once physically assaulted, stripped of my dignity, and forced to the restaurant for a public confrontation wearing ragged clothes. Then my dad came running to where I was hardly breathing and barely moving on the floor, bruised to the extreme. “Sweetheart, who did this to you?!”

J'avais oublié de ramener la maîtresse de mon compagnon, la laissant seule dans la nature pendant trois heures. Fou de rage, il m'a jetée dans un vieux puits abandonné, en pleine campagne. « Toi aussi, tu dois goûter à la souffrance qu'a endurée Ria. » Le puits, profond et étroit, m'obligeait à me recroqueviller sous ma forme de louve. L'air me manquait. Je lui ai demandé pardon, j'ai supplié qu'il me sorte de là — mais tout ce que j'ai obtenu, ce sont ses reproches indifférents. « Repens-toi comme il faut. Il faut que tu comprennes, une bonne fois pour toutes, les responsabilités d'une Luna. » Il a ordonné qu'on scelle l'ouverture du puits avec une lourde pierre. J'ai hurlé, désespérée. Encore et encore, j'ai essayé de grimper, mais chaque fois je retombais. La paroi du puits s'est couverte de traces de mes griffes, témoins de ma lutte acharnée. Jusqu'à ce que ma gorge, brûlante de soif, ne puisse plus émettre le moindre son. Deux semaines plus tard, en découvrant le cadeau d'anniversaire que j'avais commandé pour lui, son cœur a flanché. Pris d'un élan de remords, il a décidé d'enlever ma punition. Mais il ne savait pas qu'au fond du puits, mon cadavre, déjà dévoré par les vers et les serpents, n'avait plus rien d'humain.

Mes parents, parmi les plus riches du pays, jouissent d’une réputation nationale en tant que philanthropes renommés. Pourtant, toute dépense de plus de cinq euros devait faire l’objet d’une demande formelle auprès d’eux. Quand le médecin m’a appris que mon cancer était en phase terminale, j’ai rassemblé tout mon courage pour leur demander 100 euros. Résultat : trois heures d’humiliation. « À ton âge, tu veux vraiment me faire croire à un cancer ? Trouve une excuse plus crédible pour demander de l’argent. » « Tu sais qu’avec 100 euros, des enfants dans les régions pauvres pourraient survivre longtemps ? Même ta sœur adoptive est plus raisonnable que toi. » À bout de force, traînant mon corps malade, j’ai marché plusieurs kilomètres pour retourner dans mon sous-sol étroit et sale. Et sur le chemin, sur un écran géant d’un centre commercial, je les ai vus : mes parents, souriants, dépensant une fortune pour offrir Disneyland à ma sœur adoptive. Les larmes que je retenais depuis longtemps se sont mises à couler. 100 euros ne suffisaient même pas pour une séance de chimiothérapie. Je voulais seulement acheter une tenue neuve pour partir dignement.

Mon petit ami était officier de police. Je me suis retrouvée menacée par des agresseurs et la bombe fixée à mon corps était sur le point d’exploser. Il ne me restait plus que dix minutes à vivre. L’un des agresseurs, dans son froideur calculée, m’a ordonné d’appeler mon petit ami. Mais lorsqu’il a pris l’appel, c’était un déluge de mots cruels qui m’a frappée de plein fouet : « Romy, tu es folle ou quoi ? Es-tu prête à tout sacrifier pour capter mon attention ? Tu sais, le chat de Sylvie est coincé dans un arbre depuis trois jours, et elle l’aime plus que tout, comme si sa vie en dépendait ! Si tu me fais encore perdre une seconde, sache que tu es une meurtrière ! » Dans le même instant, une voix claire et douce, celle d’une jeune fille, s’est glissée dans le combiné : « Merci, Liam, tu es vraiment incroyable. » Et cette femme n’était autre que l'amie de mon petit ami depuis leur enfance... Alors que la bombe menaçait de tout engloutir, dans un dernier geste désespéré, j’ai envoyé un message à Liam : « Adieu, je crois qu’il vaut mieux que nos chemins ne se croisent plus jamais, même dans une autre vie. »

Après une fausse couche, je suis sortie seule de la chambre et me suis dirigée vers le bureau du médecin où Serge se trouvait. Alors que je levais la main pour frapper à la porte, j'ai entendu leur conversation. Serge : « Enlevez l'utérus de ma femme, je ne veux pas qu'elle me donne un autre enfant. » Il a saisi la femme à ses côtés et l'a conduite devant le médecin, la main caressant son ventre : « Mais l'enfant qu'elle porte, il faut absolument le préserver, c'est mon seul héritier. » Cette femme, je la connaissais bien, c'était Jessica Picard, la secrétaire de Serge depuis trois ans. Il a répété avec sérieux et anxiété ses instructions au médecin : « Utilisez les meilleurs médicaments ! Je ne tolérerai aucun accident ! » J'ai replié ma main, et tout mon corps s'est figé, comme plongé dans un abîme glacé. Je ne m'attendais pas à ce que l'homme que j'avais aimé, après avoir perdu notre enfant, prenne une décision aussi cruelle. Je ne pensais pas que ma confiance en lui se transformerait en une lame acérée, qui me poignarderait le cœur... Si l'amour a une autre forme, c'est probablement celle de laisser partir, pour lui permettre d'être heureux.