Anne Sophie

Ako si Anne Villar Tambalos, 25 years old. May nobyo ako for 3 years at may balak na kaming magpakasal. Sya si Conrad Lim, galing sa mayamang angkan sa Bohol. Akala ko ay ito na ang lalaking para sa akin pero hindi pala.  Nahuli ko itong nagmu-mukbang sa talaba ng ibang babae. Labis akong nasaktan dahil dalawang buwan na lang ay kasal namin.  Lahat sama ng loob ay sinabi ko sa'kin ina. Kaya agad akong pinayuhan na mag-move on ako, dahil hindi lang ito lalake sa mundo.  Kahit masakit ay kinailangan kong mag-move on sa kabiguan ng pag-ibig.  Isang araw niyaya nila akong mag-bar upang mabawasan ang sakit na aking nararamdaman. Agad akong sumama dahil naroon naman si Celyn kaya walang dapat ipag-alala.  Hindi ko alam naparami ang nainom namin. Kaya nagawa kong makipag-siping sa isang estrangherong lalake.  "Congratulations, you're 1 week pregnant!" parang bombang sumabog na aking pandinig. Hindi ko akalain magbubunga pala ang isang gabing pinagsaluhan namin estrangherong lalake. Dahil sa takot nagtago ako dala-dala ang aming anak sa aking sinapupunan at umalis patungo sa Maynila kasama ang aking kaibigan.  Masaya sana dahil natakasan ko ang dalawang lalaking naging malaking parte pagbabago sa buhay ko. Pero ang ama aking anak ay syang magiging Boss ko pala. Dahilan upang magkunwari ako na hindi ko ito kilala o nakita man lang.  Siya si Dixon Stanley Floyd, multi- billionaire. Hanggang umeksena ang kanyang ina at pinagbintangan ako ng isang bagay na hindi ginawa. Hindi man lang kasi ako pinagtanggol ni Dixon sa kanyang ina.  Hanggang niluwal ko ang anak namin, na sya namang muling pagpapakita ng aking ex. Humingi ito ng tawad sa kanyang ginawa noong nagtaksil ito sa'kin. Nais itong tumayong ama sa'king anak.  "Hihintayin ko ang sagot mo, babalik ako bukas. Kaya pag-isipan mo ang aking sinabi!" saad nito, saka tuluyang umalis.

“Five minutes,” Dominic said, his voice low and desperate. “That’s all you have to walk out of my life. Don’t pack a thing—I’ll give you everything you need. Just go… because if you don’t, I swear, I’ll never let you go. Ever.” I froze, my heart pounding. His words were harsh and final. But then I saw it, the way his hands slightly tremble, and the way his chest rose and fell too quickly. He’s shaking. He’s not just pushing me away. He’s terrified. Terrified of himself and of what he might do. A slow smile tugged at my lips as I placed my hand over his heart, feeling the hurried rhythm beneath my palm. “Then it’s a good thing I don’t want to go,” I whisper. “I want to be with you.” Something inside him snapped. Dominic grabbed me, crushed me against him in a desperate, almost broken embrace. His arms tightened like he’s afraid I’ll disappear, his breath shuddered as he buried his face in my neck. He clinged to me like I’m the only thing keeping him in the world. And I hold him just as tightly, because I’m not afraid. ****** When Sophie Carter caught her husband, Ethan Koleman sleeping with his secretary, she expected an explanation or even an apology, but instead, she was slammed with divorce papers and an eight year sentence in jail. What did she do? Ethan accused her of attempted murder. Four years in jail, an offer is presented to her by her husband’s biggest rival, Dominic Hayes. “Marry me and I’ll help you take revenge.” Of course, she takes it. But never did she expect to discover a shocking secret about Dominic that broke her.

Quatre années de mariage. Sa seule signature m'a rendue libre. Il n'a jamais su ce qu'il signait. Je suis Sophie Moreau, l'épouse invisible de Julien Moreau, héritier de la famille mafieuse la plus puissante de la ville. Mais le jour où Victoria, son amour d'enfance, brillante et privilégiée, est revenue, j'ai enfin compris : je n'avais toujours été qu'une passagère. Alors, j'ai joué mon dernier coup. J'ai glissé les papiers sur son bureau — un divorce habilement déguisé en simples formulaires universitaires. Julien a signé sans même y jeter un second regard, sa plume griffonnant la page avec autant de désinvolture qu'il en avait eu pour notre mariage. Il n'a pas vu qu'il mettait fin à notre mariage. Mais je suis partie avec bien plus que ma liberté. Sous mon manteau, je portais l'héritier qu'il n'avait jamais imaginé… un secret qui pourrait le détruire le jour où il comprendrait ce qu'il avait perdu. À présent, Julien, qui ne m'avait jamais remarquée, retourne le monde pour me retrouver. Du sommet de son penthouse jusqu'aux bas-fonds, il fouille chaque recoin, soulève chaque pierre. Sauf que je ne suis pas une proie apeurée qui attend qu'on la capture. Je me suis reconstruite hors de sa portée — là où aucun membre de Moreau ne peut me suivre. Cette fois, je ne supplierai pas pour son amour. C'est lui qui suppliera pour le mien.

Mon mariage avec le parrain, Laurent Delacroix, était toujours à deux doigts d'être consommé. Nous étions fiancés depuis cinq ans et nous avions organisé 32 mariages, mais à chaque fois, nous avions un problème au milieu de la cérémonie et nous ne pouvions pas la terminer. Au 33ème mariage, au milieu de la cérémonie, le mur extérieur de l'église s'est effondré, j'ai été écrasée et mise en soins intensifs. J'avais le crâne fendu et une grave commotion cérébrale, et l'hôpital a émis plus d'une dizaine d'avis critiques... J'ai lutté sur la ligne de vie et de mort pendant deux mois avant de survivre. Mais le jour de ma sortie de l'hôpital, j'ai surpris la conversation de Laurent avec son subordonné le plus fiable. « Monsieur, si vous êtes vraiment amoureux de cette pauvre étudiante, vous n'avez qu'à rompre les fiançailles avec Mlle Katrina. La famille Delacroix est assez puissante pour arrêter tous les ragots, pourquoi devez-vous créer des accidents encore et encore... » « Elle a failli mourir. » La voix du subordonné portait la désapprobation. Laurent est resté silencieux un long moment avant de prendre la parole : « Je n'ai pas le choix... Il y a dix ans, Monsieur Mordeau m'a sauvé au prix de sa vie et de celle de sa femme. Je ne peux lui rendre cette faveur que par un contrat de mariage. » « Mais j'aime Sophie et je ne veux épouser personne d'autre qu'elle. » J'ai regardé les cicatrices sur tout mon corps et j'ai pleuré en silence. Il s'avérait que toute la douleur que j'avais endurée n'était pas due au destin, mais le résultat des actions délibérées de la personne que j'aimais tant. Puisqu'il ne pouvait pas faire de choix, c'était à moi de mettre fin à tout cela pour lui.